coucou me revoila déjà pour une nouvelle fic, faut dire que je l'ai commençer en même temps que je finissait l'escarboucle bleue, voila un peu paticulière sa change un peu bonne lecture
la petite élyon
Chapitre 1 Baker Street
Cela faisait quelques jours que Mary vivait à Baker Street, après plusieurs mois de bataille acharné contre Holmes, elle avait fini par comprendre que leur amitié était trop forte pour les séparer comme ça, et puis ce n'était pas si mal de vivre à Baker Street, la maison était grande et chacun avait son coin, elle éviter soigneusement Holmes depuis le début et la vie s'écouler paisiblement depuis maintenant 5 jours, il fallait dire aussi que Holmes se tenait tranquille de son côté, il n'était pas fier d'avoir gagné, il ne pouvait pas s'en empêcher, elle avait compris, son mari était en quelque sorte l'assurance vie du grand Sherlock Holmes sans sa il serai mort depuis un bout de temps lui avait t'il déjà dit. Et puis elle disait tous les jours à son mari que ce n'était pas si mal, et que la cohabitation était plutôt calme.
Watson de son côté avait assisté à une véritable guerre de possession, il était resté en dehors de tous ça, c'est vrai que la perspective de quitter Baker Street lui faisait mal au cœur, il aimer cet endroit alors quand Mary lui avait annoncé qu'elle accepter de vivre ici, il s'était retenu de crier de joie, et puis Mary s'entendais à merveille avec madame Hudson qui était ravis d'avoir la compagnie d'une autre femme.
Watson était en train de faire l'état des stocks des médicaments de son cabinet quand sa femme entra dans la pièce.
M : comme c'est silencieux ce matin ! Tu vois que la cohabitation est possible !
W : oui enfin tu ne la pas encore vu dans le meilleur de ses états, tu va être surprise !
M : madame Hudson m'a prévenu, violon la nuit, drogue en tous genre
W : et encore la liste est trop longue !
M : il a peut être compris qu'il n'est plus seul sous ce toit !
W : non je ne crois pas !
De grand coups sonores ce firent entendre contre le mur, surprise Mary se baissa, et puis se cacha derrière son mari qui n'avait pas bougé d'un iota
M : mais…. Qu'est ce qu'il fait ?
W : ho encore une de ces expériences !
M : il démoli le mur à coup de masse ?
W : non !
M : il accroche un tableau ?
W : pas du tout !
M : mais…que fait t'il ?
W : il tire dans le mur
M : IL TIRE DANS LE MUR ?
W : oui avec un pistolet !
M : non mais tu plaisante la ?
Les coups reprirent et Mary se cacha encore derrière son mari
W : absolument pas !
M : non mais ce n'est pas vrai ! Attend il va m'entendre !
W : tu ne vas quand même pas y aller ?
M : je vais me gêner !
W : frappe au moins avant d'entrer !
M : il peut se brosser !
Watson éclata de rire, Holmes allait passer un mauvais quart d'heure, il n'était pas inquiet, Holmes était excellent tireur et se poser toujours de façon à ne blesser personne qui chercherai à entrer, mais il avait pris l'habitude de frapper et de demander la permission, c'était histoire de connaitre son humeur dans le ton de sa voix, il s'adossa à son bureau et attendis, le mur n'était pas insonorisé et il allait savourer un bon passage de savon, Mary ce n'était pas madame Hudson !
Mary arriva devant la porte du pire locataire de Londres, il portait bien son nom celui la, des tirs se firent encore entendre, elle respira un grand coup et ouvrit la porte sans autre forme de procès, la pièce était plonger dans le noir, elle le reconnut adosser au mur à côté d'elle, elle regarda en face la ou il tirait
M : VR ? Vous n'avez pas d'autres catastrophes à inventer pour passer le temps ?
Holmes surpris par la voix stridente et agressive de Mary, avait tourné la tête vers elle
H : je suis chez moi, par conséquent…
M : vous avez le droit de démolir le mur à votre guise ? Et si une des balles passe dans le bureau de John ?
H : le mur fait approximativement 1m d'épaisseur, aucunes balles ne peut le traverser c'est un mélange de plâtre et de béton !
M : je ne veux pas le savoir, vous êtes infernal !
H : dite je n'ai absolument rien fait qui puisse vous froisser ces dernier jours !
M : et puis aujourd'hui vous vous êtes dit que je vous avez donné le feu vert peut être ?
H : dite je suis encore chez moi oui ou non ?
M : vous n'êtes pas vivable ! Jamais vous ne vous marirez Holmes ! Aucune femme seine d'esprit n'arriverait à vous supporter !
H : qu'est ce que vous en savez ?
M : c'est impossible, vous vivez reclus dans le noir, votre labo fume tous seul dans un coin, vous n'aérez jamais et vous vivez dans un foutoir pas possible ! Comment arriver vous à travailler convenablement ? Et le chien ou est t'il ?
H : ici !
Dit il en montrant Gladstone avachi par terre, elle s'approcha du chien
M : que lui avait vous encore fait ?
H : rien il dort !
M : vous m'exaspérez ! Vous êtes pire qu'un môme de 8 ans !
H : ha ça je vous fais confiance, sa vous connais les marmots !
M : et en plus vous êtes le pire connard que cette terre est porté !
Elle s'en alla en claquant la porte, le chien fut réveillée en sursaut
H : non mais tu le crois sa ! des grossièretés dans la bouche d'une lady, on aura tous vu !
Le chien pencha la tête et souffla dans ses babines
H : ta raison mon vieux, elle s'y habituera !
Le chien se coucha et cracha une bulle de savon qui s'éleva dans les airs
H : heureusement qu'elle n'a vu sa !
Mary était en colère impossible de lui faire entendre raison, elle revint dans le cabinet de son mari qui pouffait de rire et se retenais d'en éclater carrément
M : quoi ?
W : c'était hilarant ! Mais tu t'es trompé sur un point ma chère Mary !
M : lequel ?
W : hé bien vois tu les murs ne sont pas très insonorisés donc on entend tous ce que tu dis
Dit il en toquant dans le mur, Holmes lui répondit d'un énième coup de feu
W : merci Holmes ! Et tu a fait une petite erreur !
M : j'aimerai bien savoir laquelle !
W : et bien tu as dit qu'aucune femme saine d'esprit ne supporterait Holmes !
M : oui ! Avec son caractère c'est impossible !
W : et bien moi je te dis que non !
M : tu me charrie la, personne ne vient le voir excepter ses clients !
W : la seule femme qui peut le mener par le bout du nez !
Un coup de feu retenti dans le mur
W : qui peux le faire ramper d'un claquement de doits
Une rafale de coup de feu assailli le mur et Watson éclata de rire
M : ce n'est pas possible vous me faite une blague tous les 2 ?
W : pas du tout Mary !
M : mais qu'elle femme serait assez folle pour… ?
W : moi j'appel sa un couple courant d'air moi !
Dit il en s'adressant au mur et Holmes lui renvoya une rafale de balle, Mary regarda le mur inquiète
W : ne t'inquiète pas sa veut textuellement dire la ferme !
M : ok ! Qui est ce ? Je ne l'ai jamais vu à Baker Street !
W: c'est parce que tu y es que depuis 5 jours, elle va bientôt revenir dans la semaine
M : elle vit ici ?
W : non, ils sont aussi fuyant que des courants d'air tous les 2
M : mais…
W : ha je ne peux pas t'en dire plus !
H : merci mon vieux !
Holmes était apparu sur le pas de la porte
W : vous êtes sortis Holmes ? Qu'est ce qui ne faut pas faire !
M : alors c'est une farce ?
W : non ! Ce n'est pas une farce, mais il n'aime pas que l'on parle d'elle
H : sa ne vous regarde pas, et vous non plus Mary, vous m'aviez dit qu'on doit avoir chacun son territoire le mien s'arrête ici
M : qui est ce ?
Dit elle en le poursuivant dans le couloir, Holmes rentra dans sa chambre et lui claqua la porte au nez, Watson pris sa femme par les épaules et l'emmena plus loin
W : laisse le, il n'est pas bien en ce moment
M : mais pourquoi ? C'est à cause d'elle ? Comment s'appelle t'elle et ou est t'elle ?
W : aie j'ai réveillé ton instinct de commérage !
M : j'ai le droit d'être curieuse !
W : Holmes c'est une huitre, jamais il ne dira un mot, quand à moi j'ai trop de respect pour lui
M : je suis ta femme quand même !
W : oui mais il lui faut plus de temps avant de permettre à quelqu'un de l'extérieur de connaitre certaine chose de sa vie privé, tu comprends ?
M : d'accord ! Mais je suis curieuse ! Elle revient quand ?
W : dans la semaine mais c'est compliquer aller vient laisse le tranquille !
M : dit moi au moins pourquoi il ne va pas bien ! Il est sur une affaire, bon ce n'est pas une grosse affaire mais sa devrait l'intéresser !
W : il la déjà fini cette affaire !
M : déjà ? mais la personne est venu il y a 2 jours !
W : Holmes résout défois des cas en 24h !
M : alors pourquoi ? Il s'ennuie ?
W : oui aussi, mais elle lui manque et ça c'est pire que de ne pas avoir d'enquête !
M : sa alors ! Holmes en amoureux transit laisse moi rire !
W : ha je ne te le permettrai pas c'est un excellente amie qui me la sortie du pétrin plusieurs fois
Mary fit une moue boudeuse
W : ne sois pas jalouse, ce n'est absolument pas mon genre de femme, elle est son alter ego féminin !
M : sans déconner ?
W : c'est vrai !
M : mais que fait elle comme métier ?
W : je ne dis plus rien !
Mary croisa les bras en râlant, Watson rigola, embrassa sa femme, attrapa sa mallette et ouvrit la porte menant au escalier
W : je dois aller voir une dame pour sa petite fille malade, tu promets de le laisser tranquille ?
Elle leva la tête en l'air faisant mine de ne pas l'écouter
W : s'il te plait Mary ! C'est assez dur pour eux 2 ne le torture pas, qu'il essaie un peu de se changer les idées !
M : bien d'accord ! Mais s'il cherche la provocation je ne me gênerais pas !
W : je te fait confiance, à tout à l'heure !
Il sortit en saluant madame Hudson dans sa cuisine, Mary s'assit sur les marches visiblement contrarié, madame Hudson sortie de sa cuisine s'essuyant les mains avec un torchon
MH : ne vous en faite pas Mary, vous aller apprendre à la connaitre ! Ne vous fiez pas à son métier !
M : pourquoi elle est prostitué ?
MH : ho non ! Elle est bien plus rusée que ça !
M : vous non plus vous ne me direz rien ?
MH : si vous m'aidez à ranger ma cuisine il se pourrait que je lâche quelques informations confidentielles
Mary sourie et descendit les marches pour venir l'aider
