Disclaimer: Rien ne m'appartient. Ni les personnages d'Hetalia, ni la conception "Rowlingienne" de la sorcellerie, ni les lieux. ça craint. ;D

Rating: M [USRUS UKFRANCE SWEFIN GERITA]

NOTES: Ok, je sais, je devrais arrêter de publier un milliard de fics. Mais là, j'en pouvais plus. Depuis que j'ai appris l'existence du jeu "Gakuen Hetalia" ( En gros toutes les nations sont dans une école et le joueur a le rôle de Seychelles ... Enfin bref) J'avais vraiment super envie d'écrire une SchoolFic. Parce que peut-on réellement considérer ça comme un AU? J'entends... Ce que me saoule avec Hetalia, c'est que l'auteur fait un peu n'importe quoi il me semble... Dans le sens, faire des personnages masculins, les changer en femmes, après en chats... Non mais sérieux... Enfin bref. Et d'un autre côté, j'avais trop trop trop envie de faire un crossover avec Harry Potter. Mais je me suis dit que j'arriverais pas mentalement parlant à finir deux fics dont le contexte serait aussi semblable... J'entends... Ecole, prof, dortoirs etc...Alors je me suis dit: HEY MIXE LES DEUX!
Et voila comment cette fic est née. Bref, désolée de polluer le fandom comme une petite sale.

Merci à ceux qui donneraient une chance à cette fic! :D


06 Décembre

Tino était en train de déballer son premier cadeau lorsque la chouette arriva. Il jeta un coup d'œil circonspect à sa mère, qui était assise à sa droite. Lorsqu'une chouette arrivait chez eux, c'était toujours pour elle. Son père était un moldu, comme elle le lui avait expliqué, et pour lui, tout fonctionnait « normalement ». Enfin, Tino en avait déduit que c'était sa mère qui était hors de la norme, puisque tous les voisins recevaient leur courrier normalement, c'est-à-dire, dans la boîte aux lettres.

Mais cette fois, au lieu de se précipiter vers la fenêtre en jetant un regard entendu à son mari, elle lui fit signe d'y aller, un sourire fier sur le visage.

Tino fit ce qu'elle lui demandait, un peu curieux. Ils lui avaient expliqué ce qu'étaient la magie, enfin dans la mesure où être sorcier était finalement quelque chose de très, très relativement explicable. En le voyant ouvrir la fenêtre la chouette tendit docilement sa patte, laissant au jeune garçon – il avait onze ans ce jour là- le soin de détacher la lettre.

Et à sa surprise, la lettre lui était adressée.

Et trois minutes plus tard, il apprenait qu'il était un sorcier comme sa mère et que, dès septembre, il entrerait à Tylypahka, l'école de magie Finlandaise.

30 Décembre

« - M. Swarovsky, je crois avoir pu constater que vous n'avez toujours pas réglé la somme que vous nous devez. »

M. Swarovsky était un homme d'âge mûr, remarquablement petit, et remarquablement gras. La peur que lui inspirait l'homme en face de lui, d'une taille remarquablement grande, et d'un gabarit remarquablement musclé était parfaitement manifestée par les gouttes de sueurs qui perlaient sur son visage.

A côté de lui, se tenait le fils Braginski. Et malgré son jeune âge (combien lui avait-on dit… Douze ans, treize ans ?) Il avait déjà l'attitude parfaite pour l'occupation qui allait, c'était certain, devenir sa profession.

Si on pouvait appeler faire partie de la « Bratva » un métier.

Voyant que s'il continuait à rester muet il serait sans aucun doute dans une situation très, très risquée, il s'empressa de répondre :
« - Je vous jure que ce sera fait avant la fin de la semaine je vous … »

Braginski-père avait sortit une arme blanche de son manteau et la pointait sur lui d'une manière menaçante. (Il est vrai qu'une arme pointée sur quelqu'un est rarement autre chose que menaçante. Mais passons.)

L'homme s'avança dans sa direction et déclara d'une voix très calme :
« - Si ce n'est pas fait, je te conseille de trouver un endroit efficace pour te cacher, Swarovsky. »

Il hocha la tête à toute vitesse, cherchant désespérément un moyen qui lui permettrait de se procurer l'argent. Il n'en voyait pas encore, mais il allait bien finir par se débrouiller. Jusqu'à maintenant il avait toujours réussi à s'en sortir.

En sortant, le gamin lui sourit d'un air joyeux. Et Swarovsky, se dit qu'il n'avait jamais vu un sourire aussi horrible.

« - Tu dois tout faire pour qu'ils te considèrent comme invincible et inatteignable. Tu comprends ? »

« - Oui, père. » Répondit Ivan.

Il avait onze ans aujourd'hui et son père, en tant que cadeau (parmi les dizaines d'autres plus couteux) l'avait emmené avec lui pour s'occuper du débile. (M. Swarovsky). M. Braginski n'avait bien évidemment pas l'intention de mettre ses menaces à exécution : ce serait trop se compromettre pour une proie ridicule. Non, s'il devait se débarrasser de quelqu'un, c'était toujours un espion ou un membre d'une mafia adverse. Pas un ridicule petit marchand de porcelaine (et armes). Il avait la police dans la poche, mais il restait toujours quelques imbéciles heureux qui pensaient qu'ils pouvaient renverser la corruption et faire de la Russie une démocratie disons… Honnête.

Mais la famille Braginski était assez intouchable. Il était considéré comme un « magnat du gaz » et même si personne n'était dupe quand à son appartenance à la mafia, la police et les membres du gouvernement le laissaient absolument tranquille.

Sa vie était donc, somme toute, plutôt satisfaisant.

Son regard dévia du paysage qui défilait par la fenêtre de sa voiture de luxe, pour se poser sur son fils, Ivan.

C'était son cinquième enfant, le fils de sa sixième femme. Oh, il savait bien que celle là, il aurait dû la garder plus longtemps. Si c'était pour lui fabriquer des héritiers aussi satisfaisants… : Ivan avait du charisme, du sang-froid, et un physique qui s'annonçait prometteur.

Grand, musclé, il pourrait prendre sa place sans problème au moment où il déciderait de partir à la retraite.

Le chauffeur les amena devant leur maison, où les deux hommes sortirent. Pour les onze ans de son fils, avait fait énormément de projet. Un feu d'artifice, des invités de renoms… Ivan était sa plus grande fierté, c'était certain. D'autant plus que la nouvelle année serait un jour plus tard et qu'un Russe ne repousse jamais l'idée de faire la fête deux jours de suite.

Mais lorsque le garde les laissa entrer chez eux, ils ne trouvèrent pas le monde qu'ils s'étaient préparés à voir se précipiter sur eux.

A la place, un homme se tenait vers la grande cheminée du salon, et il se tourna vers eux lorsqu'il remarqua qu'il n'était plus seul dans la pièce.

Le premier reflexe de fût de s'emparer de son colt et de le pointer sur l'inconnu. Quand à Ivan, il avait sortit le poignard qu'il avait reçu le jour de ses sept ans.

A vrai dire, ils étaient horrifiés par l'idée qu'un homme ait pu entrer chez eux, et allumer un feu sans que personne ne s'en aperçoive.

« - Bonsoir. Inutile de pointer ces choses sur moi, je suis juste venu parler à Ivan Braginski. »

Ivan leva un sourcil. Et M. Braginski se plaça, ressentant le besoin de protéger son héritier le plus précieux, devant lui.

L'inconnu reprit.

« - Je suis Igor Karkaroff et je suis ici pour finaliser l'inscription de votre fils dans mon établissement, l'école de sorcellerie Durmstrang. »

11 Février.

Kiku se permit un sourire lorsque le hibou arriva chez lui. Ses parents le regardèrent d'un air approbateur et ils se remirent à table.

Ils étaient une famille de sang pur et il n'avait rien d'étonnant à ce que leur fils unique soit inscrit à Hoguwatsu. La difficulté résidait maintenant dans l'objectif qu'ils lui avaient fixé : être le meilleur.

17 Mars.

« - Ve~ Romano ! Regarde ce que j'ai reçu ! »

Le couteau de cuisine s'écrasa sur la planche avec une force inhabituelle.

« - Abruti, c'est pas comme si c'était évident que j'allais en plus devoir te supporter à l'école ! Imbécile ! Fait chier… »

Feliciano sourit en parcourant la lettre du regard: il était admis dans l'école de sorcellerie Italienne. Son grand-frère avait partiellement raison, puisqu'ils étaient des « sangs purs ». Mais Feliciano, au contraire de son frère, n'avait jamais vraiment montré un talent particulier pour la magie, et les phénomènes liés à celle-ci n'avaient pas été très nombreux dans son enfance.

Romano alla chercher des tomates pour la sauce dans le frigo, et en profita pour ébouriffer les cheveux de son petit frère. (2)

23 Avril

A la seconde ou Arthur ouvrit les yeux, il se jeta hors de son lit et se précipita hors de sa chambre. Il croisa Klakox dans un des couloirs du manoir, mais il n'entendit pas son « bonjour, maître » tant il était pressé.

Il descendit dans la cuisine et trouva ses deux parents, réveillés, habillés et un café à la main.

« - Joyeux anniversaire chéri ! » S'exclama sa mère d'un air joyeux.

« - La lettre est déjà arrivée ? »

Mme. Kirkland secoua la tête tout en souriant d'un air amusé.

« - Il est à peine sept heures du matin, Arthur, je crains que tu ne doives être un peu plus patient. »

Le jeune homme, ou plutôt garçon, alla se camper devant l'une des nombreuses fenêtres du salon, attendant avec impatience la lettre qui lui annoncerait qu'il était sélectionné pour entrer à Poudlard, le rêve de tous les enfants sorciers d'Angleterre.

Sa mère était une Poufsouffle et son père un Serpentard. Il avait entendu leur histoire, comment ils s'étaient royalement ignorés pendant sept avant de se re-rencontrer pendant la guerre.

Arthur espérait entrer à Gryffondor. C'était là qu'était allé Dumbledore, et s'il y avait une personne qu'Arthur admirait, c'était bien son futur directeur.

Les heures passèrent, et Arthur ne changea de place que pour prendre son petit déjeuner. Un doute commençait à s'insinuer dans son esprit. Et s'il était un cracmol ? S'il était condamné à aller à l'école moldue du village ?

Sa mère, ayant connu exactement la même crainte le rassura immédiatement.

Et à 10h30 du matin, une chouette tapotait contre la fenêtre.

4 Juillet

Le sénateur de l'état du Texas fronça les sourcils lorsqu'il rentra chez lui. C'était l'anniversaire de son fils, Alfred, et il avait acheté en sortant du travail la console de jeu dont son fils rêvait en même temps qu'une bonne dizaine de « Comics ».

Pour la première fois depuis qu'Alfred était capable de marcher, il ne fut pas accueilli par son fils le suppliant de lui remettre ses cadeaux.

La maison était inhabituellement calme.

Il posa les quelques paquets cadeaux sur la table de leur salon, et procéda méticuleusement à la recherche de sa famille. Mis à part les décorations animées par sa femme, la maison était vide.

Un peu inquiet, il chercha à tâtons son téléphone portable dans la poche de sa veste.

Au moment où il commençait à composer le numéro de sa femme, elle réapparu avec son fils, dans le salon.

Il sursauta. Il ne s'était jamais vraiment fait à l'idée que sa femme puisse être une… sorcière, et encore moins à tout ce que ce fait impliquait.

Alfred se précipita sur lui un bout de papier dans les mains :
« - Papa ! Regarde ce que j'ai reçu ! Je suis admis à Southward ! »

M. Jones crû que la Terre venait de s'ouvrir sous ses pieds.


Vormas était une personne étrange. Il s'agissait d'un métamorphomage, c'est-à-dire d'un sorcier ayant la capacité de changer d'apparence à volonté. Chaque année, il assistait aux BUSE de toutes les écoles du monde. Son emploi était donc extrêmement chargé en mai/juin. Mais il n'assistait pas à la totalité des examens. En général, il lui suffisait de parcourir du regard une salle remplie d'élève transpirant sur des copies pour repérer un candidat acceptable pour la WWS –Wizard World School – Mais dans 75% des cas, il revenait bredouille. A vrai dire, les capacités scolaires ne l'importaient que peu. Une personne ne faisant que des « Optimal » avait autant de chance d'être sélectionnée qu'une autre n'ayant que des « Troll ».

Son académie était extrêmement réputée. Célèbre, très voir peut-être trop stricte, elle offrait à un élève par pays la chance de se voir offrir un enseignement plus particulier. Car cela faisait partie d'une des nombreuses règles : Il ne pouvait y avoir qu'un élève par pays. En d'autre terme, si deux anglais, par exemple, étaient jugés dignes d'entrer dans la WWS, un seul serait sélectionné.

Mais de toute manière, ce cas de figure ne s'était jamais présenté.

Il regarda la liste des six élèves qui avaient attirés son attention. Une bonne année, pensa-il.

Espagne entra dans son bureau d'un air curieux. Vormas tourna la feuille dans sa direction et le jeune homme put y lire six noms de pays :
Finlande

Russie

Japon

Italie

Angleterre

Amérique


Note 1: Alors pour le nom des écoles de magie, Ce sont toutes les traductions pour dire Poudlard (ex:Tylypahka= Poudlard en finlandais) . J'avais vraiment, vraiment pas le courage d'essayer d'en inventer! Désolée, faites comme si vous étiez pas au courant ;D. Ah, sauf pour Southward, dont je suis l'inventrice! AHAHAHAh AHAHAHAAH AHAAHAHAHAH. Hem.

Note 2: Alors ça grande nouveauté, Romano et Feliciano ne sont pas jumeaux!( Du moins si on en croit le Wikia Hetalia) Romano a un an de plus! Sérieusement! J'ai halluciné! Par contre, ils sont nés le même jour. Allez savoir.

Merci à ceux qui auraient lu, merci encore plus fort à ceux qui me feraient l'honneur de laisser une review... Mes petits canartichot je vous aime encore plus que mon dracolosse... hihihih (OULAA NOUVELLE IDEE DE CROSSOVER XD)

(Ps pour ceux que ça pourraient potentiellement intéresser: A) Je vais publier une nouvelle fic d'ici peu (Et ce sera pas un UA HAHAHA) . B) La prochaine update sera ma ficTwilght/hetalia)

MERCIMERCIMERCIMERCI