Salut, ici Failurex.

Ce que vous vous apprêtez à lire est ma première fanfiction. Les deux premiers chapitres sont vraiment, vraiment très courts, mais l'expérience et les conseils aidant, les chapitres sont plus longs.

Je prends vraiment plaisir à l'écrire et j'espère que cela vous plaira aussi.

Dans ce premier chapitre, un nouvel élève arrive à McKinley et est accueilli. Mais peut-être pas de la façon dont il l'espérait.

Vous vous en doutez, Glee ne m'appartient pas.


Chapitre 1

L'arrivée


La première fois. C'était la première fois que je marchais dans les couloirs d'un lycée américain. Le mois de septembre était déjà passé et octobre bien avancé. J'appréhendais le regard des élèves sur moi, le nouveau, arrivé en cours d'année. Mais Il m'avait dit que ce n'était pas la même chose qu'en France où on te met de côté parce que tu n'as pas fait la rentrée avec les autres.

Repensant à la France, je me détendis. Que de souvenirs de Paris ! Si ce n'était pas ma ville natale, c'est là-bas que j'y ai fait mes premières armes musicales. J'avais même gagné le concours de chant national des moins de 18 ans ! Je pouvais être fier. Un sourire envahit mes lèvres oui, ici je serais respecté, enfin. Après des années de calvaire à l'école, on allait au moins reconnaître mon talent. C'est ce qu'Il m'avait dit. Personne ne pouvait ignorer le grand Andrew Sullivan, le plus grand chanteur Fran…

*SPLASH*

Je venais de me prendre une espèce de gobelet contenant du liquide gluant bleu, jeté par un gorille habillé d'une veste rouge et blanche, avec le logo WMHS.

« On sait ce que t'es le nouveau ! C'est la coutume de bienvenue pour les mauviettes de chanteur à deux balles dans ton genre ! Dégage de nos couloirs ! » me lança-t-il, hilare, bientôt rejoint par cinq ou six de ses amis, tous aussi grands que lui.

Je ne sais pas si les larmes qui me montèrent aux yeux étaient dues au liquide atrocement gluant ou par la honte que je ressentais. Ne m'attardant pas pour le savoir, je me précipitais aux toilettes. Bouillant intérieurement, je laissais les larmes couler. Encore, encore une fois je serais méprisé à l'école. Et je ne le supportais plus. Frappant rageusement le rebord de l'évier en marbre blanc, je levais la tête et le vis dans le miroir. Il était là, l'ami que je connaissais depuis ma naissance. Mon meilleur ami était enfin là.