synopsis : suite à un accident de moto avec son ex, Newt se réveille dans un lit d'hôpital, ne sentant plus sa jambe droite. Mais il a une consolation : l'infirmier qui s'occupe de lui est le plus sexy du monde... Plus tard, quand Newt entre dans son nouveau lycée, il se rend compte qu'il est dans la mêe classe que son infirmier... Newtmas !
PROLOGUE : Un accident
Hey les gens ! C'est ma première fic, en plus je la dédie à Newtmas parce que j'aime beaucoup ce couple ! Je la dédie à mon Basilou, ce c*****d contre lequel j'ai perdu mon pari. Bref je vous laisse avec ce prologue, gros bisous
Je hurle. Pourquoi ? bah, parce que ça fait mal. Non. C'est pire que ça : je sens ma jambe droite, mais pas ma jambe gauche. C'est comme si on me broyait la jambe doite à l'aide d'une massue. Soudain, le rideau à ma gauche s'ouvre et un jeune homme, d'a peu près mon âge entre et pose une main fraîche sur mon fornt. Je me calme aussitôt, et inspire un bon coup. Je m'apprête à parler mais il me coupe la parole.
"Comment t'appelles-tu ? Quel âge as-tu? Où vis-tu ?"
je grimace un peu, il a parlé un peu trop vite, j'ai mal à la tête.
"Je m'appelle Newton, j'ai 17 ans et je vis à Denver"
Il semble satisfait de ma réponse, et, voyant qu'il s'apprête encore à parler, j'ouvre la bouche et un flot de paroles s'échappe de ma bouche.
"Qui es-tu ? Où je suis ? Pourquoi je suis ici ? Pourquoi je ne sens plus ma jambe gauche ? Où sont mes pa... non laisse tomber la dernière question."
Mon visage se décompose. Mes parents m'avient jeté dehors il y a un peu moins d'un mois, pour que j'aille en Amérique.
En reprenant la parole, il me fait sursauter.
"Je m'appelle Thomas Edison, tu... tu es à l'hôpital, parce que..."
Il se tord les mains, comme quelqu'un qui a à dire quelque chose de déplaisant. Il prend une grande inspiration et dit :
"Tu es à l'hôpital car tu as eu un accident. Une moto t'as renversé et une ambulance t'as ammené ici. Tu ne sens plus ta jamba car... Ton nerf principal à été touché, il te faudra sans doute quelques semaines pour récupérer."
"O down..." pensais-je.
"Ok... Thomas, pourquoi tu es ici ? T'as que 17 ans, non ?"
"Oh ! Ca ? C'est parce que je suis en stage deux semaines avec mon lycée. C'est mon premier jour ici, et puis, vu comment c'est parti, je crois que mon directeur de stage va me faire rester avec toi, vu qu'on a le même âge."
J'avais vu juste ! Il avait le même âge que moi. C'était plutôy cool, comme ca je n'aurais pas à me coltiner un vieux médecin rabougri et arrogant.
"Au fait, qui était la personne à moto ?" lui demandais-je
A nouveau, il se tordit les mains.
"Il s'appelle Aris, et il dit te connaître..."
je hoche doucement la tête. Aris ! C'est mon ex ! Comment a-t-il pu me faire ca ! Je me levais pour lui dire deux mots, me doutant qu'il était lui aussi a l'hôpital, quand Thomas me prend doucement mais fermement et me rallonge sur mon lit. Son regard me fait clairement comprendre, que si je ré-essaye, j'aurais droit au même traitement. Quelqu'un d'autre entre dans ma chambre, une grande femme blonde, l'air stricte, droite et sévère.
Elle se présente comme Ava Paige, la directrice de cet hôpital, du nom de WICKED. Sa voix est sèche, comme si nous n'étoins que des insectes pour elle. Il se trouve que c'est aussi la directrice de stage de Thomas, qui, d'entrée, lui demande si pendant les deux semaines de son stage il peut rester avec moi. Juste avant d'accepter, je vois une lueur d'intelligence, un peu mauvaise, s'allumer dans son regard. La lumière se fait dans mon esprit : elle avait tout prévu, comme ca, elle ne l'aurait pas dans les pattes ! Thomas, qui semble d'une naïveté stupéfiante, la remercie mille fois avant de lui souhaiter une très bonne journée. Une évidence me frappe soudain : je ne sais même pas quel jour on est !
Dès qu'Ava est (enfin !) partie, je demande à Thomas quel jour on est. Il en ressort que nous somme le 25 Juillet, pendant les grandes vacances. Je suis soulagé de savoir que je n'est loupé aucun cours quand je me rend compte que mon dernier souvenir remonte au 1 Juillet. J'étais resté 25 jours dans le coma !
"Donc," pensais-je amèrement, "Aris ne doit plus être là"
Thomas me demande ensuite si je peux me lever, TOUT DOUCEMENT me précise-t-il avec un regard lourd de sens. Traduction : je ne pourrais pas m'enfuir de cette chambre d'hôpital somme tout assez banale, tout en blanc etc., pour aller voir si ce salopard qui m'a renversé EXPRES est toujours là. Non, je ne suis pas énervé, non ! Car oui, il l'avait fait exprès ! je l'avis vu griller le feu rouge, puis me renverser comme il le faut. Avant de sombrer dans l'inconscience, j'avais vu la lueur satisfaite et folle dans son regard.
Je m'éxècute donc, me levant doucement, sous le regard scrutateur de celui-ci. Je baisse les yeux et je remarque que je ne porte qu'un caleçon. Dans un élan de pudeur, je tente vainement de cacher ma nudité en recouvrant mon torse de mes bras, mais il se leva et m les enleva avec délicatesse. Puis il commence à me palper le corps en me demandant si j'avais mal. Quand arrive le moment fatidique où il toucha ma jambe gauche, je suis obligé de lui avouer que je ne sens même pas sa main. Il me rallonge sur son lit, et, quand il s'apprête à partir, je lui demande de rester un peu avec moi, rougissant sous la gêne. Avant de m'endormir, je lui demande s'il va rester avec moi. J'entends sa voix, mais je m'endors avant d'avoir déchifré sa phrase
Voilà c'est fini ! je sais, c'est un peu cours, mais ce n'est que le prologue. Pour toi Basilou, en espérant que tu as apprécié ce début d'histoire.
PS : désolé d'avance pour les fautes, ma bêta-lectrice est nulle en othographe XD (Roxaaaaaaaaane !)
Normalement le prochain chapitre devrait arriver vers le 23-25 avril si j'ai le temps.
Gros bisous à vous
Mathou
