Bonjour à tous ! Voici le premier chapitre d'une nouvelle fiction. Elle se situe autour des saison 8 ou 9, lorsque tout (ou presque) va bien pour tout le monde ! C'est un peu une fiction à l'ancienne ahah! J'espère que ce premier chapitre vous plaira, n'hésitez pas à reviewer, chaque avis est bon à prendre.
Bonne lecture !
"Oh allez, tu me le dois bien!
_Je ne crois pas te devoir quoi que ce soit Tony! cracha Ziva à l'attention de son collègue.
_Oui, bon d'accord, tu as raison. Alors simplement parce que je te le demande! répondit le-dit Dinozzo.
_Tony ce n'est pas que je ne veux pas mais tu ne crois pas que c'est à toi de faire ça ?
_Ziva cette femme me déteste, elle serait bien capable de me tuer ! S'il te plait? supplia Tony.
_Pourquoi tu ne les lui envoie pas? demanda la jeune femme.
_Je suis déjà là! répondit-il.
_Et bien alors sonne! ordonna-t-elle."
L'agent réfléchit quelques seconde puis releva la tête vers sa partenaire, comme si une brillante idée venait de traverser son esprit.
"Je te demande juste de rester avec moi dans ce cas! dit-il en la regardant avec des yeux de chien battu.
_Très bien Dinozzo, mais dépêche toi!
_Avant, ferme ton manteau, demanda-t-il."
La jeune femme s'exécuta, bien que sans comprendre. Tony appuya sur la sonnette, et lorsque la porte s'ouvrit sur une petite dame avec un visage dur et aigri, l'agent prit sa collègue par la taille et tendit un énorme bouquet de fleur à l'ancienne qui se trouvait en face de lui.
"Madame Peters, je viens ici pour m'excuser, cela fait plusieurs jours que les voisins et moi-même recevons des rats morts dans nos boites aux lettres et de jolis menaces de mort, j'en ai conclut que tout cela était lié à ce que vous avez trouvé sur le trottoir devant votre porte il y a quelque jours, Tony hésitait à continuer devant le regard menaçant de la vieillarde, je suis ici aujourd'hui pour vous dire, il regarda Ziva, que cela s'est produit un soir où j'emmenais ma femme à l'hôpital, vous comprenez, elle est enceinte et ce genre de chose ne se contrôle pas vraiment, nous nous sommes dépêchés d'aller à l'hôpital et n'avons pas eu le temps de nettoyer avant que vous ne le fassiez. Nous sommes profondément désolés, n'est-ce pas Ziva? demanda-t-il en regardant sa co-équipière.
_Oui, profondément désolés, ajouta Ziva après quelques secondes d'hésitation et la ferme intention de tuer Tony en tête."
La vieille sonda les deux personnes en face d'elle, arracha les fleurs des mains de Tony, fit une moue dégoûtée en regardant Ziva et claqua la porte devant eux. Tony paraissait soulagé mais c'était sans compter sur le regard meurtrier que lui lançait Ziva.
"Peux-tu m'expliquer ce qu'il vient de se passer? demanda-t-elle, en plaçant ses poings sur ses hanches, dans l'attente d'une réponse.
_As-tu vraiment besoin de savoir? demanda-t-il, avec un air séducteur.
_Tony.
_Il y a trois jours, ma cousine a décidé de quitter son partenaire pour un temps, afin de se consacrer à un projet, elle m'a dit qu'ils avaient besoin d'une pause. Elle m'a appelé le soir même car elle était inquiète à l'idée qu'il soit seul dans un bar, elle m'a donné l'adresse d'un bar qu'il avait l'habitude de fréquenter, j'y suis allé et je l'ai trouvé, ivre mort en train de vider le contenu de son porte feuille, clamant qu'il ne pouvait pas payer. Je me suis occupé de lui et je l'ai ramené chez moi, mais sur la route il n'a pas réussit à retenir son estomac et son contenu, qui s'est retrouvé devant la porte de la charmante dame que tu viens de voir. Depuis, toute la rue reçoit des menaces de mort et des rats dans leur boite aux lettres."
Ziva hocha la tête en signe de compréhension.
"Comment aurais-tu fait si nous ne nous étions pas croisés ici par hasard Tony? demanda Ziva, amusée.
_Oh, et bien je le serai résigné à enlever tous les matins les rats parmi mon courrier, répondit-il en riant, je suis désolé de t'avoir mêlée à tout ça.
_Ce n'est rien, mais je n'ai tout de même pas l'air d'une femme enceinte !
_Pardonne moi pour ça, d'ailleurs, que fais-tu ici ?
_Je passe voir ma future colocataire !
_Pardon?
_Je ne l'ai dit à personne, pour ne pas susciter d'inquiétude, mais mon immeuble à été racheté au propriétaire par une compagnie, ils vont en faire un hôtel, j'ai eu 6 mois pour trouver autre chose, et je suis tombée sur l'annonce de ma future coloc', c'était l'offre la plus avantageuse que j'ai eu jusqu'à maintenant, et surtout, je dois partir de mon appartement demain.
_Tu sais, si tu m'avais expliqué la situation...
_Tu te serais inquiété Tony, si tu savais que deux jour avant de me faire expulser je n'avais toujours pas trouver de logement, coupa Ziva.
_Tu as surement raison, enfin, tu sais que si ça se passe mal, ma porte est toujours ouverte pour toi, avoua-t-il avec un sourire tendre.
_Je sais Tony, merci.
_Si tu veux, on peut aller prendre un verre ensemble ? annonça-t-il, un peu hésitant.
_Demain ? Ce soir j'ai rendez-vous avec ma coloc, et j'ai plein d'affaire pour mon nouveau chez-moi! répondit Ziva, un peu gênée de décliner.
_Demain alors, répondit Tony, un grand sourire aux lèvres, heureux qu'elle n'aie pas simplement dit 'non'."
Les deux se séparèrent en une accolade et Tony regarda Ziva partir, ses pas laissant une fine trace dans la neige. Il ne se rendit compte de son sourire béat et de son immobilisation que lorsqu'il ne la vit plus et rentra chez lui.
Ziva arriva devant une maison de ville, typique de Washington, et plutôt riche. Elle sonna, nerveuse, un carton remplit d'objets personnels en main.
Une jeune femme aux long cheveux chataing ouvrit, elle avait un grand sourire sur le visage et des yeux hazel resplendissants.