Prologue :

Je suis Iris de la famille Avery, ma plus grande réussite selon beaucoup de personnes. Ce nom m'a été transmis par mon père. Nous avons « la chance » d'être une famille de sang-pur, sous la souveraineté de Lord Voldemort. Mes parents sont de grands sorciers aimants et ce, malgré le contexte.

On enseigne aux enfants à mépriser l'existence des enfants des moldus autrement nommés les sangs de bourbes, ils sont traqués et personne ne semble vouloir connaitre leur destin. Quant au sort des sang-mêlé, il n'est guère enviable étant donné qu'ils doivent vivre à part et sont considérés comme de la vermine.

Au contraire des familles de sang-pur qui font partie d'une quelconque royauté et préserver cette pureté est devenue le principal objectif des pères de familles en concluant des mariages avantageux.

Heureusement, mes parents se respectent profondément et parfois je perçois de l'amour dans leurs gestes. De l'amour dans leur couple mais aussi pour nous, mon frère Adrian de deux ans mon ainé et moi qui vais bientôt fêter mes 16 ans. Le fait que mon père, Thomas, soit le grand argentier du Maître nous permet de vivre de façon confortable mais ça n'a pas été le cas d'Amelia Avery née Prince, ma mère, qui nous en apprend la valeur. Nous n'avons pas été élevés dans la haine des moldus comme beaucoup d'autres sorciers de notre âge, notre génération n'a pas connu la deuxième guerre des sorciers ni ce qu'il l'a précédé, la période sombre où les moldus et les sangs de bourbes faisaient la loi ou encore la grande épuration qui a débarrassé le monde de leur présence néfaste, c'est tout du moins ce que l'on nous apprend à l'école.

L'école, qui a bien changé selon mes parents, elle est plus dure moins égalitaire et on nous enseigne la magie noire. Sinon, l'école reste l'école même et je dois maintenant intégrée Poudlard sous les ordres de Voldemort.

J'espère que cela vous a plus, n'hésitez pas à mettre des commentaires c'est comme ça que je peux m'améliorer. Je présente à l'avance mes excuses pour mes fautes d'orthographe ça n'a jamais été mon fort.