Hello tous le monde ! 'Quand l'amour vous tombe dessus ...' est ma première fanfiction donc j'espère qu'elle vous plaira ... Je vous rapelle seulement dans ce chapitre que les personnages appartiennent à Stéphanie Meyer. Je ne fais que m'amuser avec eux ...

Bon je vous laisse lire. Bonne lecture.

Quand l'amour vous tombe dessus...

Chapitre 1 : Une rencontre fracassante.

POV Bella

Voilà, nous y sommes. Forks …

Je m'appelle Isabelle Marie Swan, j'ai dix-sept ans et je suis disons obligée d'aller vivre à Forks chez mon père Charlie. Ma mère Renée est désormais remariée avec Phil. Phil … , très gentil même adorable avec ma mère et moi, mais il est tout le temps en déplacement. Voyez-vous Phil est joueur de base-ball en seconde ligne, mais pour décrocher un contrat il doit aller à droite et à gauche. Au début, ma mère restait avec moi mais je voyais bien qu'elle était malheureuse. Donc j'ai décidé – même si ma décision ne me plaît guerre – d'aller vivre chez mon père Charlie. Il vit dans une petite ville nommée Forks dans l'Etat le plus froid et le plus humide des Etats-Unis : l'Etat de Washington.

Ah … Forks, bonjour la pluie, les nuages gris et adieu Phoenix, adieu magnifique soleil, adieu chaleur étouffante, adieu … Oui, avant j'habitais Phoenix. Il fait toujours beau là-bas, toujours très chaud, toujours … Rah je n'arrive pas à me faire à l'idée que je vais vivre chez mon père.

Nous venons d'arriver à l'aéroport de Seattle. Comme je m'en doutais, il pleut. Je vais devoir m'y habituer. Je soupirais à cette idée. Ma mère le remarqua et me dit :

Qu'y a-t-il ma chérie ?

Rien c'est juste qu'il pleut !

Elle se mit à rire.

Tu sais, j'avais la même réaction avant de quitter ton père.

Comment ça ? M'exclamais-je surprise en penchant la tête sur le côté.

Eh bien quand j'allais rendre visite à ma mère je partais toujours deux ou trois semaines. Chez ta grand-mère, il y faisait toujours très beau et chaud – comme à Phoenix – et quand je revenais et que je revoyais la pluie j'avais la même réaction, ce qui faisait rire ton père. Il me disait tout le temps entre deux rires : « tu ne t'y fera donc jamais ».

Nous partîmes de l'aéroport en riant et … en voiture de police. Ah oui, je vous aie pas dit : Charlie est le chef de la police à Forks et il était venu nous chercher à l'aéroport. Donc nous allâmes jusqu'à ma nouvelle maison dans la voiture de patrouille de Char... de mon père. Je vais aussi devoir m'habituer à l'appeler papa. Ça en fait des habitudes à prendre … Bref je disais … ah euh oui … nous arrivâmes devant la maison de … devant ma maison. Mon père m'aida à monter mes affaires dans ma chambre. Ma chambre … elle est toujours la même qu'avant. Bon d'accord je venais en vacances chez mon père jusqu'à mes douze ans, il m'avait donc installé un petit lit. Mais là, le petit lit avait été remplacé par un grand lit. Un ordinateur – préhistorique à mon goût – avait envahi le bureau. Malgré son grand âge, il était doté d'internet. C 'était une des conditions que ma mère avait posé à mon père pour me laisser aller vivre chez lui.

Ma mère avait décidé de rester jusqu'à demain en utilisant comme excuse la fatigue que procurait ces longues et interminables heures d'avion. Mais je savais qu'elle voulait s'assurer que tout irait bien et que je ne regrettais pas totalement ma décision. Avant même d'avoir atterri à Seattle, Renée avait planifié la journée suivante. Elle partait en fin d'après-midi et elle voulait passer sa dernière journée – et même ses dernières heures dans l'Etat de Washington – avec moi. Elle avait donc planifié une journée shopping à Seattle. Décidément mon année à Forks commençait mal, très mal. Je m'explique en essayant d'être claire et rapide : je déteste le shopping au plus haut point. Mais bon pour faire plaisir à ma mère – et vu que c'était la dernière journée que l'on passerait ensemble avant longtemps – j'avais accepté, même si je pensais que c'était une mauvaise idée.

POV Edward

Moi, Edward Anthony Masen Cullen, malgré ma condition de vampire vieux de un siècle, j'avais cédé. J'avais encore cédé à mon petit lutin préféré, Alice. Quand elle me fait ses yeux de cocker je ne résiste pas. Résigné, je dus accompagné Alice, Rosalie, Emmett et Jasper au centre commercial.

On devait y passer toute la journée car Alice avait décidé de refaire sa garde robe de même que Rosalie. Jasper, Emmett et moi devions les accompagner car Esmé avait insistait auprès d'Alice pour que nous tous passions la journée hors de chez nous. Esmé avait prévu une journée rien qu'avec Carlisle – juste avant son service qui reprenait à 18h30 – pour fêter le jour où ils se sont rencontrés. Donc je passais ma journée au centre commercial à errer dans les boutiques où mes sœurs nous trainaient. La matinée fut très longue, le midi était un peu mieux mais restait ennuyeux, ainsi que l'après midi. Il était 18h00 …

POV Bella

Il était environ 18h00. J'étais exténuée. Ma mère partait dans environ 1h00. L'aéroport était à côté donc nous allions sortir du centre commercial pour aller enregistrer les bagages et nous dire au revoir quand tout à coup je percutais quelque chose … ou plutôt quelqu'un avec un millier de quelques choses dans les bras. Décidément c'était vraiment pas mon jour de chance aujourd'hui.

J'étais allongé parterre quand je m'aperçus de qui était la personne avec laquelle j'étais rentrée en collision. Il … il avait des yeux magnifiques et … il était sur moi ?! C'est une fois sortie de mes pensées que je senti mon poignet douloureux. Ah non, ce n'était pas le moment ! Comment allais-je faire pour jouer de mon violon si je m'étais foulée ou cassée le poignet ? Je joue du violon depuis mes 12 ans et je comptais intégrer la classe de musique au lycée de Forks. Avec ma vaine, je l'avais surement cassé. Tout ça était de sa faute. Rah … il va passé un mauvais quart d'heure celui-là, parole d'Isabella Swan.

POV Edward

Alice et Rosalie avaient encore dévalisé les magasins. Jasper, Emmett et moi portions tous les sacs. Il y en avait tellement que je ne voyais plus où j'allais. J'écoutais ou du moins j'étais forcé d'entendre les pensées d'Emmett et de Jasper. Ils repensaient à leurs ébats amoureux. Il y a des fois où j'aimerais ne plus avoir le don de lire les pensées. Et là, l'impensable arrivât : je percutais quelqu'un. En un siècle de vie vampirique jamais je n'avais percuté quelqu'un, même si je n'y voyais rien. Décidément, aujourd'hui n'était vraiment pas mon jour. Je n'eus même pas le temps de rattraper tout les sacs que je m'écrasais de tout mon poids sur la personne qui m'avait percuté. Franchement les gens ne pouvaient pas faire attention où ils allaient ?! Je me retrouvais sur une fille, les yeux dans les yeux. Elle avait des yeux magnifiques et profonds …

Je sorti de mes pensées quand j'entendis Emmett dire entre deux rires :

Décidément il faut que tu les fasse toutes tombées comme des mouches.

Toute ma famille se mit à rire. C'était donc ça qu'Alice avait vu et qu'elle m'avait caché. Elle avait passé toute la journée à scruter les gens – comme si elle cherchait quelqu'un – tout en me jetant des coups d'œil et de grands sourires et en se retenant de rire. Elle aurait pu me prévenir !

Sur les paroles d'Emmett je vis la jeune fille rougir et c'est là que je sentis son odeur. Son sang était enivrant, j'eus même envie de la tuer, de la vider de son sang, là, devant tout le monde. C'est seulement quand Jasper me tira par le bras pour me remettre sur mes pieds que je reviens à la réalité . Je pris panique et sortis du centre commercial, Jasper sur mes talons. Je montais dans la volvo ainsi que Jasper et je démarrais à toute vitesse essayant de penser à autre chose qu'à son sang.

POV Bella

Au bout d'un moment, voyant que l'on ne bougeait pas, un gars plutôt grand avec des cheveux blonds et frisés tira le gars qui était allongé sur moi par le bras. Ils me regardaient tous et à en croire la chaleur sur mes joues, je devais encore avoir rougi. Une fois relevée, je le vis mieux. Il était magnifique. Il avait des yeux d'un doré époustouflant, une peau très pâle et des cheveux désordonnés dont la teinte était cuivré. Il était à couper le souffle. Je secouais la tête pour m'enlever ses idées. Mais à quoi je pensais ? J'en oubliais même de lui passer un savon ! J'ouvris la bouche pour lui faire passer un sale quart d'heure mais, avant qu'un son n'eut le temps de sortir, il tourna les talons et partit avec à sa suite le grand blond. Rah si un jour je le revois – ce que n'espère pas ni pour moi ni pour lui – je me vengerais.

Je commençais à bouger mon bras droit pour ramasser mon sac qui était toujours parterre mais une douleur me transperça le poignet et m'arracha par la même occasion un cri de douleur. Ma mère s'affola :

Ça va ma chérie ?

Non je crois que je me suis cassé le poignet. Je lui montrais mon poignet.

Tu dois aller voir un médecin ! M'ordonna-t-elle.

Je connais un médecin super, annonça une des jeunes filles du groupe.

Je levais mon regard pour le poser sur elle. Elle était plutôt petite et avait les cheveux bruns, courts et qui partaient en pointe de chaque côté. Voyant que je ne bougeait pas, elle continua :

Je m'appelle Alice Cullen et voici Rosalie et Emmett. S'il te plait excuse mon frère Edward, il est un peu … triste et solitaire ces temps-ci. Mon père est le docteur Carlisle Cullen. Il pourrait examiner ton poignet.

Voyant que je ne disais toujours rien, ma mère prit la parole :

Oh, j'ai entendu parler du docteur Cullen. On dit que c'est un excellent médecin.

Maman, on doit y aller tu pars dans 40 minutes, déclarais-je finalement en regardant ma montre.

Mais tu dois consulté un médecin ! Insista Renée.

Je te dit que tout va parfaitement bien … aieu.

Zut, mon poignet me faisait affreusement mal mais je ne voulais pas que Renée rate son avion à cause de moi. La petite brune dut s'en apercevoir car elle ajouta, toute excitée :

Je peux t'y emmener si tu veux.

Non je …

Tu es sûre que cela ne t'embête pas ? Demanda ma mère à la jeune fille.

Absolument pas. Cela me ferait plaisir et puis c'est à cause de mon frère après tout. Alors tu es d'accord ? Me demanda-t-elle en faisant des yeux de cocker.

Comment pouvais-je lui résister avec ses yeux-là ? Le pire dans tout ça, c'est que je ne la connaissais même pas.

Bon d'accord.

Ma mère se tourna vers moi et me dit en me serrant dans ses bras :

Bon alors soigne toi bien et surtout n'oublie pas de m'appeler pour me donner de tes nouvelles. A bientôt chérie.

A bientôt maman.

Sur ce, elle partit en direction de l'aéroport. Je suivis donc Alice jusqu'à l'hôpital où travaillait le docteur Cullen.

Bon, j'espère qu'il vous a plu. Donner moi votre avis ...