Rating: Pour le tout, M.
Pairing: Ludwig x Feliciano, Gilerbet x Elizaveta, Francis x Arthur, Alfred x Ivan x Yao... YEAH. Et mentions d'autres divers. Héraclès x Kiku x Sadiq, Antonio x Lovino ( miaaaam, je bave ), Francis x Jeanne D'Arc/Chevalier ( par le passé )... et de suite xDD
Warning: VAMPIRES. Angst, romance ( hmm, beau couple, on les sépare jamais, c' l'amour fou... ), un peu de violence, pas mal de surnaturel... Puis ajouter un mot magique ? SLASH. Et j'aimerais ajouter des loup-garous... à la moindre occasions, j'en mettrais un ou deux... Je les préfère au vampires, honnêtement x)
Disclaimer: Le premier vampire du genre populaire et normal a été inventé par Bram Strocker. Puis, Buffy a repris, et ça a parti la machine qu'on connaît ( Twilight est un déréglement temporaire, epérons-le... pardon aux fans ), ensuite Moonlight, puis Vampires Diaries, puis Être Humain... et le reste x/
Note: Ouais, ben fallais j' m'y lance un jour ou l'autre, hein xD Attendez-vous à ce que je référence légèrement mon bouquin ( le truc des Originels/Immortels, si j'ai la chance de le placer... Moi et l'héroïne on a le même nom, c' car j'aime le nom... J' la roleplay, aussi. ), et plusieurs séries géniales ( sauf Twilight, c' d' la shit pour mwaah e.e'' ) comme Moonlight, Vampire Diaries, Buffy ou Angel xDD Ou encore, Supernatural, ou les vampires sont parfois récurrents. D'ailleurs, la première partie de la fic se passe en Russie... pour que vous compreniez bien qui a transformé l'autre idiot x) En espérant que ceci vous plaise... bonne et heureuse lecture !
Note 2: Je n'écris pas avec mon clavier habituel, alors j'ai un mal de chien avec celui-ci... Le bouton entrée m' les casse, et j'ai un mal de chien avec l'apostrophe, j' sais pas pourquoi...
Note 3: LA NUIT, J' SUIS SUPER INSPIRÉE ET J' TORCHE DES CULS EN PROSES ! YAHAA !
Note 4: Je compte en Impérial... je trouve ça plus joli xDD Même si, comme en métrique, j'y comprends rien éwé
Note 5: Citations ? Refrain inspirant et élégants de chansons obscures ? Tata Ero en veut ! (PS: seule Tata Ero peut se référer en tant que ceci. Les autres danseront le cossack en tutu en chantant du Céline Dion tandis que Russie leur lance du poulet à la gueule. OH, ZEH MENACE, HEIIN ? )
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« Je ne savais pas que c'était si fragile.
Je ne savais pas que les choses peuvent s'arrêter,
comme ça, et ne plus jamais revenir. »
— Delphine De Vigan
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Forever &Always
par Pervy Otaku
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Prologue: In the dead of the night (Something Wicked This Way Come)
Février 1943, Russie.
~ Elena Siegman — The One ~
Un cri. Long. Douloureux. Déchirant la nuit comme les griffes d'une bête sauvage. La bête avait finit sa chasse. Et elle était repartie avec son dû, les lèvres brillant de perle de rubis, se pourléchant en commentant d'une voix morne que cela n'était pas bon, sa voix ayant toujours l'attrait exotique qui l'avait attiré ici, lançant un regard froid qu'elle réservait à tous à celui à terre, regardant de ses yeux indigo dans ceux bleus perçants de l'autre — rappelant un ciel en pleine nuit, avait-elle dit pour l'attirer.
Et elle partait, aussi belle et fantomatique que la mort, sa chevelure cendrée comme un voile derrière elle, captant délicatement, comme la brume après la pluie, les rayons de la Lune, qui la firent briller d'un éclat de magnificence, alors que lui tenait son cou, ses cheveux volant dans tous ses sens, son uniforme en lambeaux, la croix qu'il portait sur sa cravate au sol, le sang se frayant un chemin entre ses doigts crispés sur les deux larges trous dans son cou, cette sauvage lui ayant ouvert la carotide avec hargne, se délectant de son sang comme du vin français le plus exquis et aromatique — quelle comparaison ironique en temps de guerre...
Tous ses muscles se crispaient et se contractaient dans une douleur qu'il n'avait jamais ressentie. Comme si la moindre éraflure était frottée à un acide particulièrement basique. Chaque respirations le rendait presque malade, il avait l'impression nette, et pensait que c'était bien le cas, que sa gorge brûlait. C'était comme si, en entrant dans sa gorge, l'air prenait feu. Il croyait mourir, et ce, de la morsure d'une salope de russe qui devait faire au moins un bon pied de moins que lui... Ses doigts s'enfoncèrent dans la neige, ajoutant une teinte rouge à la toile immaculée.
Je vais... mourir... ici... ? La pensée elle-même était affolante. Il repensa à Gilbert, qui devait être en train de tirer un coup, même s'ils avaient été vaincus. Ou de boire avec quelques recrus, ou d'autre de ses confrères proches du führer. Peut-être le cherchait-il ? Mon Dieu, il voulait tellement qu'il soit là dans ses derniers instants, même s'il ne dirait certainement que des choses comme qu'il allait le sauver, il était trop génial pour le laisser crever là, et...
« Lud ! Lud ! Atworte mir ! Verdammt ! »
C'était lointain. Comme dans une brume. Mais juste la voix — et il sentait que c'eut pu être n'importe qui, c'était seulement car elle était aussi humaine que lui l'était — réveilla un grondement au fond de ses entrailles. Ses yeux brûlèrent alors que sa vision était rougie, comme s'il regardait à travers de flamme. Son estomac gronda. Qui était l'idiot qui l'appelait, au loin, là... ? Peu importait. Peu importait. Peu importe.
« Lud ! Bordel... Lud ! Oh Mein Gott... ces connards de Soviet... Lud, Lud... » Il hissa lorsque les mains qui semblaient brûler se posèrent sur sa peau. « Lud... Lud... t-tu es tout froid... L-Ludwig... Mein Gott... » L'odeur était alléchante. Son estomac lâcha un ronflement encore plus fort, et il eut l'impression qu'il avait légèrement renfoncé vers dedans. « Petit frère... allez, répond, merde... » Il posa une main sur le bras de l'autre, sa peau blanche contrastant avec son teint plus pêche. « Luddy... Luddy... Gott, danke, danke... »
Une pause.
« Ludwig... Tes yeux sont rou- AAAARGH ! »
Il fondit sur sa proie, comme un faucon en chasse, plongeant ses crocs nouveaux nés dans la peau fraîche et presque vierge du cou du général, goûtant à son premier festin, buvant avec allégresse le sang délicieux qui coula dans sa gorge, le corps de l'autre devenant rapidement mou contre le sien.
Deux cris avaient déchirés la nuit. Et deux cris commencèrent tout.
That's it for today ! —
Définitivement, j'écris mieux la nuit... Et ma mère me gueule quand j' vais me chercher de l'eau à quatre heures. J'imagine pas si elle savait l'once de vodka qu' j'y met xDD Mwéhéhéhé. Le prochain chapitre sera sûrement plus joyeux... Et, j'avertis: j'ai un roman à faire, deux fics de One Piece à finir en trouvant l'inspiration quelque part, et j' vais commencer mon roman aussi ( enfin, re-re-re-re-re-re-recommencer parce que l'autre version me plait plus ).
Mais, je compte bien updater souvent x) Au moins une ou deux fois par mois... Comme cette fic contiendra son lot de moment tristes, j' peux écrire même un peu déprimée xDD Bref, j'attends des reviews...
Prusse: Kesesese~ Pleins de gens reviewront, j' suis dedans, non ?
Ero: * soupire * Mouais, sois mon Lucky Charm, darling * lui saute au coup~ *
Hongrie: * lance une poêle sur Prusse * Et moi, j'aurais un rôle convaincant ?
Ero: T'es pas assez convaincante en personne, toi ? oO'
Hongrie: * flattée, fous un coup de coude brutal et viril à Ero qui sent rien *
Prusse: D'ailleurs, où il est mein brudeur ?
Ero & Hongrie: * petit sourire connaisseur avec une pointe sadique * Nous on saiiit~
Prusse: Ah, il est où ? J' veux jouer à Black Ops avec lui~
Ero: * pense: y'é bizarre lui, y veut tuer des nazis quand il l'était... * Bof, si tu le sais pas là, vaut mieux rien dire...
Hongrie: Et filmer pour nooous *^*
Ero: Tape-là, ma vieille~ * se tapent la main avec un claquement sonore et Hongrie se tient la paume * Oops, my bad...
Eh bien... à la prochaine~
