Blabla de moi : Coucou tout le monde. J'arrive avec une nouvelle fic. J'espère qu'elle vous plaira. C'est la première du genre dans High school musical. Bonne lecture !

Disclamer : Tous ce que vous reconnaissez est à Disney et à Peter Barsocchini. Quant à ce que vous ne reconnaissez pas, ils appartiennent à eux-mêmes.

Merci à MiniMagiCcOlOurS pour son avis !

PS : Ceci est un prologue ne vous étonnez donc pas du peu de dialogue et des ellipses temporelles.

PS' : Tous les lieux tels que l'hôpital, les restaurants, les villes, font vraiment partie du sol Américain, notamment à Albuquerque !

CHAPITRE 01 : Là ou tout commence !

J'attendais que Gabriella sorte de chez elle. Aujourd'hui, nous recevions nos diplômes. J'avais revêtu cette espèce de robe typiquement Américaine. Noire, avec le chapeau intégré. La cérémonie commençait dans moins d'une heure. Finalement, elle sortit. Sans sa tenue de cérémonie. Elle était si belle. Elle avait une chemise blanche sans manches, et une petite jupe noire.

« - Gaby, t'as pas oublié qu'on allait chercher nos diplômes ? Et que par conséquent on devait être en tenue de cérémonie ?

« - Je l'ai prise mais je la mettrais que quand nous serons arrivés. J'ai pas envie d'avoir l'air idiote. D'ailleurs, tu devrais l'enlever, tu es mieux sans !

« - Mais qui te dit que j'ai mis quelque chose sous cette tunique, dis-je taquin.

Elle rit et ouvrit ma robe noire, un grand coup. Heureusement que j'étais bien habillé dessous. Une fête était prévue, je m'étais donc habillé en conséquence. J'enlevais donc la robe, gardant exprès le chapeau. Arrivée à East High, nous nous habillons et attendîmes que tout le monde arrive. La cérémonie débuta et elle fut super longue. Heureusement que nous ne faisons pas chacun un discours. Seule Gabriella en fut un en tant que major de la promotion, je crois. Je vis Sharpay bouillir de son côté ce qui me fit sourire. Elle avait toujours pensé que ce serait elle qui le ferait. Faut dire qu'à deux voix près, c'était elle qui le faisait.

« - … Je suis sur que nous verrons de grandes choses arriver de cette promotion. On a réussit, conclut ma copine.

D'ailleurs, je suis un mauvais petit ami, je n'ai pas écouté un tiers de son discours, mais je le connais par cœur. Ça fait deux mois qu'elle le prépare. C'est pour dire, j'ai du l'entendre une bonne centaine de fois ! Cependant j'applaudis aussi énergiquement que si j'avais entendu ses belles phrases. Je lui fais même un clin d'œil. Sa mère et mes parents viennent nous féliciter, et mon père fait même l'effort d'être agréable avec Gabriella durant le court instant ou nous sommes tous ensemble. Je la prends dans mes bras et, une fois que nous sommes seuls, je l'embrasse avant de lui proposer d'aller rejoindre nos amis à la fête.

Lorsque nous arrivons, ça vient de commencer. Chacun est dans son coin, comme si nous étions à la cafétéria. Le gymnase avait été décoré aux couleurs des Wildcats et plusieurs petites tables étaient éparpillées, laissant le centre du gymnase vide afin de danser. Notre dernière soirée au collège fut une réussite. J'avoue que ça me faisait bizarre de quitter mon lycée. J'y avais tellement de souvenirs. Mes premiers exploits régionaux, mes premiers amours, surtout, beaucoup de fous rires. Je me rappelle encore ma première journée ici. Les élèves avaient l'air si grand, et si intimidants, Et puis j'ai retrouvé Chad, mon ami d'enfance et ça a été nickel. Avec Gaby, nous avons pas mal dansé mais beaucoup plus parlé, avec nos amis. Nous ne reverrions plus certains d'entre eux aussi souvent. Comme Martha qui partait faire ses études à New York, ou encore Zeke qui lui allait à la faculté française de cuisine de Chicago. Mais la plupart restaient à Albuquerque. D'ailleurs, nous avions prévu de faire une virée à Disneyland avant que Gaby et moi partions un mois en montagne. Ces vacances promettent d'être riche en émotions. Nous nous fréquentons depuis trois ans, presque avec Gabriella et c'est le seul moment ou nous serons réellement seul. Nous allons pouvoir voir si nous pourrions vivre ensemble. Je suis impatient de voir ma copine dans ce rôle. En espérant que nous soyons complémentaire, vu que j'ai bien l'intention de faire durer notre histoire au maximum. Je veux tout vivre avec cette demoiselle. Plus que deux semaines !

Deux semaines plus tard …

Tout est prêt. Enfin presque. Je suis entrain de faire mon sac, mais j'hésite à prendre certains objets. Oui, bon, j'ai pris aucun truc relatif au basket, pas même ma veste Wildcats. Nous avons loué une chambre à l'hôtel, je n'ai donc pas à m'occuper de tout ce qui est linge de lit entre guillemet. J'ai juste pris des serviettes, gants, ce genre de choses, ainsi que des affaires, et des chaussures de marche. Plongé dans mes pensées, je sursaute quand je sens mon portable vibrer. C'est Gaby qui me demande si on va faire de la randonnée ? Evidemment, en montagne, l'été on peut pas faire de ski mais bon. Il faut dire qu'elle n'est pas super sportive mais elle adore la marche à pied et tout ce qui s'y rapporte. Elle préfère ça à la plage. Moi aussi. En fait non, je préfère la plage, rien faire, bronzer, regarder les filles en bikini. Surtout celle qui viennent me demander de leur passer de la crème dans le dos. J'adore ça. Comment Gabriella les remet en place d'un regard, avant de m'incendier, parce que je n'ai pas dit que j'avais une copine. De bons souvenirs la plage. Enfin, la montagne à quelque chose de plus romantique que la plage, je trouve. Chad s'est foutu de nous quand on lui a dit ou on passait nos vacances d'étés. Selon lui, les vacances d'étés doivent être à la plage. Je ne suis pas d'accord. L'été les plages sont bondées, tu galères trois heures pour trouver un coin ou poser ta serviette, et tout, très peu pour moi. Ce qui est étrange, c'est qu'habituellement, je passe mes étés à la plage avec Chad et mes parents, et sa mère bien sûr. Sauf l'année dernière, nous étions partis avec Gabriella. Mon père avait fait un effort monumental, du au fait que Gaby était avec sa mère et non avec nous. Enfin bref, un rapide coup d'œil au réveil, en forme de ballon de basket cadeau de Gabriella, m'indique que je suis en retard. Heureusement, je n'ai plus qu'à descendre mon sac dans la voiture. Une fois qu'il sera fait naturellement. Je soupire ! C'est stupide mais c'est toujours ma mère qui préparait nos bagages à papa et moi, donc je ne sais pas ce qu'il faut prendre. Avec mon père, on jouait au basket, pendant qu'elle vidait nos placards et remplissait des valises de choses utiles. Je crois que je n'ai rien oublié. J'ai des rechanges pour un mois, soyons fou, mes affaires de toilettes, mes papiers, ma carte bleue, mes clés de voiture, et j'oublie quelque chose. Je descends voir ma mère et lui pose la question. Au moins, elle pourra m'aider, c'est la meilleure.

« - T'as pris tes affaires de toilettes ? Des rechanges ? Tes papiers ? Les clés de ta voiture ? L'itinéraire pour vous rendre à vote hôtel ? Les activités éventuelles ? Le cadeau pour Gabriella ?

Mais oui, le cadeau de Gaby ! Je lui ai acheté une chaîne en or assez simple. C'est pour qu'elle y mette l'anneau que sa grand-mère lui a donné sur son lit de mort. Maman m'a dit que ce serait utile. Elles s'entendent super bien. A vrai dire, je crois que maman accepte le fait que je grandisse et que je m'ouvre au monde. Que je sors, et que je passe moins de temps en short à courir avec un ballon.

Maintenant que je suis prêt, je charge ma voiture. Mes parents sont là et m'aident. Tandis que ma mère vérifie si j'ai tout pris, mon père m'inonde de consigne de sécurité. Non, pas le genre de consigne comme « pense à mettre ta ceinture », « vérifie que tu as ta trousse de premiers secours avec toi » ou encore « sois prudent sur la route ». Non, j'ai plutôt le droit à des « Si jamais tu n'arrives pas à contrôler tes pulsions, pense à te protéger », « ne l'a met pas enceinte » ou encore « Ce n'est pas parce que tu rentre à l'université que tu dois jouer aux imbéciles, pense à son plaisir » plutôt ce genre là quoi ! Finalement, comme j'ai tout pris, je les embrasse leur promets de les appeler chaque jour, de les tenir informer, et je monte chercher ma copine. Ça craint, je suis en retard d'une demi-heure, elle va me tuer.

Finalement non, elle était encore plus en retard que moi. En fait, quand je suis arrivé, elle était sous la douche. Manolita, sa mère, en a profité pour m'informer de certaines mesures de sécurité. Les mêmes que mon père. Par politesse, j'ai écouté, et accepté les conditions.

« - Je vous promets de ne pas la mettre enceinte, et que si jamais, malgré nos précautions, cela venait à arriver, je prendrais mes responsabilités, après vous avoir offert un fouet pour me battre pour avoir briser la vie de Gaby, dis-je plus sérieux du monde.

Elle me regarda et me sourit. Nous parlâmes de nos activités sportives. J'avais déjà fait du repérage sur internet. Il y avait de beaux sites à voir et donc, de superbes photos à ramener, pour ma passionnée. Dix minutes plus tard, elle descendit, enroulée dans une serviette, apparemment inconsciente de ma présence.

« - Maman, je trouve plus mes valises, tu les as ou ?

« - Dans le coffre de Troy, ma chérie.

C'est à ce moment qu'elle m'aperçut. Elle rougit, et remonta en quatrième vitesse. Malgré moi, je souris alors que j'avais brusquement envie de faire de même. Fuir la pièce et le regard inquisiteur de Manolita. Je lui proposais d'aller chercher les deux valises de sa fille, mais comme elle savait ce qu'il fallait, elle les ouvrit directement devant moi, et prit ce dont, elle avait besoin. Je refermais les bagages et respirais un bon coup, quand je fus seul. En y repensant, elle était diablement sexy ainsi vêtu, si je puis dire. Ses cheveux étaient encore dégoulinants et gisaient sur ses épaules humides, lui donnant un air de petite fille fragile. Ses petits bras bronzés maintenant la serviette, et ses jambes découvertes jusqu'à la mi-cuisse, encore mouillées me donnèrent des idées peu catholiques que je chassais en secouant la tête. J'avais besoin d'air. Mano revint et me proposa de boire quelque chose. J'acceptais. Au moins, je pourrais reprendre contenance. Une demi-heure plus tard, Gabriella descendit. Elle avait mit un jeans blanc et une chemise améthyste. Ses ballerines blanche au pied et ses cheveux relevés en une queue haute donnait un aspect décontractée qui lui allait très bien. Nous dîmes au revoir à sa mère et, après des embrassades de plusieurs minutes, nous partîmes. Quand nous arrivâmes sur l'autoroute, je la regardais un instant, lui fit un clin d'œil et je lui dis :

« - A nous les vacances et la liberté !

Voilà, c'est le premier chapitre. Dites-moi ce que vous en pensez en reviews. Bisou

Time Tell Will !