Titre original : Gentlemen, place your bets
Auteur : Kazunari Midorima
Traducteur : Ruth Dedallime
Disclaimer : Rien de Kuroko no Basket n'appartient à Kazu ou à moi. La fic originale, tout comme les Point-Guards Poker Players, appartiennent à Kazu. La traduction est mienne.
Ceci est une petite traduction de l'hilarante fic de Kazu "Gentlemen, place your bets", que je lui dédie, bien évidemment.
Vous trouverez le lien vers la fic originale dans mes histoires favorites. "Gentlemen" fait partie d'un ensemble de fics et d'OS qui constitue un tout cohérent. Aussi, vous pouvez retrouver les Point-Guard Poker Players dans d'autre fics de Kazu.
J'ai fait un board Pinterest avec des visuels des différents personnages de l'histoire. Le lien se trouve sur mon profil.
Je remercie Violette et Ahelya pour leurs corrections.
L'histoire commence lors de l'épisode 12 de la saison 2 ou du chapitre 110 dans le volume 13 du manga, lors de la fameuse scène du sauna.
Chapitre 1
« Je n'aime pas l'idée de le laisser seul, avec ce… » Koganei fit une pause, jetant un œil aux membres de l'équipe de Too, étendus çà et là aux abords du sauna. Il baissa la voix et continua : « … ce type louche. »
« Notre capitaine n'a rien de louche… » fit Sakurai, les joues d'un rose soutenu et les cheveux plaqués sur le visage. « Euh, j'veux dire… Désolé ! Aaaah... J'aurais pas dû écouter votre conversation et même si je l'ai fait, j'aurais pas dû intervenir… Je-je suis désolé ! Je voulais pas… »
« T'inquiète pas. Il est solide, » coupa Hyuga, pour réconforter Koganei. « J'ai confiance en lui. Il va nous gagner ce pari ! »
Hyuga n'avait pas l'air beaucoup plus en forme que Sakurai et ses verres de lunettes étaient encore complètement couvertes de buée. Il parvint néanmoins à chanceler jusqu'au bassin d'eau froide, où il prit place entre Kawahara et Fukuda.
« Il a intérêt à nous le gagner, ce pari, » marmonna-t-il « Je ne crois pas qu'on ait le budget pour payer des boissons à tout le monde ! »
Koganei et Sakurai regardèrent en direction de la porte, d'où leur parvenait le rire d'Imayoshi.
« Neuf frères et sœurs ?! » rigola Imayoshi, en repoussant en arrière ses cheveux mouillés de sueur. « Tu sais que les enfants ne naissent pâs dans les choux, n'est-ce pâs (1) ? »
Du doigt, il enleva un peu de condensation de l'intérieur de ses lunettes, mais cela ne servit pas à grand-chose. Communiquer avec le garçon mutique en face de lui était déjà difficile, vu que l'autre n'y mettait aucune bonne volonté, alors si en plus il ne pouvait pas voir ses gestes... Imayoshi se rapprocha prudemment, jusqu'à se trouver à la perpendiculaire de son interlocuteur.
Oui, j'ai eu des cours d'éducation sexuelle, moi aussi, merci bien, gloussa Mitobe, et si ça ne te dérange pas, je préférerais que tu restes là où tu étais.
Il n'avait pas vu dans cette manœuvre d'approche une tentative d'améliorer leur communication, mais plutôt une technique d'intimidation. Mitobe était grand, exceptionnellement grand même, mais l'autre à côté de lui paraissait encore plus imposant que Kiyoshi-senpai.
« Tu ne parles vraiment pâs, n'est-ce pâs ? » fit Imayoshi avec son fort accent nasillard. « Quand Momoi t'a surnommé le "Hook Shooter (2) solide et silencieux", personne ne l'a pris au sens littérâl. Nous allaons devoir présenter nos excuses à la petite demoiselle. »
Mademoiselle Momoi a dit ça à mon propos ? Mitobe haussa les épaules, tentant de dissimuler qu'il était secrètement heureux que la magnifique jeune fille l'ait remarqué. Au moins, si je rougis ici, il ne le remarquera pas.
« Tout à fait. Je ne pense pâs que j'aurais grand-chose à dire, moi naon plus, si j'avais neuf frères et sœurs. Ils te laissent probablement pâs beaucoup l'opportunité d'en placer une, hain ? Quand bien même t'en aurais l'envie... »
Aouch. En plein dans le mille, approuva Mitobe, en hochant la tête.
« Quelque chose me dit qu'un type qui ne parle pâs doit être une sacrée bonne oreille, pâs vrai ? »
Mitobe haussa derechef les épaules. T'imagines même pas...
« Il existe une traditiaon de par chez moi. Quand aon se trouve dans un sauna pour purifier saon corps, c'est aussi l'opportunité de purifier saon âme. Par caonséquent, aurais-tu quelque chose à partager pour alléger ta caonscience ? »
Mitobe fixa du regard le capitaine de l'équipe de Too qui tanguait sous l'effet de la chaleur. Il n'a pas l'air bien. Je devrais peut-être l'aider à sortir d'ici.
« Naon ? » fit l'autre garçon. Il était tellement habitué aux bavardages intempestifs de ses coéquipiers que, dans son délire, il avait sans doute oublié à qui il était en train de parler. D'autant que ses lunettes étaient à nouveau totalement couvertes de buée.
« Ça va, là-dedans ? » fit Koganei, en frappant à la porte.
Je vais bien Shinji, ne t'inquiète pas pour moi. Il fait bien plus chaud chez moi en été. Je peux très bien le supporter.
« J'ai pâs encore noyé ton copain, » intervint Imayoshi.
« Ok, si tu es sûr de toi, Rin, » répondit Koganei.
Le capitaine de Too leva un sourcil que Mitobe décida d'ignorer.
Imayoshi fit une pause, puis rajouta un peu de combustible dans le feu. « C'est pâs que je n'apprécie pâs immensément ta caompagnie, mais je pense que plus vite aon dégagera d'ici, mieux aon se portera l'un et l'autre. Tu crois pâs ? »
Le plus vite tu dégageras d'ici, au mieux JE me porterai.
« Je peux peut-être te caonvaincre de sortir le premier... L'argent, çâ t'intéresse ? »
Mitobe détourna le regard en soupirant. Mon équipe vaut plus que quelques yens.
« Ouais, c'est bien ce que je pensais. Je pourrais sinaon te raconter des histoires de fantômes ? Çâ te fait peur ? » demanda Imayoshi, avec un large sourire.
Y a que ton sourire qui me fait peur, pensa Mitobe. Franchement, qui d'autre peut bien sourire comme ça ?
« T'es pâs facile à cerner, Mitobe-kun. T'âs déjà joué au poker ? »
Mitobe secoua la tête.
« Naon ? Et bien, t'es formellement invité à la prochaine partie de poker des Point-Guards (3) de vendredi soir. Nous ne jouaons pas d'argent, mais tu dois apporter de lâ bouffe, du sucré si possible. Takâo n'apporte que des trucs sains et "baons pour tâ santé" et Kasamâtsu s'imagine que le râmen est le summum de lâ gâstronomie. »
Moi ? Mais je suis pas Point-Guard ! pensa Mitobe.
Après avoir passé dix minutes seul avec le garçon silencieux, Imayoshi se sentait maintenant capable de deviner ce que signifiait ce visage expressif :
« Oui, toi ! Puisqu'y â que toi ici. Je sais que mâ réputatiaon m'a précédé, mais je te jure que je suis pâs un psychopâthe. Je suis juste un sociopâthe narcissique. Je me plais en ma propre caompagnie, mais je ressens pâs encore le besoin de me parler à moi-même. »
Voilà qui est surprenant, vu à quel point tu sembles détester le silence.
« Bon, puisque t'as pâs l'air de vouloir profiter du caonfessionnal qu'est ce saunâ, moi, je vais le faire, » continua-t-il en reprenant le fil originel de la conversation ce qui obligea Mitobe à se la remémorer en entier pour comprendre de quoi il était question. « Et puis, j'ai l'impressiaon que je peux te dire n'importe quoi sans crainte que celâ me retombe sur lâ gueule. »
Par pitié, ne me révèle pas que tu as buté un de tes kouhais.
« T'en fais pâs. Si tu t'évanouis, je préviendrai tes coéquipiers pour qu'ils te portent à l'extérieur... Mais ce que je regrette… » soupira-t-il. « Je regrette d'avoir laissé l'équipe de Too évoluer ainsi cette année. Sur le papier, çâ parait stupide, et même suffisant, vu qu'on a pâs perdu un seul match cette saisaon, mais je crains que l'égo d'Aomine ne fasse plus de dégâts qu'autre chose à laong terme pour notre équipe. »
Mitobe n'était pas surpris ; ce genre de sourire forcé ne lui était pas complètement étranger. Il observait les gens tout le temps et ceux qui forçaient ainsi un sourire le faisaient généralement pour cacher quelque chose.
« Et puis, il y a Sakurai... A sâ manière, ce pauvre garçaon est pire qu'Aomine. Je te jure, il était déjà complètement névrosé en arrivant dans l'équipe. J'essaye le plus souvent de voir à laong terme, tu caomprends ? Je ne peux pâs juste garder le nez dans le guidaon, il faut aussi planifier l'avenir et tout. Alors, même si bientôt, je ne serai plus capitaine, je me sens quand même responsâble de ce qui vâ advenir. »
Je ne vois pas où tu...
Le Point-Guard gémit tout à coup et s'affaissa vers l'avant. Mitobe retira soigneusement les lunettes du garçon et vit qu'il n'était plus 100% avec lui. Il lui tapota la joue jusqu'à ce que Imayoshi reprenne conscience.
« Je suis désolé de te demander çâ, mais pourrais-tu m'aider à sortir de là ? Je pense pâs pouvoir tenir sur mes jambes pour le moment. »
Mitobe hésita. Est-ce que ce n'était pas un autre de ses plans ?
« Je te promets, » haleta Imayoshi, « j'admettrai mâ défaite. Sur mon honneur ! »
La bouche de Mitobe se tordit en un sourire incrédule.
« Ok, t'âs qu'à me jeter dehors, si çâ te fait plaisir ! » grimaça Imayoshi.
Mitobe aida Imayoshi à se mettre debout et à retrouver un équilibre chancelant, puis, après s'être assuré que la serviette du Point-Guard ne risquait pas de glisser, il passa le bras du capitaine par-dessus son épaule et referma son bras gauche autour de sa taille. La présence d'Imayoshi, imposante tant qu'il était assis, fondit comme neige au soleil, quand Mitobe constata que lui-même mesurait facilement six centimètres de plus. D'autant que, pour l'heure, le capitaine de Too menaçait de tourner de l'œil en gémissant comme un ivrogne.
Mitobe le traîna jusqu'à la porte, qu'il ouvrit délicatement du pied. Koganei, Hyuga et Sakurai furent tous là en un instant pour constater la victoire de Mitobe, dernier à quitter le sauna. Il se déchargea de son fardeau auprès du jeune Shooting Guard (4) aux nerfs fragiles et put ensuite recevoir les félicitations de son équipe.
« Je savais que tu en étais capable, » dit Hyuga en lui tapant dans le dos.
« J'espérais bien qu'il te tuerait pas, » fit Koganei, visiblement rassuré.
Je suis plus fort que ça, répondit l'expression sans équivoque de Mitobe. Certains de mes frères et sœurs ne sont pas des enfants de chœur, après tout.
« Je sais, je sais, mais bon, tu peux pas avoir le monopole de l'inquiétude, » fit Koganei en haussant les épaules.
« Est-ce que quelqu'un pourrait chercher mes lunettes ? Je crois que je les ai oubliées dans le saunâ, » demanda Imayoshi. Mitobe retourna dans l'étuve et les retrouva exactement là où il les avait posées.
Plus tard, quand Imayoshi eut repris des couleurs normales, il sortit du bain froid et chancela jusqu'aux vestiaires, où il se trouva nez à nez avec le Hook Shooter de Seirin, toujours aussi silencieux, et drapé dans un yukata bleu clair.
« Je crois que je te dois une boissaon, » dit-il, en mettant son propre yukata et en séchant ses cheveux avec une serviette.
Oui, je crois bien que tu m'en dois une, approuva Mitobe.
Imayoshi chercha son portefeuille parmi ses affaires et introduisit dans le distributeur la somme correspondante à la boisson la plus chère. Puis il recula pour permettre à Mitobe de faire son choix. Ce dernier prit une boisson énergétique parfumée à la fraise.
« Je vais peut-être même t'offrir quelque chose à grignoter, » reprit Imayoshi en désignant un second distributeur.
Immédiatement, les yeux de Mitobe s'arrêtèrent sur ses barres de KitKat favorites : celle au wasabi et celle au chili épicé, mais il détourna rapidement le regard, pour éviter les malentendus. L'enjeu du pari était une boisson. Rien de plus.
« Ne joue pâs au martyre, si tu veux un Kitkât, je t'offre un Kitkât. Après tout, t'aurais pu me laisser crever là-dedans et tu l'âs pâs fait, » fit Imayoshi, en marchant résolument vers le distributeur.
Tous les KitKat étaient au même prix, il glissa donc deux pièces de 100 yens dans la machine et demanda par-dessus son épaule : « Alors, tu veux lequel ? Wasabi ou Chili ? »
L'un ou l'autre, tressaillit Mitobe, surpris par les capacités d'observation de ce garçon aux paupières presque closes. Il ne vit pas quel bouton Imayoshi avait pressé, mais il entendit distinctement le bruit du paquet tombant dans le tiroir du bas du distributeur, suivi aussitôt de deux nouvelles pièces et d'un deuxième paquet rejoignant le premier.
« J'ai jamais goûté celui au wasabi. Ça te dit qu'on partâge ? » demanda Imayoshi, en lançant celui au chili en direction de Mitobe, qui tendit le bras et l'attrapa.
Alors qu'ils sortaient du vestiaire, ils aperçurent Sakurai cavalant dans le couloir, une serviette serrée bien fort autour de la taille. Des ricanements venaient du vestibule, suivi des pas lourds et rapides de deux poursuivants. Imayoshi poussa Mitobe sur le côté, laissant passer Sakurai qui criait : « Je suis désolé ! Je suis vraiment désolé ! »
Deux membres de l'équipe de Too, que Mitobe avait vu dans le sauna, passèrent à leur tour, bien décidés à rattraper le Shooting Guard.
« Capitaine, » fit l'un d'eux avec un signe de tête, tout en conservant son allure.
Est-ce que j'ai vraiment envie de savoir ?
« Je te promets, j'ai jamais porté la main sur lui, mais aon dirait qu'il fait tout pour se faire martyriser pâr les autres, » fit Imayoshi en levant les mains en signe de capitulation.
Encadré par ses deux coéquipiers, Sakurai fut bientôt traîné jusqu'au vestibule, où trois filles gloussaient, leur téléphone à la main.
« Elles veulent juste te parler, Sakurai. Reprends-toi et nous fiche pâs la honte ! » fit l'un d'eux d'une voix sèche en mettant un coup de poing de sa main libre dans le ventre de sa victime.
De nouveau sur ses pieds, mais toujours couvert uniquement d'une serviette, Sakurai jeta un coup d'œil aux filles et s'évanouit aussitôt.
« Il est pathétique, » remarqua l'une des filles, en contemplant le comateux d'un air dégoûté.
« Venez, on vous offre un verre pour nous faire pardonner, » proposèrent aussitôt les garçons.
Mitobe se précipita vers Sakurai tandis que les autres s'éloignaient. Il s'agenouilla et tapota la joue du garçon. Si je dois encore m'occuper d'un gars de Too...
« Mais laisse-le daonc. Tu te prends pour qui ? Sa môman ? » fit Imayoshi, en s'accroupissant à ses côtés. Il poussa du doigt le Shooting Guard, en se demandant si le garçon survivrait jusqu'à la fin de la saison.
Sakurai se redressa brusquement, les faisant tout deux sursauter, puis en tentant de s'enfuir, il heurta la fille qui était restée en arrière. La serviette tomba au sol, Sakurai et la fille poussèrent des cris de concert, puis le garçon tomba à la renverse, raide comme une planche, son corps nu totalement exposé.
Une fois sa première frayeur passée, la fille se mit à prendre des photos.
Mitobe s'empara de la serviette posée sur les épaules d'Imayoshi et en couvrit la dignité déjà blessée de Sakurai.
Arrête-la, bon sang !
« Si tu viens jouer au poker vendredi, je m'occupe d'elle, » négocia Imayoshi, alors que la fille commençait à écrire un message pour accompagner la photo.
Tout ce que tu veux, fais juste quelque chose. Mais sans lui faire de mal, Mitobe acquiesça vigoureusement.
« Mademoiselle, personne n'a envie de voir çâ, » intervint Imayoshi en lui prenant le téléphone des mains pour couper court à ses protestations. Après quoi, il montra rapidement le téléphone à Mitobe, en pointant le fichier vide. « Tu vois ? Plus rien. »
La fille les fusilla du regard pendant une seconde, avant de réaliser que le sourire d'Imayoshi n'était pas aussi bienveillant qu'il ne paraissait. Elle arracha son téléphone de sa main tendue et recula en direction du vestibule, avant de se retourner et prendre la fuite.
Mitobe soupira et utilisa la deuxième serviette pour faire un oreiller à Sakurai. Imayoshi saisit le téléphone de Mitobe dans sa poche et le synchronisa avec le sien.
« Je te texterai l'heure et l'endroit. T'inquiète, aon se retrouve dans un café à côté des dortoirs de Too. Tu peux y aller maintenant et moi je m'occupe de ce... bordel. Je voudrais pas que taon équipe croit que je t'ai noyé dans les douches, hain ? »
Mitobe jeta un dernier coup d'œil au garçon étendu par terre, puis au jeune homme souriant. Il y avait quelque chose de prédateur dans ce sourire, mais Mitobe comprit que c'était également un moyen de défense. En définitive, il était davantage inquiet pour Imayoshi qu'il ne l'était pour Sakurai.
1: Imayoshi a l'accent nasillard d'Osaka. Pour ressembler au plus près, j'ai accentué les "a" en fin de phrase, remplacé tous les sons "on" par "aon" et les "in" par des "ain".
2: Un Hook-shooter est un joueur qui pratique des hook shot (en français un 'bras roulé'), qui sont des tirs au panier en plaçant la main comme un crochet autour de la balle et en faisant un ample geste du bras qui se termine au-dessus du niveau de la tête. Il faut le voir pour comprendre.
3: Un Point-Guard est une position au basket-ball à l'arrière du terrain. En français, on parle de meneur de jeu, mais ce n'est pas une très bonne traduction. Les japonais, comme les anglo-saxons, utilisent le terme de Point-Guard, j'ai donc choisi de le garder tel quel.
4 : Un Shooting-guard est une autre position au basket-ball. En français on parle de 'arrière', pas une très bonne traduction non plus. Le rôle des Shooting-guards est de marquer des paniers à trois points de l'extérieur. Pour la même raison que précédemment, j'ai préféré garder le terme anglo-saxon.
Kazu aime les reviews, donc n'hésitez pas à en laisser pour elle, annexement pour moi, mais je ne suis que l'humble traductrice.
La suite dans 15 jours !
A bientôt !
Ruth
