Cela faisait bien des années que nous voguions sur les sept mers, mais je ne saurais plus dire combien. Le jeune rebelle et intrépide équipage qui avait volé l'enjoué Pirate, sillonnait les continents et rafles les plus beaux trésors n'était maintenant plus qu'un bateau fantôme qui errait dans l'espoir d'un rêve utopique. Malgré cela, tous les matelots m'étaient restes fidèles, montrant leur loyauté sans faille ou bien leurs désespoirs.

Je me rends compte alors à quel point je fus idiot de croire qu'il ne me fallait qu'un bateau et un équipage pour le manœuvrer pour atteindre le pays de nulle part. Que je pourrais vivre dans une jeunesse éternelle avec l'amour de ma vie dans un pays fantastique où je serais roi et que tout ce qui m'avaient été loyale vivraient dans la joie et la richesse. Le poids des années m'a finalement ouvert les yeux, je n'avais fait qu'emporter des homme loyaux dans mes fantasmes d'adolescent et berner les gens qui m'ont aimé avec des rêves et de faux espoir dans les quel, je ne croyais même plus ...

C'est alors que monsieur Mouche débarqua dans ma cabine les affolés et me tira de mes rêveries.
-Mon-Mon... Capitaine une tempête !
Je sortis alors de ma cabine et je vis l'équipage s'affairer sous la pluie et les la foudre. Nous avions souvent essuyé des tempêtes, mais celle-ci était particulièrement forte : la pluie et les embruns étaient glacés, les nuages étaient noirs et crachaient des éclairs toutes les seconde et la mer...
-Mon-Mon... Capitaine une tempête !
Je sortie alors de ma cabine et je vis l'équipage s'affairer sous la pluie et les la avions souvent essuyé des tempêtes mais celle-ci était particulièrement forte :la pluie et les embruns étaient glacés, les nuages étaient noirs et crachaient des éclairs toutes les secondes et la mer...

La mer n'avait pour moi jamais aussi d'échainné et effrayante. Je ne pue tenir debout que quelques instants, car la pluie et l'orage s'intensifièrent, je ne pue alors plus rien distinguer hormis la vague qui nous engloutissait.

La première chose que je vis en me réveillant fut le plancher de mon précieux navire... Intacte. Le ciel était d'un bleu immaculé comme si jamais un nuage n'y avait pris place. L'équipage semblais sain et sauf et la mer était calme. Je me tournai vers ma gauche et la vis. Elle, oui, c'était bien elle l'île de nulle part. Pendant un instant, je ne pue bouger l'émotion était bien trop forte et spontanée Je ne réussis qu'a pleurer. Je ne saurais dire pourquoi. J'adornais alors : cap sur l'île de nulle part ! Il y eut un temps de silence, mais au fur et à mesure, je vis des visages s'éclairer et s'affairer à leur tache avec hâte, bientôt nous fumes partis, je pense que, comme moi, l'émotion les emperchaient de me poser des question. Quand nous fumes arrivés à proximité de la plage, je pris un petit canot et quelques hommes pour vérifier s'il n'y avait aucun danger, bien que je sus qu'il n'y en avait pas.

Tout était comme je l'avais imaginé : le sable fin et blanc, les arbres aux fruits rares et uniques, le volcan, la lagune aux sirènes tout était là... Sauf deux choses vitales. Ananova et Roger. Soudain, en repensant a ne serait-ce que leur simple nom tout cette joie, toute cette euphorie que je ressentais laissa place a un vide glacial. Ananova peut-être est elle mariée peut-être a telle des enfants... Si seulement j'avais trouvé cette maudite étoile ! Peut-être se trouverait-elle dans mes bras... Et Roger, cet idiot qui s'est pris une balle pour moi ce ci courage, vaillent et joyeux idiot... Il dirait que tout cela est sensass et il me prendrait dans ces bras ...Des larmes recommencent à couler, mais cette fois, je sais pourquoi.

Cependant, je refuse d'avouer que tout cela a été inutile alors en leurs honneurs et envers les promesses que je n'ai pas tenues, je deviendrai tout ceux qui voudront m'en empêcher.

FIN