De : Snapou Black
Disclam' : Rien n'est à moi, même si je ne dirait pas non pour un p'tit bout. Enfin si, par la suite il y aura mon très cher James Paterson (que vous avez dû voir dans "Theodore Nott") et mon unique Andrew Scott (que vous verrez prochainement -maintenant- dans "Andrew Scott" ... c'est fou ce que mes "longues" fics ont des noms qui ne laissent aucun doute quand au personnage principal)
Perso principal : Théodore Nott (ne vous étonnez pas voyons) - Blaise Zabini - Draco Malfoy
Résumé : On avait des projets pour eux, mais... ça n'était pas forcément à leur goût. Selon notre nom, il y a des choses dont on ne peut se notre famille des mots qui nous sont interdit. Mais au final : quand on veut, on peut... tous trois le savaient.
Chapitre : Chapitre 1/Chapitre 14
Année en cours: A vous de voir: D
Nott : Chapitres courts..
Review anonyme : réponse sur http:/ snapou-integral-ecrit .skyrock .com/ (supprimer les espaces)
Blaise Zabini faisait face à son beau-père. Lequel lui importait peu… depuis sa naissance, ou alors depuis la première fois où il ait pu se souvenir de l'existence de l'un d'eux… cela devait être approximativement numéro trois ou numéro quatre… enfin bref. Là n'était pas l'essentiel. Sa mère avait toujours eut le chic pour mal choisir ses guignols.
Le premier qu'il eut connu, était son père. Un homme, de l'âge de sa mère dirait il…ou alors, cela ne s'en éloignait pas beaucoup. Il avait hérité de lui principalement… les cheveux noirs, la peau mâte… oui, en général. Sauf les yeux, il avait ceux de sa mère… mais pensait ainsi le faisait immanquablement penser à Potter. Harry Potter. Et cela le dérangeait fortement… donc, il évitait justement d'y songer. Aller savoir pourquoi. Ce n'était pas comme si Potter était agaçant ou même énervant. Non, il était bien plus que cela, mais c'était une autre histoire.
Le second était un vieillard. Qui sentait les médicaments, et qui avait une tête de chimpanzé, d'après ses souvenirs… souvenirs d'un mômes de 5ans grand maximum. Sa mère l'avait gardé 4ans, un record si l'on prends en compte que le premier n'ai duré que 2ans, le second 3, le troisième qui était son père lui, n'avait vraiment pas fait long feu… fou amoureux il lui avait tout de suite donné tout pouvoir sur sa fortune… grossière erreur. Donc soit… 1an et demi, un beau record puisqu'il avait été le seul à l'avoir mise enceinte, mais une fois encore… là n'était pas l'essentiel. Numéro 2 restait un mauvais souvenir.
Numéro 3… lui. Un petit jeune, bien fringué qui avait été séduit par la beauté de sa mère et l'argent qu'elle avait elle dans son porte monnaie. L'appât du gain les avait attirés l'un à l'autre. Quand il y pensait d'ailleurs, ce n'était pas étonnant qu'elle l'ait liquidé au bout du sixième mois.
Et il aurait tellement apprécié que numéro 4 batte le record de numéro 3, et se fasse liquider en moins de temps. Mais non… il avait finement étudié sa mère… s'était rendu compte que la Veuve noire les supprimaient une fois qu'elle avait l'argent entre ses serres… et bien… il n'avait qu'à ne pas le lui donner. Ainsi donc, il resterait. Edmund Miller était donc resté accroché à sa femme Plus de 12ans… Blaise n'avait plus aucun espoir de le voir déguerpir de sa vie… alors le gamin de 7ans c'était résigné, et l'avait laissé faire… pendant près de 10années, plus de la moitié actuellement de sa vie… il l'avait laissé faire. Il en était même venu à le considérer comme son propre père, après tout. Pourquoi pas.
Seulement aujourd'hui, Edmund voulait, et l'obligeait, à faire quelque chose dont il n'avait pas envie. Il n'était pas un vulgaire animal que l'on marque, que l'on jette si il est usagé et inutile. Blaise se savait humain, légèrement supérieur aux autres, mais humain, Serpentard, riche et au sang pur, supérieur, mais humain. Donc, hors de question qu'il se mette à lécher les bottes pleines de terre d'un cinglé.
Droit face à lui, un duel de regard c'était installé. Ils étaient loin les cris dont ils avaient fait preuve au départ… les cordes vocales ont-elles aussi des limites, et ils l'ont constatés malgré eux. Si les reproches et arguments du départs étaient acceptable, ceux de la fin du round eux, laissaient K.O quiconque les écoutaient. Sang pur ? C'était à en douter.
