Disclaimer:Rien ne m'appartient, pas même l'idée première qu'est la fic vu que c'est un défis. En revanche la tournure que prend l'histoire m'appartiens
Titre:De quel façon préfères tu mourir. (Normalement le titre qu'a donné Angelinadelacour (auteur qui a lancé ce défis et bien d'autre encore) lui avait donné comme titre Mourir de…, je l'ai changé au dernier moment, donc je m'excuse du faite que je l'ai pas prévenu sur cette imprévue ).
Résumé:Draco va subir la plus longue et pire nuit de sa vie, en testant diverse façon de mourir.
Rating:Pour ce chapitre ce sera du PG-13, dans les autres y aura sûrement du R pour torture et viol, mais ça reste encore à voir.
Draco
enfila son pyjama de soie vert sombre avant de monter sur son lit.
Même pour aller dormir, un Malfoy se devait de le faire avec
classe et retenu. Chacun de ses gestes étaient précis.
Aucun faux pas. Rien n'était négligé. Chacun des
gestes de Draco Malfoy était calculé ainsi lorsqu'il se
coucha dans son lit, fermant ses yeux, rien ne le préparait à
ce qui l'attendait. Au lieu de retrouver l'agréable sensation
de bien être que lui procurait son matelas, il tomba dans un
gouffre noir, éternel. Ses sens à l'affût du
moindre danger, il porta sa main à sa poche. Il jura. Il avait
laissé sa baguette sur sa table de chevet. Il essaya de
regarder vers le bas mais rien. C'était comme si le sol avait
disparu.
Soudain sa chute s'arrêta aussi soudainement quelle avait commencé et une salle remplaça le décor noir.
Par Slytherin qu'est que je fou là moi?
Draco encore en l'air tomba sur le sol lui faisant tiré une grimace de douleur. Il se releva et observa la pièce qui se composait d'un lit, d'un placard et d'une chaise. Aucun tableau, aucune fenêtre ne s'y trouvait. La lumière provenait d'une dizaine de bougies posées à même le sol.
Il réalisa qu'il n'y avait ni porte ni trappe. Les solutions pour Draco de quitté cette endroit se réduisaient à transplaner ou de crée un porteloin. Sans sa baguette magique la seconde solution s'effrité en miette. Quand à transplaner, malgré les nombreuses demandes de Draco envers son père, celui-ci avait refusé de le lui apprendre avant ses dix-sept ans. Or à cette instant il n'en avait que seize.
De nouveau Draco se retrouva projeté en l'air, la tête en bas.
Bordel de Slytherin mais qu'est ce que...
Une force mystique l'envoya sur le lit et des cordes apparurent de nulle part, attachant ses mains et ses pieds aux barreaux du lit. Prit de panique Draco hurla.
"Lâchez-moi immédiatement ou je vous jure que mon père vous le feras regrettez !"
A peine eu t'il terminé sa phrase qu'un maillon l'empêcha de proféré de nouvelle menace. Cela avait un étrange goût de fraise. Or Draco avait la sainte horreur de ce fruit. Il lui donnait la nausée...surtout lorsqu'ils étaient pourris comme le goût qu'avait le maillon. Une teinte vert pomme colora ses joues et il fut prit d'une violente quinte de toux.
Le maillon s'enleva aussitôt, disparaissant dans les air. Il avala sa salive et grimaça. L'attention de Draco fut attirée par le placard, ouvert. A l'intérieur, horrifié, il découvrit toute une panoplie de couteau, d'aiguille et d'autres choses encore plus coupantes comme une mini scie. Une palette chirurgicale s'y trouvait mais Draco ne connaissant pas la médecine moldu l'ignorait totalement. Mais la vue de ses outils lui donnait une peur atroce et son ventre se noua.
"Ecoutez qui que vous soyez, je suis riche. Je vous promet de vous donnez la somme qui vous conviendra si vous me libéré ! "
Une voix forte et grave résonna dans la pièce, faisant tremblé Draco.
"Règle numéros un: Ne jamais faire confiance à un Slytherin. Surtout lorsqu'il s'agit d'un d'un Malfoy."
Draco déglutit avec peine. Il connaissait trois choses sur son ennemi. La première est qu'il s'agissait d'un homme. La seconde est qu'il ne portait pas dans son coeur les Slytherins, et ceux quelqu'il soit. La troisième était qu'il le connaissait, et qu'il ne l'appréciait vraiment pas.
Malfoy bégaya, ce qui lui donna l'impression de s'humilier encore plus.
"Pour...Pour quels raisons suis-je ici? Que...que me voulez-vous ?"
Il avait comprit que les outils lui étaient destinés, et la seule idée d'être transpercé de toutes parts ne lui plaisait pas. Il tenta donc de questionnait l'homme, espérant que cela lui donnera le temps de trouver une solution ou du moins de mettre à plus tard l'heure de sa mort.
La voix d'homme tonna avec encore plus de puissance.
"Règle numéros deux: Ne jamais prendre un Hufflepuff pour un imbécile."
Si la situation aurait été différente, Draco aurait rit au nez de son interlocuteur, mais là, quelque chose lui disait que c'était la dernière chose à faire.
"Vous étiez donc à Hogwarts à une époque ? Vous avez peut être connu mon père ? Lucius Malfoy. Vous devez le connaître, il y était lui aussi."
"Je le connais parfaitement, ton père. C'est d'ailleurs par sa faute que tu es ici."
"Que…Par sa faute ? Que voulez-vous dire ?"
"Règle numéros trois: Ne jamais..."
"Mais merde !"
Draco voulait comprendre. Que c'était il passé ? Il savait que Lucius avait eu plusieurs ennemis mais il ne connaissait pas toutes les raisons. La plupart étaient jaloux de sa fortune, de son statut. Certain le haïssait car celui-ci était leur peur. La personne qu'ils craignaient, autant que Voldemort. Néanmoins ils ne le montraient pas.
"Règle numéros quatre: Ne jamais proféré d'injure en ma présence !"
"Pour cela marmonna, Draco il faudrait encore que vous soyez réellement ici."
L'homme exécuta sa demande et une main invisible prit l'un des outils.
"Par Slytherin je ne parlais pas sérieusement !"
Il se débattit alors que l'outil s'approchait de lui.
"Plus tu te débattras et plus tu auras mal jeune homme. Ma main risquerai de glisser plus profondément quelle ne le sera déjà, ouvrant ainsi d'autres membres de ton corps. L'outil que j'ai en main est un scalpel ou scalpellum. Sa lame fine, coupe tout ce qu'elle touche d'où son nom qui vient du latin."
Oh, Slytherin, ce malade compte me faire un cour sur l'orthographe des mots avant de m'étriper?
"Tu te demande sûrement ce que je compte faire ? C'est simple. Alors que j'arracherai un à un tes boyaux, je te dirai pourquoi je hais tant ton père. Personnellement je n'ai rien contre toi. A près tout, tu m'as rien fait mais vois tu, continua t'il, la lame tenu par un homme invisible déchirait un à un les boutons de la chemise de Draco, il faut bien que quelqu'un paye pour tous les crimes que ton père à fait."
"Non ! Attendez ! S'il vous plait !"
Son sang se glaça dans ses veines. Une fine perle de transpiration coula au bord de son visage et tomba sur le matelas.
"Je veux pas crever comme ça ! Pitié ! J'ai que seize ans !"
Etrangement, à ses mots Draco pensa à une chose sur laquelle il n'avait pas pensé.
Je suis encore vierge merde !
"J'ai encore des choses à faire dans ma vie !"
Sa voix trembla.
"Ta peau est vraiment blanche, murmura l'homme, ignorant les demandes de sa victime. La raison pour laquelle tu vas payés pour tous ses crimes, dit il en enfonçant la lame dans la chair de Draco, lui faisant pousser un hurlement. C'est que ton très cher papa à assassiner froidement des personnes qu'il jugeait être menaçantes pour sa carrière et celle de son maître."
Du sang coula, rendant le couvre lit à l'origine blanc, rouge sombre.
"Ton père, un jour m'a fait une promesse. Celle de ne jamais tuer ma famille. A cette époque, je pensais, jeune que j'étais, que l'on était "amis". Il m'a laissé nager dans ces illusions durant dix longues années. Un an après la venu de Voldemort, je rentrais chez moi, rejoindre ma femme et mes deux enfants âgés de six mois, des jumeaux, un garçon et une fille, lorsque j'ai ouvert la porte, continua–t-il de la tristesse dans sa voix, tout en commençant à caressé, sous un océan de sang, les organes vitaux de Draco, qui par un sort ne pouvait plus hurlé."
"Je suis allés dans le salon, et comme un pressentiments, je compris trop tard que quelque chose n'allait pas. Ce sentiment je l'avais depuis mon réveil mais je l'avais ignorait comme j'avais ignoré la demande de ma femme qui consistait à partir d'ici et de vivre avec une nouvelle identité. Elle avait pressentit ça. Peut être parce qu'elle m'avait épousé moi, un auror. Elle savait que sa vie et celle de nos enfants serait en danger. Je l'ai trouvé, là, gisant sur le sol, morte, le corps nu couvert de marque de torture. Lydia et Sacha, mes bébés avaient étés balancés à travers le mur de la cuisine, tués avec une telle violence qui ne m'était pas inhabituelle. Elle m'était familière. Oui jeune homme, lorsque j'avais ton âge, je fut témoin d'une colère de Lucius. La scène était presque identique au meurtre de ma famille hormis deux choses. L'une était qu'aucune présence féminine ne se trouvait dans la pièce, donc il n'y eu pas de viol. La seconde est que les murs ne furent pas traversés par des bébés mais par des meubles. Près du corps de ma femme, Estelle, un mémo s'y trouvait, m'expliquant en détails la scène qui s'était déroulé en mon absence et me narguant en me rappelant la promesse faite il y a de cela dix ans. La signature était celle de Lucius et l'un de ses sbires"
Lorsque l'homme eu terminé son récit, il avait entre ses mains, l'intestins grêles. Draco, malheureusement pour lui était encore vivant, et la douleur qu'il éprouvait l'empêchait de s'évanouir.
"A présent jeune homme, je voudrais te poser une question."
Le visage de Draco était inondé de larme, dû à la douleur et non à l'histoire de l'homme. Il est vrai qu'il savait que son père s'était trop souvent sali les mains, mais jamais il n'avait appris les détails.
"Maintenant que tu connais une infime partie du côté obscure de ton père, l'aimes tu encore ? Après que tu sais cela, que des centaines d'autres familles ont connu ce que j'ai connu, es tu fier de l'avoir comme père ? D'être son fils ? D'être un Malfoy ?"
Fin du
premier chapitre.
Hufflepuff donne en français Pouffsouffle.
Scalpellum : Scalpel…ok je suis pas partit cherché loin mais comme je n'ai pas fait de Latin, j'y peut rien. Ce mot je l'ai cherché sur le net, et bon je m'y connais pas en médecine pour pouvoir sortir le nom d'un couteau bien cool lol.
Bon bah voilà, ici s'arrête la fin du premier chapitre qui j'espère vous a plus. Le second chapitre vous réserve une surprise de taille. Ce chapitre d'ailleurs je l'ai écrit en trois heures. J'aurai pu le publié tôt dans la matinée mais je voulais vérifié un détail donc je l'ai laissé sur mon ordie. Bon sinon comme je l'ai déjà dit en haut cette idée ne vient pas de moi, mais d'Angelinadelacour. J'ai donc relevé son défi. Il faut la remercier parce que sinon je n'aurais jamais écrit cette fic. Allez, kissou à tous et merci d'avoir lu ce premier chapitre.
