Bonjour à tous mes lecteurs !
Je vous annonce fièrement que la réécriture de cette fanfiction est finie et... et... et a donc remplacé l'ancienne histoire. Donc, je vous souhaite une bonne lecture (ou relecture), en espérant que cette nouvelle version (définitive) vous plaira !


Prologue

Vous avez eu la curiosité…

Le plus jeune pleurait silencieusement, recroquevillait sur lui-même, tremblant de peur, emprisonnait dans les ténèbres. Le vent s'infiltrait entre chaque fissure du toit, plongeant le grenier dans un froid glacial.

Pourquoi avait-il suivi cette stupide odeur de nourriture? Elle l'avait emmené jusqu'à l'intérieur grenier. Il avait découvert tous les cartons vides. Les marionnettes s'étaient volatilisées et il était resté bêtement figé devant ce spectacle surréaliste jusqu'au moment où la trappe du grenier s'était brutalement refermé derrière lui.

« Sabo ? Ace ? »

Des rires fantomatiques remplissaient la sombre pièce comme un écho. Il entendait leurs corps de bois frottaient contre le sol, rampant, doucement, vers lui.

De vous aventurer dans ma demeure ?

Le blond longeait lentement les murs avec l'impression que la température avait soudainement chuté en dessous de 0°c. Les flammes des chandeliers vacillaient sur son passage, créant des ombres ressemblant à des silhouettes de marionnettes se déplaçant. Mais il rêvait, il en était persuadé.

« Ce sont des objets en bois, de simples objets inanimés. » Pensa-t-il pour se rassurer, alors qu'il tremblait de tous ses membres.

Pourtant elles étaient bien là, ces marionnettes. Partout, dans toutes les pièces du rez-de-chaussée, certaines étaient même assise dans tous les couloirs, le regardant se faufiler discrètement.

La curiosité est un vilain défaut…

Il se trouvait sous la trappe. Et il y n'avait aucun bruit au-dessus de lui, ni autour, à l'exception des vieux murs du manoir craquant sous le vent.

Et pourtant, depuis qu'il s'était séparé de Sabo pour venir ici, il en avait entendu des bruits... Des frottements, des grincements, des ricanements. Peut-être qu'il rêvait ou que c'était juste le fruit de son imagination.

Il tendit la main vers le fil permettant d'ouvrir la trappe, la saisit puis tira doucement dessus. La trappe s'ouvrit brusquement, laissant un nuage de poussière tombait sur les cheveux bruns du gamin. Il s'en débarrassa en secouant sa tête puis sauta vers la trappe ouverte, s'agrippa au rebord et se hissa à l'intérieur du grenier.

Je devrais vous couper la langue, à vous aussi…