- Maintenant, tu m'appartiens! Fait toi bien à cette idée parce que tu resteras ma chose pour le reste de ta scolarité avec moi.

La jeune fille de seize ans faisait face à son camarade de classe et cousin, totalement incrédule, face à cette déclaration aussi soudaine qu'inattendu. Karin n'avait jamais vraiment été proche de son cousin donc quand celui-ci lui avait demandé de le suivre jusqu'as la petite maison qu'il occupait depuis quelques mois, pour lui parler d'une chose importante, elle avait été plutôt surprise. Normalement elle l'aurait repoussé sans aucune gêne surtout qu'elle était en présence de ces amis mais quelque chose dans son regard l'avait convaincue de le suivre. Elle s'était donc séparé de son groupe, ceci à leur grande surprise, ce qui n'empêcha pas les autres jeunes d'accablé de multiples insultes le jeune homme comme à chaque fois qu'ils étaient en sa présence. Les deux adolescents n'échangèrent aucune parole tout le long du trajet comme à leur habitude, il faut dire que tous deux avaient un lourd passé commun. Elle : la jeune fille populaire, intelligente, aimer des professeurs et centre d'un grand cercle d'amis. Lui : le cancre notoire, au tempérament asocial et soufre douleur de leur promotion depuis le primaire ne se parlait qu'en deux occasion ; lors des diners familiaux obligatoires et lorsque la jeune fille, entrainé par ces amis, le tourmentait.

Karin n'avais jamais été vraiment d'accord avec le traitement que subissait le garçon aux mains de ces compagnons mais la peur du rejet avait toujours été plus forte que son envie de protégé le membre de sa famille. Cependant, lorsqu'une fois arriver en la demeure du jeune homme il s'était tourné vers elle pour lui faire cette déclaration le plus sérieusement du monde, le tout accompagnée d'un regard malsain qu'elle ne lui connaissait pas, elle ne pus s'empêcher de s'énervée.

- Mais… tu délire totalement! Tu crois vraiment que tu vas faire de moi ton esclave d'une simple phrase!? Je savais que je n'aurais pas dû te suivre, vivre seul ta fait totalement perdre les pédales

- Je ne veux pas faire de toi mon esclave, je le sais parfaitement que tu vas devenir ma chose! Écoute bien ce que j'ai à te dire chère cousine, j'ai découvert tes petits secrets et je ne vais pas me gêner pour détruire ta vie si tu oses me résister… Ne crois pas que je te laisse le choix Karin.

- Personne ne te croira un mot de ce que tu pourrais bien inventé! Tu pourras tenter de lancer toutes les fausses rumeurs que tu veux mais si on oppose nos deux réputations c'est sure qu'ils vont tous prendre mon partis et te traiter de menteur.

Amusé le jeune homme souri sadiquement à sa victime avant de sortir une épaisse enveloppe brune de son sac pour la lui tendre.

- Pourquoi inventer de fausses rumeurs? Tu n'écoutes jamais ce que je te dis Karin… Ce sont tes vrais petits secrets que j'ai découvert. Je ne sais pas ce qui m'a le plus étonné dans toute cette histoire, que tu sois suffisamment bête pour prendre le risque de te mettre dans une tel situation ou que j'ai pu rassembler tan de preuves en si peu de temps et aussi facilement.

Toujours sur d'elle la jeune rousse ouvrit l'enveloppe avant de blêmir soudainement en constatant le contenu.

- Co-comment…

- Avec beaucoup d'effort et une bonne dose de motivation. Allez résigne toi et fait ce que je te dis… Soit ma chose pour le reste de notre scolarité et personne ne saura jamais rien de toutes tes petites incartades.

- Non!

À cette réponse catégorique le garçon éclate d'un rire malsain qui résonne dans toute la pièce.

- Regarde un peu mieux ce qu'il y a dans cette enveloppe et imagine ce que deviendras ta vie parfaite si jamais toutes ces information tombait… Je ne sais pas, dans les mains de la direction ou mieux encore entre celle des filles de la classe. Tu à tricher aux examens de mi- année pour obtenir le prix pour la meilleur moyenne général en demandant à un professeur de te fournir les corrigé hahaha. Je ne sais pas comment tu as convaincu Itachi de se compromettre mais si ça se sait s'en est fini de sa carrière d'enseignant, sans compté toutes les belles rumeurs qui vont circulées. Itachi est le professeur le plus aimer de cette école et c'est le frère ainé de monsieur gueule d'ange, monseigneur, Sasuke Uchiwa. Sans compter que Sakura, qui elle méritait vraiment ce prix, rêvais de faire ce stage dans une clinique de pédiatrie… Les autres ne te le pardonneront jamais. Pauvre cloche, tu aurais dû jeter ces corrigé plutôt que de les cacher dans ton casier. Ouvrir un cadenas est si facile quand on a du temps à perdre après les retenues.

- Oui mais c'est toi qui détiens ces corrigé maintenant. Si je te dénon…

- Je t'arrête immédiatement moi je n'ai pas obtenu une note de vingt-cinq points supérieurs à ma moyenne exactement pour cet examen et dans ma matière faible qui plus est… Toi si! Mais le meilleur reste à venir, regarde ce qu'il reste.

Karin, légèrement tremblante sortit une série de clichée de l'enveloppe et tomba à genoux littéralement sous le choc.

- Avec le corrigé j'avais déjà suffisamment de poids contre toi pour te faire tomber mais ça, ça dépasse toutes mes espérances!

La rousse laissa tomber les photos ou l'on pouvait la voir, toujours en compagnie d'une autre jeune fille brune : main dans la main dans un parc, au restaurant se regardant dans les yeux, en train de s'embrasser dans une ruelle. Toutes les photos semblais être prise de loin et sous de mauvais angle mais sur toute on pouvait parfaitement reconnaitre les deux filles et leurs actions.

- J'avoue que tu à fait fort cousine. Tromper Kiba avec Kin, la petite amie de Neji… Sans compter que tu as réussi ton coup tout en dissimulant ton homosexualité à tout le monde vraiment félicitation. Juste pour savoir, tu te rends compte de l'influence qu'on ces deux garçon dans cette école? Ta cote de popularité ne fera jamais le poids face à deux des « princes » de l'école… Mais j'y pense, que disait mon chère oncle au souper de noël cet année concernant les homosexuels : « Il faudrait tous les enfermé ou bien les exterminés! ». Je me demande bien qu'elle serait sa réaction si ces photos de sa, si parfaite, princesse étaient envoyé à son bureau accidentellement?

Catastrophée Karin fixait son cousin jubiler en la voyant dans cet état, il avait bien raison, si le contenu de cet enveloppe venait à être rendu public sa vie serait fini. Même en changeant d'école ou même de ville son dossier scolaire ainsi que sa vie de famille seraient entacher à jamais.

- Pourquoi fait tu ça? Finit-elle par demander au bord des larmes.

- Tu ne peux même pas imaginer à quel point tu me dégoute d'oser me poser cette question, siffla le jeune homme entre ces dents. Si tu veux savoir pourquoi je te déteste et pourquoi je veux te voir souffrir je vais te le dire… Tu as détruit ma vie et tu m'as volé mon bonheur!

- Mais c'est absurde, comment j'aurais…

- TA SEUL EXISTENCE À TOUT GACHER! Hurla le jeune homme la coupant dans sa défense. Quand mes parents et mon parrain sont mort dans cet accident de voiture ça aurais dû être à la sœur de ma mère de me prendre en charge mais il a fallu qu'elle et son mari aient décidé d'adopter une petite fille quelques mois auparavant. Si ton père n'avais pas déclaré qu'ils n'avaient pas les moyens de s'occupé de deux enfants je n'aurais jamais été envoyé dans cette famille d'accueil et ils…

Karin ressenti un profond sentiment de terreur alors que la voix de son cousin se brisait sous l'émotion.

« Si il me pense vraiment responsable de ce qu'il a subis entre les mains de cette famille il pourrait aussi bien me tuer ici même sans aucun remord ».

Son cousin avait passé trois ans dans cette famille avant que les services sociaux ne se rendent compte des sévices subis par les pensionnaires. Ensuite le jeune garçon de dix ans avait été confié à un orphelinat de la ville puis à un centre jeunesse jusqu'aux jours de ces seize ans ou il lui avait été permis d'investir la maison de ces défunts parents.

- Tu sais chère cousine, très chère cousine… Supporté cet enfer aux mains de ce vieux porc aurais été bien plus facile si l'école n'avait pas été bien pire. Tous les jours je me faisais insulté, battre, voler mes crayons, bruler mes livres, déchiré mes habits et je devais rentrer pour subir ma punition… Peux-tu seulement imaginer ce que signifiais « punition » dans cette maison? Non tu ne peux pas mais par contre tu sais très bien ce que je subissais à l'école. Après tout tu étais avec tes amis pendant tout ce temps, à me regarder subir leur brimade. Je me souviens encore de ce que tu m'as dit le jour ou, en sang, je t'ai demandé de m'aider face à eux alors qu'ils me martelaient de coup de pieds: « Tu n'es pas mon cousin, tu n'es qu'un orphelin! »

Karin fini par éclaté en sanglot en entendant toute la douleur, la solitude et la colère dans les propos de son cousin mais au fond d'elle-même il y a toujours cette petite voix pour prendre sa défense. Comment pouvait-elle savoir, à cet âge, ce que subissait le petit garçon dans sa famille d'accueil, comment pouvait-elle savoir que sa situation de soufre douleur le suivrait jusqu'au secondaire… Elle ne pouvait pas être tenue responsable de ces actions alors qu'elle n'était qu'une fillette qui ne voulait pas déplaire à ces amis!

- Ce n'est pas ma faute! Murmura-t-elle en désespoir de cause.

- Non tu à raison, ce n'est pas entièrement ta faute, confirma le jeune homme en s'approchant d'elle. C'est la faute des services sociaux qui ont mis trois ans avant de faire une vraie inspection dans cette famille, c'est la faute de tes parents qui m'ont abandonné pour accueillir une étrangère à ma place, c'est la faute de tous ces gamins qui voulais quelqu'un pour se défouler, c'est la faute de tous ces professeurs qui ne sont jamais intervenu puisqu'aucun parents ne venaient se plaindre à la direction, c'est la faute de cet ivrogne qui à faucher la voiture de mes parents, c'est la faute de mes parents qui m'ont laisser seul et c'est aussi un peu de ta faute… Tu sais tu n'es pas celle à qui j'en veux le plus mais il faut quelqu'un pour payer la note… Et tu es celle que je tiens! Déclara le jeune homme en posant un regard malade sur sa proie.

« Ce garçon n'est pas mon cousin, lui on dirait… on dirait un psychopathe! »

- Qu-que veux-tu faire de moi? Se résigna la jeune rousse.

- Voilà, tu deviens plus raisonnable. Je vais t'expliquer les règles. Premièrement, ce soir tu vas dire à tes parents que tu t'inquiètes pour moi et leur demandé de venir vivre ici afin de t'assurer que je ne sois pas seul en tout temps.

- Ils n'accepteront jamais!

- Ce n'est pas mon problème, débrouille toi. Deuxièmement, le jour de mes dix-huit ans le quatre octobre dans deux ans cette situations prendras fin et tu seras libre, je t'en donne ma parole!

- Pourquoi, pourquoi me libérerais-tu ? Tu ne fais sans doute que me donner un mince espoir pour que je te laisse agir sans résister ! Éclate la jeune fille à bout de nerfs.

- Non, après cette date je ne vais plus rien tenter contre toi et crois moi je trouve cette situation vraiment dommage. Je préfère ne prendre aucune chance, si jamais tu devenais désespéré au point de contacté la police je préfère être jugé comme un mineur.

« Mon Dieu mais qu'a-t-il prévu de me faire subir? »

- Bon reprenons avec les règles. Troisièmement peu importe ce qui se passera dans ces deux années sois assuré que je me fixe certaines limites, il ne faudrait pas que tu décides que mettre fin à notre petit arrangement soit plus profitable pour toi. Alors je te jure que tu ne verseras jamais la moindre goutte de sang… Je ne m'abaisserait jamais au niveau du porc chez qui on m'a placer alors ça inclus les petite gouttes que tu donneras peut-être un jour à ta petite copine si tu vois ce que je veux dire. Se moqua le jeune homme en se passant la langue sur les lèvres. Crois-moi c'est une autre chose que je trouve normal.

Karin, de plus en plus inquiète de la tournure des évènements écoute les règles dicté en se disant qu'elle n'avait même pas envisagé qu'il puisse la torturé ou même violer avant qu'il ne mentionne le sang et la police.

« Mais jusqu'où vas-t-il se permettre d'aller? »

- Maintenant les mauvaises nouvelles pour toi. Quatrièmement, à partir de maintenant, en ma présence tu n'es plus ma cousine, ni Karin, ni un être humain, ni même un animal… Tu n'es qu'un objet qui vas m'obéir au doigt et à l'œil sans hésité ni discuté c'est clair?

- O-oui. Hésite la rousse.

- Et dernièrement une autre petite chose… Je te jure que si tu obéis à ces règles jamais personne n'apprendras jamais tes secrets et je vais tout faire ce qui est humainement possible pour que personne n'en sache rien.

Agréablement surprise la rousse levas un regard remplis d'espoir vers son cousin pensant qu'il serait peut-être possible de l'amadouer, vu cet acte de gentillesse, mais elle du vite déchanté.

- Ne crois pas que je fais cela par bonté d'âme, après tout tan que tes secrets demeurent secrets tu resteras ma chose, déclare-t-il froidement.

À bout de force et de nerf la jeune fille se laissa tomber à genoux incapable de voir une échappatoire à cette situation.

- Bien, on dirait que tu comprends quel est ta place. À partir de maintenant quand nous seront ensemble et que je te donnerais un ordre tu me répondras en m'appelant maitre, c'est clair?

- Oui… Maitre.

- Bien, il doit te rester du temps avant de devoir rentré chez toi, avant de partir vas me préparer un repas suis-moi que je te montre la cuisine!

Le jeune homme se retourna et fit un pas avant de se raviser pour refaire face à sa victime d'un air mauvais.

- Avant tout, laisse tes vêtements ici!

- Q-quoi je ne vais…

- T-t-t-t-t, l'interrompt son cousin en levant un doigt. Je te conseil de ne pas commencer à briser les règles, il ne faudrait pas que j'oubli de récupéré la copie du corrigé que j'ai laissé au dessue de ton casier demain à la première heure non?

« Il a déjà prévu un moyen de me compremettre » Se dit la rousse catastrophée.

- Alors vas-tu obéir, petite chose?

- Oui… Maitre Naruto.

Bon pour ceux qui me suivent vous devez savoir que depuis plus d'un an je nage dans la guimauve en écrivant Combattre le Naturel... Donc j'ai décidé ,juste pour rire, de laisser parler le darkside de l'auteur schizophrène qui est en moi donc pour cette fiction: pas de couple, pas d'histoire d'amour. pas de réconciliation entre les deux principaux personnages, pas de joli lemon amoureux mais de l'érotisme à pleins hahaha.

De plus je me lance un défis... Réaliser tout les fantasme de mes lecteurs donc si je reçois un commentaire ou un MP me proposant une idée, une situation, une torture, ou une pratique perverse à faire subir à Karin je m'engage à l'inclure dans le chapitre suivant.

J'attend vos idées avec impatience.