Je m'appelle Manon Potter et je suis orpheline. Je vis à Poudlard où Dumbledore est le directeur de cette école et mon père adoptif si l'on peut dire. Je connais cette école comme ma poche, la vie de tous les professeurs, mais la personne que je connais le moins bien c'est moi. Eh oui, je sais que je m'appelle Manon Potter, j'ai 11 ans, je suis brune avec des yeux vert et j'ignore encore ce matin que cela va changer. Vers midi Albus m'a fait venir dans son bureau sous prétexte qu'il devait me dire quelque chose d'important.
-Manon, mon enfant comment va tu en cette belle journée ? me demande-t-il
-Bien. Répondis-je, j'attendis la suite patiemment.
-Déjà bon anniversaire ! Tous les professeurs et moi-même t'avons acheté des cadeaux ils t'attendent en bas dans la grande salle mais avant que tu aille les ouvrit je voudrais te raconter comment des parents sont morts.
Quand j'entendis ces mots mon cœur se mit à battre à une vitesse folle, j'allais enfin connaitre la vérité.
-Tes parents s'appelaient Lyly et James Potter ils se sont fait tuer en te protégeant toi et ton frère jumeau Harry Potter de Lord Voldemort la plupart des gens n'ose pas prononcer son nom mais il ne faut pas avoir peur de le dire. J'ai rencontré une voyante quelque mois avant la mort de tes parents et elle m'a fait une prophétie sur toi et ton frère je ne peux pas te dire toute la prophétie sinon tu serais en danger. En résumé Harry doit détruire Voldemort seulement il va traverser des épreuves où même les plus grands sorciers ou sorcières perdent la vie, et toi tu es ... comment dire son ticket sur terre ? Enfin t'en que tu vis il vit. Donc tu imagines que Voldemort étant au sommet de sa puissance avait des espions partout il finit par découvrir une partie de la prophétie celle ou Harry devais le tuer par contre il ne savait pas que tu existais il s'est donc rendu chez toi, ayant deviné qu'il passera à l'action j'ai fait en sorte que la prophétie puise se réaliser et j'ai donc avec tes parents crée le lien qui te unis à Harry et je t'ai pris pour que tu vives dans ce château. Donc le jour ou Voldemort arriva chez toi tes parents protégèrent Harry mais furent tués quand à Harry le sortilège de mort rebondit sur lui pour atterrir sur Voldemort.
Je ne devais pas pleurer c'était pour les faibles et un sentiment de culpabilité me broya le cœur. Je venais d'apprendre des choses sur moi que je n'aurais pas imaginé j'avais un frère jumeau et tout le reste. Je sentis soudain des larmes coules sur mes joues je les essuyer vite et regardait Dumbledore d'un air honteux.
- Tu sais tu ne devrais pas avoir honte de pleurer c'est tout à fait humain. Dit-il calmement.
- NON ! M'écriai-je pleurer c'est pour les faibles et je ne suis pas faible !
- Manon calme toi, arrête de crier et je sais que tu plein de questions à me poser mais tu es trop jeune pour savoir le reste. me dit-il avec sa voix posé
Je n'étais pas du genre très patiente voyer vous et savoir qu'il fallait que j'attende avant de savoir exactement ce qui c'était passé me mettait dans une colère noire. Je balançai magiquement les objets de Dumbledore à travers la pièce sous son regard encore calme ce qui m'énerva encore plus. Voyant qu'il ne réagissait pas je voulu quitter la pièce mais elle était fermée, avec un cri de rage je me suis tournée vers lui.
- Ouvre-moi ! M'écriai-je
- Seulement si tu me promets une chose.
- QUOI ! Tu te fiche de moi Albus tu me raconte que mes parents sont morts par ma faute et celle de mon frère tu me dis de ne pas être en colère et tu dis ça comme si tu t'en fichais. Et tu voudrais que je te rende un service ?!
-Oui je voudrais que tu ne dises rien à Harry.
Il me connaissait trop bien pour savoir que je ne dirais rien à mon frère sans sa permission il me laissa donc sortir et j'entrepris de cassé les toilettes de Mimi Geignarde pour me.
Le jour de la rentrée je n'avais toujours pas reparlé à Albus et je m'en voulais un peu de mettre emporté contre lui mais par fierté je me taisais. Quand les élèves arrivèrent j'attendis le groupe des première années pour me glisser dedans, il est enfin arrivé j'étais en train de descendre les marches des escaliers sur lesquelles j'étais assise, quand je le vis.
