Kaitei

Chapitre 1 : Un phénomène plus qu'étrange

Livaï Ackermann, avait passer sa tendre enfance, les pieds sur une planche de surf. Au lycée en californie nul ne l'égalait, il fut vite repérer par les entraîneurs et clubs pro. À peine avait t'il eu son diplôme dans ses mains, qu'il fût engagé dans un club et lancer dans toutes les compétitions autour du monde. Très vite il se fit une réputation de teur, personne ne le battait, il était juste le roi, le meilleur. Son nom était connu de tous, il fesait chavirer les cœurs des femmes. Pour parler crû il s'est taper les plus belles du monde. Mais Livaï n'attirait pas que les belles femmes. Les plus beaux canons de la terre venait souvent sous couette. Cette année il venait d'avoir 27 ans, il en avait ras le bol comme à son habitude de plein de chose mais un problème en particulier le préocupait : sa carrière. Il se commencait à se faire vieux et alors qu'il gagnait une compét de justesse, il déclara à la presse (sans avoir consulté au préalable son club) : « Ceci est ma dernière coupe, je prend ma retraite, au revoir me cherchez pas. » Du pur Livaï ! Il avait quitter le podium en trombe et a sauté dans le premier avion pour sa résidence au Costa Rica. Une magnifique demeure au bord de la plage.

Alors qu'il arrivait chez lui, il jeta son téléphone. Voilà, là il ne serait pas déranger, de plus personne ne savait ou il résidait puisqu'il n'avait jamais mentionné cette villa, il n'avait jamais eu le temps d'y loger après sa construction. Livaï avait mis quasi toute ses économies dans cette villa. Elle était faite de bois et de brique. Elle avait des ouvertures partout, des vitres partout, à la fois moderne et rustique avec une pointe atypique. Elle se composait de trois chambre, un grand salon, une cuisine moderne, une grande salle de bain, des toilettes séparés parce que oui les toilettes séparé c'est le luxe, c'est plus pratique à nettoyer et comme ça quand quelqu'un était dans la salle de bains on est pas obligé de pisser devant cette personne. Livaï était un poil maniaque donc dès son arrivé il entreprit de nettoyer à fond sa baraque neuve. Puis quand il eu finit, il leva la tête vers l' extérieur, c'était la nuit. Il décida d'aller se coucher.

Cela fait deux mois que Livaï était tranquillement chez lui à soupirer toutre la journée sur un transate. Il n'avait pas encore pris sa planche pour aller surfer, il fesait un complexe, il avait peur que si il retouche, s'il surf, il devra retourner en compétition et même pire on pourrait le retrouver.

Mais il s'appelait Livaï Ackermann, il allait vaincre ce stupide complexe, cette peur débile.

Il s'élança sur les vagues, se plaça sur la planche, et démarra. Facilement il prit la vague, d'un geste rapide se hissa sur sa planche. Là il le ressentait, cette sensation de voler, de courir sur l'océan.

Le soleil commencait à se coucher. Il était assis sur des rochers qui longeait une falaise. Il s'était vraiment éloigné de sa maison. Il pris sa planche et commença a descendre mais une masse sombre dans les rochers attira son regard.

Il était assis sur un rocher en contrebas, il regardait au loin l'ocean, sa queue de triton qui pendait dans le vide. Oui sa queue ! Livaï sur le choc est resté sans voix et s'était stoppé net.

Le jeune homme, avait une peau mate, des cheveux brun chocolat, un buste musclé ainsi que son dos, il était certe musclé mais ses muscles était fins, Livaï ne voyait pas son visage mais rien que son corps émanait une beauté surnaturel. Le garçon l'a remarqué et s'est vivement retourné vers lui.

Son visage était angélique, une bouche fine mais pulpeuse, un nez bien fait et harmonieux mais le pire était ses yeux, ses yeux était tout simplement à couper le souffle d'uun vert d'eau intense bordé d'or. Il était vraiement beau. Livaï le pensa aussi. Le garçon lui sourit majestuesuement et d'un coup de queue sauta dans l' océan. Livaï toujours immmobile le regarda s'enfoncer dans les profondeurs.

« Merde qui c'est ce mec ! » souffla Livaï. Il n'était pas vraiement perturber par sa queue de triton mais plus par la beauté irréel du jeune homme.

Livaï rentra chez lui toujours un peu perturber par cette rencontre paranormal. Il rengea sa planche et se dirigea vers son frigo. Il n'avait pas très faim et de toute façon il devrait aller faire des courses demain, il n'avait plus rien à manger. Livaï cette nuit là avait réver de ce beau garçon et plus son esprit en avait fait un rêve érotique.

Ce matin là Livaï s'étaait rendu dans uin marché locale du village d'à côté. Après avopir acheter ses fruits et légumes il avait besoin de laitage. En espérant que sur cette île aussi il fesait des laitages. Il demanda dans la langue (mal maîtrisé) ou il pourrait trouver du lait. La personne pointa du doights une échoppe. Livaï s'y dirigea.

Il y était, il était là. Il donnait un litre de lait dans une bouteille à une vieille dame. Avec ce même sourire. Comme transporter involontairement par son désir, il se rapprocha du comptoir les yeux légerement écarquiller.

« Bonjour, que désirez vous ? » lui demanda le jeune homme qui fouillait la tête baissé sous son comptoir. Mais quand il releva la tête lui aussi fut paralysé et dans un moment assez bref une tension douce et chaleureuse les enveloppa. Mais le garçon comme Livaï se reprirent assez vite sous le regard étonné des autres clients. Pourtant ils auraient voulu que cet instant dure pour toujours.

« Deux litres de lait, s'il te plaît et un fromage » demanda livaï sans le lâcher des yeux.

Le jeune homme sourit : « tout de suite monsieur ».

Livaï se maudissait intérieurement, il n'y arrivait pas, il n'arrivait pas a détacher son regard du sien.

Le jeune homme lui tendit ses marchandises et livaï se reprit en sortant de ses rêveries.

Il saisit le paquet et le remercia. Il quitta l'échoppe avec regret.

Il rentra chez lui et rangea ses courses et au moment ou il allait mettre le lait au frigo, il vit le message sur le papier du fromage : « Ce soir 18h au même endroit »

« tss, ce gosse est vraiement … » dit livaï avant de tourner le regard vers l'horloge, quelque heure le séparait du rendez vous de sa vie.