Auteur : Nanako.

Note de l'auteur : Que diriez-vous d'un Itachi dominé ? Étonnant, non ? J'vous laisse, bonne lecture ;)

L'Akatsuki.

Ce simple mots fait trembler les plus grands criminels du Japon.

Sauf toi.

Tu continuais à nous défiez.

Accumulent crimes, vols, braquages, séquestrations, enlèvements.

Tu es devenue l'ennemi publique n°1.

Deidara.

Ou aussi connu sous le nom de " La Faucheuse ".

Tu as surpasser les plus grands criminels en nous échappant à chaque fois.

Le monde est devenue noir.

Tous les criminels prennent exemples sur toi.

Prenants tous le temps aux forces de l'ordre.

Pendant que toi, tu continue à tes occupations.

Les mois ce succèdent.

Les habitants de Tokyo tombent les un après les autres.

Que ce soit de ta mains.

Ou celle d'un autre criminels.

Nous nous épuisons petit à petit.

Nous faisons des erreurs.

Ont tues des innocents par erreurs.

On se fait avoir par les plus idiots des criminels.

On tombent facilement.

On tremble facilement.

on devient fous facilement.

Plus de la moitié des forces de polices sont décimé.

Et tous ça devant toi.

Je sais que tu t'amuses de nous voir faillirent petit à petit.

Cette guerre qui c'est créer sans que personnes ne puissent y faire quelques choses.

Tu es sûr de la gagner.

La pièce est sombre.

Le hangar abrites plusieurs criminels.

Je sais que tu es là.

A chacune de notre rencontre.

Tu t'es débrouiller pour que l'on se retrouvent face à face.

Un bruit.

Une douleur.

Puis le noir complet.

Tu es en face de moi.

Tu m'as détaché.

Donner un pistolet.

Je l'ais braquer sur toi.

Mais rien d'autre ne sait produit.

J'ai l'arme en main.

Toi tu es désarmé.

Le cran de sécurité est désactivé.

Mon doigt est sur la gâchette.

Ma main tremble.

Non.

C'est tout mon corps qui tremble.

Tu souris.

Me fais un signe de main pour que je m'approche.

Je réactive le cran de sécurité.

Lâche l'arme.

Me mets à genoux entre tes jambes.

Ta main glisse dans mes cheveux.

Tu me caresse comme on caresse un chien.

Tu es assis sur ton fauteuil.

Moi sur tes genoux.

Tu me caresse les jambes distraitement.

Le japon est sous ton contrôle.

Mes amis de l'Akatsuki sont tous morts.

Je suis le seul survivant de la police de Tokyo.

Notre liens nous à unis.

Tu ne me traite pas comme un animal.

Mais je dis t'obéir.

Car tu es mon maître.

Ce lien que personnes ne partagent.

Est notre liens.