Ils n'avaient pas réfléchi. Ça s'était passé comme ça d'un coup. Le genre de chose qu'on ne voit pas arriver, qui arrive pile quand on s'y attend le moins. Début de journée comme plein d'autres ou il était en congé. Car oui ils avaient eu des jours de congés lui et son groupe. Alors il avait décidé de sortir pour prendre du bon temps et se changer les idées. Être leader ce n'est pas de tout repos et ça implique beaucoup de responsabilités donc beaucoup de stress. Et c'est dans un bar en bas de sa rue qu'il l'avait vu. Ils avaient pris un verre ensemble enfin il lui avait offert un verre de saké. Bien qu'ils se connaissent dans le milieu du travail, ils ne se voyaient que rarement et les rare fois où il le voyait, il avait remarqué qu'il ne manquait jamais de bonne humeur. Il avait toujours le sourire aux lèvres et les yeux pétillants de malice. Il ne pouvait s'empêcher de plonger son regard dans le sien ou d'échanger quelques sourire quand ils en avaient l'occasion. Ils continuaient de boire et l'un deux était maintenant soul. L'autre, tenant mieux l'alcool que son ami, l'avait raccompagner chez lui en laissant de l'argent sur la table où ils étaient assis. Il l'avait raccompagner en le faisait s'appuyer sur son épaule. Bien qu'en étant pâle, il réussit à ne pas se vider l'estomac malgré la quantité d'alcool qu'il avait ingurgité durant cette soirée. Il ne disait maintenant que quelques mots parfois incompréhensibles ou inaudibles aux oreilles du plus saint. Ils étaient à présent devant la porte de l'appartement de l'un d'entre eux. La montée des escaliers sur deux étages c'était fait plutôt difficile car il n'avait presque plus à tenir sur ses chambres. Sans son ami, il n'aurait pas pu marcher tout seul. Les clés avaient été mise dans la serrure et la porte s'ouvrit. Celui qui n'était pas soul ouvrit la lumière et guida son ami jusqu'au salon où il lui dit d'enlever ses chaussures. L'autre le fit avec beaucoup de mal mais réussit tout de même à le faire. Alors que l'autre refermait la porte qui était rester ouverte, celui qui était soul alla le voir et le colla au mur pour ensuite l'embrasser avec fougue. Il était peut être sous l'effet de l'alcool mais il savait très bien ce qu'il faisait enfin il en avait conscience au fond de lui. Il quitta alors sa bouche pour s'occuper de son cou où il y laissa une jolie marque. Il remonta au niveau de sa bouche pour rejouer avec sa langue. Il passa ses mains sous son maillot caressant le moindre recoin de peau auxquelles il avait accès faisant gémir l'autre. Celui-ci gémit le nom qui le caresser et c'est dans un murmure presque inaudible qu'il murmura un « Miyavi » rempli de sensualité ce qui eu pour effet d'exciter encore plus celui qui l'était déjà bien assez et qui dominer la situation. Ledit Miyavi caressait lentement et de façon sensuelle le torse ainsi que la peau douce de son ami. Ce qui était bien avec les garçons, c'est qu'ils n'ont pas de soutien-gorge a enlevé ainsi ceux avec qui ils font l'amour peuvent facilement accéder au torse et caresser ainsi que lécher la parcelle de peau qu'ils ont en dessous du maillot. Le grand brun aux yeux foncés qui avait le rôle de dominant avait encore ses vêtements. Il remonta vers le haut pour embrasser celui qui gémissait. Une odeur d'alcool lui parvint à ses narines. C'était normal après la soirée qu'ils venaient de passer et ce qu'ils avaient bu. Ne cessant pas de l'embrasser, il caressa de ses deux mains les petits bouts de chair qui se dresser sous le plaisir qu'il lui procurait. Cette douce torture qu'il lui infliger et qui provoquer chez lui une excitation qui ne cessait de grandir au fil des minutes qui semblaient passer à un rythme inhabituel. Plus longue, plus courte, ils ne sauraient le dire, trop plongés dans leur activité. Il aurait pu l'empaler sur place là maintenant et sans préparation ni lubrifiant mais il ne le fit pas. Il voulait lui faire l'amour et non pas le baiser comme un animal. C'est alors dans cette esprit qu'il s'abaissa un peu pour s'attaquer à ce qu'il avait caresser précédemment. Il sortit sa langue de sa bouche et l'utilisa pour titiller ce qu'il avait devant lui. Un gémissement plus fort que ceux qui étaient déjà sorti fut pousser. Il voulait montrer qu'il lui faisait de l'effet, que son corps le réclamer. Ne s'arrêtant pas de sucer les tétons, ils fit balader ses mains dans le dos, sous le vêtement pour sentir cette peau douce et irrésistible sous ses doigts. Chaque passage de ces mains lui procurait un frisson de plaisir. D'un côté, il avait hâte que les choses sérieuses commencent mais il ne fallait pas être trop impatient. Pour l'instant il savourait les caresses que ses mains et sa langue lui procuraient. Ses tétons se durcissent de plus en plus et il le remarqua ce qui fit apparaître un sourire sur son visage. Il s'arrêta alors pour déposer un rapide baiser sur ses lèvres avant de prendre le bas du t-shirt et de le soulever lentement, reprenant possession de ces lèvres sur lesquelles il n'arrêtait pas de poser les siennes. Bien sûr il ne faisait pas que poser ses lèvres sur les siennes il faisait sortir sa langue pour caresser ces même lèvres pour que l'autre ouvre un minimum sa bouche et que leurs langues puissent se caresser encore et encore dans un rythme bien à elles. Le vêtement qui venait d'être retiré fut lancé à travers la pièce et Miyavi regarda le petit brun dans les yeux qui ne put s'empêcher de rougir face à ce regard. Le genre de regard qui vous fait perdre vos moyens. Il lécha son cou et descendit jusqu'au nombril traçant une ligne imaginaire avec sa langue. Il mit ses genoux à terre et déboutonna doucement le pantalon de l'autre et enleva complétement le vêtement pour être plus à l'aise mais celui qui était à présent en caleçon ne l'entendit pas de cette oreille et leva Miyavi pour lui enlever son maillot. Ce n'était pas juste qu'il n'y en est qu'un qui soit à moitié nu. Le grand brun se remit à genoux devant le boxer de l'autre brun. Le vêtement ne resta pas longtemps en place et finit comme le maillot, dans un coin de la pièce. Devant Miyavi se trouvait un membre tendu sous l'effet de l'excitation. Il le regarda avec une lueur d'envie dans le regard puis le caressa de tout son long avec sa langue. Ce contact exquis fit pousser un long gémissement à celui qui était toujours debout. Il donna quelques coups de langues dessus allant jusqu'à l'extrémité avant de le prendre complétement en bouche. Faisant des allers et retours dessus, il s'aida de sa main droite pour le tenir tandis que la gauche s'était réfugiée dans le bas du dos de l'autre brun. Les mouvements buccaux qu'il pouvait lui infliger lui faisait augmenter sa température corporelle. Il avait chaud, même très chaud et ce même s'il était nu. Mettant ses mains dans la chevelure de Miyavi, il pouvait des gémissements tellement ce qu'il faisait était bon. Il sentait sa langue sur son sexe durci et ses gémissements se faisaient plus nombreux et plus forts. Il ne pouvait cacher le plaisir qu'il ressentait et qui grimper en lui. Son dos appuyé contre le mur, ses jambes commençaient à flancher. En poussant un gémissement plus long et plus profond que les autres, ses mains tirant presque les cheveux bruns de Miyavi, il atteignit l'orgasme. Il voulut s'effondrer au sol mais deux mains l'en empêchèrent. Miyavi se releva en s'essuyant la bouche d'un revers de main pour ensuite partager le goût qu'il avait dans la bouche avec le brun qui reprenait son souffle. Le dominant passa un bras dans le dos de l'autre et caressa le bas du dos se dirigeant petit à petit vers les fesses en les massant plutôt bien. Tandis que sa main droite était occuper avec le bas du dos celle de gauche avait plutôt choisi le visage. Cette main caressait la peau si douce passant sur les joues rougies et finit par y rester. Miyavi ne résista pas à l'envie de lui faire un bisous sur le front, sur le bout du nez puis sur la bouche, explorant encore cette bouche qu'il commençait à connaître par cœur. Dans un nouvel échange, il finit par se rapprocher encore plus de lui pour sentir sa peau contre la sienne. Sa main droite était toujours posée sur ses fesses. Sans pour autant bouger de là, un doigt vint titiller l'entrée qui se trouvait pas loin de l'endroit ou était posée la main. L'entrée d'un premier doigt dans cet endroit créa un gémissement étouffé par le baiser. Miyavi fit faire des mouvements à son doigt, le faisant entrer et sortir plusieurs fois et ni trop vite ni trop lentement. Le petit brun enfoui sa tête dans le cou de Miyavi pour mieux gémir. Entendre ses gémissements était un véritable plaisir pour le grand brun qui décida à accélérer le rythme de son doigt. Au creux de son oreille, il lui murmura un « Tu m'excite vraiment » ce qui fit rougir encore plus l'autre qui gémit encore plus. Le plaisir était trop bon pour le cacher et c'est pour lui donner encore plus de plaisir qu'il mit un deuxième doigt qui passa plutôt facilement car l'autre commençait à se détendre. Il lui demanda même d'aller plus vite. Miyavi obéit et accéléra le rythme de ses doigts pour faire gémir encore et encore celui qui était collé à lui. Le petit brun avait énormément de mal à rester debout la fatigue commençait à se faire sentir et le plaisir qui augmenter n'arranger rien à son état. Décidant que c'était suffisant, Miyavi retira ses doigts provoquant un râlement chez l'autre. Celui-ci regarda Miyavi qui était entrain d'enlever le reste de ses vêtements. Il avait un corps parfait et ce tout partout. Le grand brun s'approcha de lui, une lueur perverse dans le regard et mit ses mains sur ses cuisses. Il le souleva avec force et commença à rentrer en lui. Il alla doucement pour ne pas trop lui faire de mal. Une fois qu'il fut entrer complétement, il ne bougea pas pour lui laisser le temps de s'habituer à cette présence. Même si quand il était entré l'autre avait eu une expression de douleur sur le visage, il commençait à se détendre maintenant. Le grand brun commença à bouger son bassin tandis que l'autre brun mit ses jambes autour de la taille de Miyavi et ses bras autour de son cou, la tête posée au creux de son cou. Les gémissements se firent encore plus nombreux et plus puissant créant un bruit dans la pièce. Un « plus vite » fut prononcé et l'autre qui l'entendit accéléra ses coups de bassin. Le sentir venir et sortir dans son intimité était un plaisir sans nom. Son corps en sueur se collait à celui de Miyavi qui était dans le même état. Il sentait que ça allait venir mais il se contrôler pour que le plaisir dure un peu plus longtemps mais il finit par jouir quelques minutes plus tard entre son ventre et celui du grand brun. Celui-ci fit de même dans l'intimité du petit brun. Ils reprirent leur souffle plus ou moins rapidement et n'ayant pas le courage de se rhabiller, ils allèrent directement dans le lit pour s'endormir. Et avant de s'endormir dans un long sommeil, le petit brun lui murmura un « merci » en souriant à Miyavi qui ne dormait pas encore et qui lui répondit par un « De rien...Kai ».
