Titre: Habere qui signifie Avoir, posséder en latin.
Pairing: GrindelwaldxDumbledore.
Disclaimers: Les perso sont à JK Rowling, l'histoire à Oh sweet lily beans.
Rating: M
Note: Je ne fais que traduire et merci à Kiwi-Le-Swoothie ou encore à Loufoca-granger pour leur aide. N'hésitez surtout pas à me faire part de vos remarques, surtout si cela concerne la traduction!
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Habere
Vous êtes à moi. Ce n'est jamais dit mais toujours compris.
( Cela commence lorsque Gellert vous pousse avec force contre la remise derrière la maison de votre famille, passant brutalement sa main en haut de votre chemise. Vous le regardez avec de grands yeux, vous contemplez son visage brouillé et, d'une certaine façon, votre cœur s'arrête. Peut-être parce que vous n'avez jamais goûté une telle chose auparavant.)
Merlin, vous gémissez mais vous en êtes pas vraiment sûr. Peut-être que vous avez plutôt essayé de dire Gellert mais votre cerveau s'est probablement divisé en deux et vous n'arrivez à dire que ce qui gagne la bataille entre les deux hémisphères.
( Et ensuite Gellert vous pousse partout avec force et de temps à autre péniblement, parfois douloureusement, et peut-être que c'est ce dont vous avez manqué durant toute votre vie. D'une manière ou d'une autre, vous pensez que tout ça n'est qu'une partie du plan de Gellert pour dominer le monde, pour d'abord vous dominer vous, mais non. Cela ne peut-pas être ça.)
Mais peut-être que ce n'est pas si embrouillé, car malgré la situation et les plans de domination du monde, vous avez toujours des jours où une fraîche brise d'été souffle sur des formes fondues, et tout à l'air à nouveau normal, comme ces jours avant que maman ou papa ou bien Aberforth ne se brisent comme des vases antiques.
(En vérité, aucun d'eux n'avaient jamais craqués. C'était Ariana qui avait craqué en premier, et vous pouvez sentir Aberforth craquer sous sa peau de neige et au delà, vous pouvez presque entendre les sanglots de votre mère.)
Vous êtes à moi.
Vous le dîtes lorsque vous l'avez vaincu, parce pendant que vous le battez vous le possédez. D'abord, vous lui dîtes que ce n'était pas de l'amour, que vous et lui n'auriez jamais dû parler d'amour, que ce que vous aviez avec votre famille c'était de l'amour, ou du moins pendant un moment. Puis il vous regarde étrangement parce que vous radoter à propos de vases brisés et de lumières, et que tout est compliqué. Il vous embrasse encore une fois à ce moment-là, mais tristement, comme un train sur le point de partir (ce que vous avez déjà vu), et c'est la dernière fois.
(Vous le prenez, ensuite, parce que c'est juste et que c'est ce qui est attendu. Par qui, vous n'en êtes pas sûr.)
Mais manifestement, manifestement même si on peut lire dans les journaux que Dumbledore a battu Grindelwald, vous savez au fond de vous qu'il vous possède encore, parce que sans lui vous ne seriez pas ici.