Chapitre 1

Un réveille mouvementé

Iorick regardais par la fenêtre, l'été s'achevais. C'était un garçon blond de 16 ans. Des yeux verts perçant sur un visage maigre qui reflétaient l'image de son corps pas très gros. Il regardait le soleil décliné sur l'horizon des banlieues de Moscou.

Il se retourna pour aller se coucher, on pouvait distinguer sous la lumières écrasante de son spot, plaqué de le coin sa chambre d'étudiant, des livres empilés sur son bureau, on pouvait lire science, littérature, philosophie. Une armoire moyenne bloquait la majeure partie du mur face à son lit. Près de celui-ci on remarquait une table de chevet sur laquelle plusieurs photos se battaient pour de la place. Sur l'une d'elle on pouvait voir ces parents, une femme d'une quarantaine d'années, aux cheveux bruns et aux yeux noisette qui regardais amoureusement un homme blond du même âge, de taille moyenne aux yeux bleus. Iorick s'allongea sous la couette, déclencha l'interrupteur, la lumières de la pièce fis maintenant place à l'obscurité.

Une explosion souffla la porte de la chambre de Iorick, il fut projeté dans la porte de son armoire, des lumières rouge, bleu, verte éclairais l'entré de sa chambre. Il pouvait entendre «-Avadaka…expeliarm…Incendi… » Ces mots qui ressemblais à des incantations était inconnu à Iorick, et il ne pouvait réfléchir toujours secoué par son atterrissage dans son armoire.

Un bruit énorme tonna près de sa chambre suivi de l'image de sa mère projeté dans le couloir passant devant sa porte. On entendit hurler :

-LILIANNE !, Vous allez tous mourir salaud, avadakada…

-Avadakadavra ! Fis une voie plus rapidement que son père.

Une lumière verte éclaira le couloir, suivit d'un bruit sourd sur le parquet. Une ombre noir vin obscurcir l'entrée de la chambre de Iorick. Il était effrayé, l'homme en noir tendit comme un bâton dans sa main, vers Iorick. Pris de panique il mit ses main en avant pour se protégé face au danger éminent.

-Avadak….

Le feu apparus comme par magie, du creux des mains d'Iorick, brulant sa chambre et touchant son agresseur qui s'écroula dans un râle puissant. Il s'enfonça sur le palier de sa chambre, et couru vers mère.

La porte au fond du couloir avait explosé et jonché le sol de multiple éclat de bois, lorsque sa mère fut projeté vers celle-ci, elle s'empalât sur la porte détruite, la transperçant de part en part. Elle était toujours en vie, les yeux remplis de larmes en direction de son mari couché sans vie dans le couloir défiguré par le combat qui venait de s'arrêter. Un sourire fit son apparition lorsqu'elle vit Iorick s'approchant d'elle, puis c'est yeux perdirent l'infime parti de son âme qui restait dans son corps meurtri.

Iorick allait crier son désespoir, lorsqu'il entendit la voix rauque d'un homme :

-Choper le morpion, il est la haut, et il les veut mort, brulé tous !

Des bruit de pas montaient les marches, Iorick était perdu, planté là au milieu de ces deux parent mort. Le premier homme apparu en haut des marches tous de noir drappé, brandissement fermement ce même bâton que Iorick avait vus quelque instant plus tôt. Ce préparant à trépasser, deux lumières blanche apparurent devant lui, elles venaient de passer par la fenêtre, pour se matérialisé devant lui sous forme humaine.

Le premier était un homme grand, avec de long cheveux brun tous comme sa longue barbe, il portait un tenu singulière, un longue robe noir et marron. Le second était plus jeune, portant un costume noir et blanc avec gilet.

Leur 2 voix clamèrent d'un seul et même souffle rictusempra, L'homme en noir s'envola comme frappé au visage par une force invisible pour s'écrasé dans les escaliers.

-Merde, Ils ont eu Owen, il n'est pas seul en haut !

-Crois-moi Lucius, ils ne vont pas aller loin !

-Mais de quoi tu parles Crabe, ils ont les marches et on a perdu deux hommes.

-On va sortir discrètement, laisse-moi faire le reste !

-Mais…

-Pas de mais Lucius, tout le monde dehors chuchota Crabe.

Tous sortir discrètement, Crabe emboitais le pas, en passant le seuil il se retourna et pointa de son arme vers la maison, un feu monstrueux qui pris l'apparence d'une bête. Les flammes embrassèrent la maison en une fraction de seconde.

-Un feudeymon ! Mais tu es fou Crabe !

-Ne t'inquiète pas je le contrôle. Restons ici le temps que la maison brule entièrement.

-Iorick écoute moi !

L'homme plus vieux venait de lui, parlé mais il n'entendait rien, trop de chose en si peu de temps venaient de se déroulé, il était perdu et déboussolé. Il sentit l'étreinte du vieil homme sur son bras, et les flammes qui se trouvaient à présent à quelque centimètre de le corp. Soudain, il se sentit comme aspiré, tous tournait autour de lui. Puis tous s'arrêta, la nausée lui vint immédiatement mais il put ce contrôlé.