Bonjour à tous. J'arrive avec une nouvelle histoire même si je n'ai pas fini l'autre. Mais pas d'inquiétude, j'écrirais mes deux histoires en parallèle comme le font beaucoup d'auteur. Cette fiction répond à un des défis de Pocrom :
Une fic ou il est enlevé par les elfe et emmené dans une autre dimension ou il s'y entraîne et mène des guerre jusqu'a ses 17 ans le conseille le renvoi dans le monde des humain avec sa femme et son fils tout les deux elfe et demis elfe a la tête d'une armée elfe dont il est le général et il est très apprécier bien qu'il soit humain quand il revient il atterrie en plein milieu de la grande salle en début d'année pendant la répartition alors q'il devrais être en 7ème année.
En espérant que ça vous plaira. Bonne lecture !
Une vie d'elfe
Chapitre 1 : Le commencement
Il faisait nuit. Le vent soufflait en cette nuit d'automne. Il était froid et poussait les nuages jusqu'à en cacher la lune. On aurait dit que les ténèbres avaient envahit l'endroit. Il n'y avait personne dehors. Tout le monde était chez soi bien au chaud avec sa famille. Le village dans lequel nous nous trouvons était composé de petite maison de pierre. Les feux dans les cheminées étaient allumés et on pouvait voir la fumée grise sortir des cheminées. Au loin, un peu à l'écart du petit village, un apercevait une maison plus imposante. C'est dans cette maison que tout commença.
La petite famille qui habitait cette maison se préparait à fêter Halloween. Le père, un homme âgé d'une vingtaine d'année, avait les cheveux noirs en bataille et les yeux marron. Sa femme, qui semblait avoir le même âge que son mari, avait les cheveux d'un roux foncé et de magnifiques yeux verts. Elle tenait dans ses bras un petit garçon qui devait avoir un peu plus d'un an. Il suivait son père de ses petits yeux verts, identiques à ceux de sa mère. On pouvait déjà observer une petite touffe de cheveux noirs qui promettaient d'être aussi indiscipliné que ceux de son père. Le bambin était fasciné par les citrouilles que tenait son père et il tendait les bras afin de les toucher mais malheureusement pour lui, son père se trouvait trop loin. Voyant qu'il ne les aurait pas, il décida de tirer sur les cheveux de sa mère, qui eux étaient à sa portée pour une fois. En effet, la jeune avait laissé ses cheveux détachés pour l'occasion alors qu'à l'accoutumée, elle les attachait de manière de manière à ce qu'ils ne soient pas dans la ligne de mire des mains de son petit garçon. Elle gronda gentiment l'enfant :
« Non, non Harry, on ne tire pas sur les cheveux à maman.
- veu ?
- Voyons ma chérie, lui dit son mari d'une voix amusée, tu ne vois pas que tes cheveux sont trop bien coiffée ? On ne vous prendrait jamais pour une Potter ma chère.
- Moi qui avait fait un effort pour toi. Et bien la prochaine fois je me coifferais en épouvantail, répliqua-t-elle d'une voix faussement contrariée.
- Pardon Lily, je retire ce que je viens de dire ! Tu es magnifique ce soir.
- Il n'empêche que ton fils me tire les cheveux, insista-t-elle en souriant devant son mari qui lui prit alors gentiment Harry des bras.
- Dis donc petit chenapan, ce n'est pas très gentil de tirer sur les cheveux de sa maman.
- man ? veu ?
- Bon je te l'accorde, c'est très drôle mais ce qui est moins drôle, c'est que c'est moi qui me fais gronder à ta place. Tu pourrais t'amuser à ça de nouveaux quand tu seras assez grand pour te faire gronder toi-même.
- Mr Potter, je vous prierais d'éviter de dire à votre fils de pareilles choses, fit la jeune femme faussement en colère.
- Oh par Merlin ! Harry protège moi ! Elle me fait peur la madame. »
Il avait mit le jeune Harry en lui et sa femme à la plus grande joie de l'enfant qui avait attrapé une mèche de cheveux de chacun de ses parents. Il y eut un ''Aïe'' simultané et l'heureux couple éclata de rire. Le reste de la soirée se passa sans incident.
Harry dormait depuis déjà quelques heures lorsque quelqu'un frappa à la porte. Étonné, le couple Potter ne réagit pas tout de suite. James dit alors :
« Reste là, ça doit être Sirius ou Peter. »
Un petit bisou et James se leva pour accueillir le visiteur. Lily en profita pour voir comment dormait Harry. Elle devait avouer qu'elle avait peur pour lui depuis que Dumbledore leur avait raconté la prophétie qui avait été faite quelques mois avant la naissance de son fils. Et Dumbledore leur en avait parlé le lendemain de l'accouchement. Sur le coup, elle avait cru mourir de panique pour son petit et tenait à l'avoir à ses côtés en permanence. Ses pensées furent interrompues quand elle entendit :
« Lily ! Prends Harry et va-t-en ! C'est lui ! Va-t-en ! Cours ! Je vais le retenir… »
Lily paniqua. Ainsi Peter était le traître. Par Merlin, quand elle pensait qu'ils avaient soupçonné Rémus. Elle prit Harry dans ses bras et commença à courir vers la porte de derrière afin de pouvoir transplaner une fois sortie de la maison. Mais la chance n'était pas de son côté et la porte du salon s'ouvrit à la volée laissant échapper le gloussement d'un rire suraigu. Sa panique fut telle qu'elle en oublia de courir. Lord Voldemort se tenait devant elle et elle pouvait voir, à travers la porte grande ouverte, le corps de James étendu sur le sol, immobile. Elle refoula ses larmes et sa fierté et commença à le supplier d'épargner, tout en le protégeant de son corps alors que le mage tendait résolument sa baguette sur Harry :
« Pas Harry, pas Harry, je vous en supplie, pas lui !
- Pousse, espèce d'idiote… Allez, pousse-toi…
- Non, pas Harry, je vous en supplie, tuez-moi si vous voulez, tuez-moi à sa place… »
Voldemort ne répondit pas trop occupé bloquer la sortie à la jeune femme. Il tendit alors sa baguette en direction de Harry mais Lily, avait précipitamment remit Harry dans son berceau, se plaça violemment entre son fils et leur agresseur.
« Non, pas Harry, je vous en supplie ! Ayez pitié… Ayez pitié…
- Avada Kedavra ! »
Voldemort se mit à rire d'une voix suraiguë. Lily hurla puis on entendit plus que les pleurs de l'enfant. Le mage ricana de plus belle et pointa sa baguette vers le petit et prononça une nouvelle fois la formule de la mort. Mais le sort ne fonctionna pas et Voldemort disparu.
Mais le sort provoqua également une brèche dans le vide. Quatre personnes, trois hommes et une femme, passèrent la brèche avec prudence. Dès qu'il les vit, Harry arrêta de pleurer et se fit silencieux en attendant de voir qui étaient ces gens.
Sur le coup, les quatre arrivants ne remarquèrent pas l'enfant dans son berceau. Ils étaient, aussi bien les hommes que la femme, sur le qui vive prêt à sortir les deux qu'ils portaient autour de la taille en cas de danger. Les deux hommes les plus âgés étaient des jumeaux. Ils avaient les cheveux bruns attachés en catogan qui leur tombaient juste en dessous des épaules, les yeux verts et une peau pâle, comme les deux autres. La femme avait de longs cheveux d'un blond foncé sous forme de tresses et des yeux bleu clair. Le dernier avait les cheveux blond foncé, court, les yeux de la même couleur que ceux de la femme. Il semblait être le plus jeune.
Quand ce dernier passa à côté du berceau, Harry, lassé d'attendre, lui attrapa un morceau de sa tunique de sa petite main. Le jeune homme sursauta à ce contact inattendu mais ce calma immédiatement quand il vit le petit garçon qui s'était accroché à lui et qui le regardait de son regard vert émeraude. Il fondit en voyant la petite frimousse lui sourire et qui babillait des paroles sans aucun sens. Il pensa aussitôt aux deux adultes qu'ils avaient retrouvé mort en arrivant. C'était sans aucun doutes ses parents, ce qui signifiait que le petit devait être orphelin. Il le prit dans ses bras doucement afin de ne pas effrayer l'enfant. Une fois le petit garçon en main, il rejoignit les trois autres et leur annonça :
« Ma sœur, Elear, Orcan, regardez moi ça. Je l'ai trouvé dans le berceau à coté duquel nous sommes arrivés. »
Les trois concernés se retournèrent et virent le jeune homme qui portait le bébé qui tentait de lui attraper les cheveux. La femme fondit en voyant le bambin aux yeux verts. Elle s'exclama :
« Il est adorable. Passe le moi Ilian. (Le jeune homme mit l'enfant dans les bras de sa sœur). Mais que faisait-il au milieu de cet endroit morbide ?
- Ma chérie, tenta l'un des jumeaux en lui prenant la taille, je suppose que les deux adultes que nous avons vu morts étaient sûrement ses parents.
- Oh mon Dieu. Le pauvre petit. On ne peut pas le laisser là tout seul.
- Quelqu'un viendra forcément le récupérer. Il ne faut s'inquiété pour lui.
- Qu'en savons-nous ? Peut-être que personne ne viendra d'ici quelques jours et le petit risquerait de mourir de faim.
- Effectivement, que proposes-tu Laëna ? Demanda l'autre jumeau.
- Elear, mon époux, et si nous l'adoption ? Malgré nos trente ans de mariage, nous n'avons eu point d'enfant. J'aimerais vraiment le garder.
- Mais c'est un humain. Il ne serait pas concevable en tant que duc et duchesse d'adopter un humain aussi adorable soit-il, répondit Elear en tentant de raisonner sa femme. Ne prend cet air mon amour, moi aussi j'aimerais beaucoup le garder mais jamais les gens de notre duché l'accepteraient.
- Mon frère, fit Orcan, je suis prêt à vous soutenir dans votre entreprise. Tu es le duc de nos terres et même si nos gens n'approuvent pas cette adoption, je l'approuverais. Et je peux toujours m'arranger pour que l'adoption soit reconnue par le roi lui-même. Qu'en dis-tu ?
- Elear, s'il te plait dis oui, le supplia sa femme.
- Ilian, je suppose que tu es du côté de ta sœur et de mon frère, soupira Elear.
- Tu supposes bien, lui sourit le jeune homme. Alors, nous sommes trois à attendre la décision de notre duc favori.
- Bien, tentons le coup, céda Elear. »
Et comme pour appuyer ses paroles, il prit l'enfant des bras de sa femme. Il annonça :
« En fouillant, nous pourrons peut-être emmener des jouets ou des peluches qui lui appartiennent. On pourra aussi trouver son prénom… et son nom de famille actuel pour le jour où nous lui révèlerons ses origines.
- Pour le prénom, il y a une petite gourmette sur son poignet. Il s'appelle Harry, lui dit Ilian. Quand au nom de famille, on devrait le trouver rapidement.
- Bien, Ilian et Orcan, je vous charge de trouver ses jouets et peluches tandis que moi et Laëna cherchont le nom de famille de Harry et une fois que nous l'aurons trouvé, nous viendrons vous aidez. Mais à l'aube au plus tard, nous repartons par la brèche. »
Tous approuvèrent la décision d'Elear et s'attelèrent rapidement à leurs taches. Le couple ne mit pas longtemps à trouver le nom de famille du petit : ''Potter''. Ils rejoignirent leurs frères. Les trois hommes rassemblèrent un maximum d'affaire, y comprit des vêtements. Laëna les regardait faire puisqu'elle tenait l'enfant des ses bras. D'ailleurs celui-ci s'était endormi dans les bras de sa future mère adoptive. Ils avaient trouvé deux valises dans un placard et y mirent le maximum de choses.
Mais quelques heures avant l'aube, ils entendirent un bruit de moto. Laëna se précipita à la fenêtre et vit un homme qui conduisait une moto volante et qui se dirigeait vers la maison. Elle prévint ses compagnons et ceux-ci fermèrent rapidement les valises et partirent en direction de la brèche. Elear fit passer les trois autres avant lui et juste avant de passer la brèche, il prit le berceau afin de pouvoir coucher l'enfant. Il passa la brèche au moment où la porte s'ouvrit en laissant échapper un cri de désespoir.
Parvenus de l'autre côté de la brèche, les quatre adultes mirent leur magie en commun afin de fermer la brèche avant qu'elle ne soit découverte. Cette opération ne leur prit que quelques secondes. En effet, dans leur monde, il était fréquent que les gens de leur race aillent visiter d'autres mondes. Mais pour en avoir la possibilité, il faut qu'une brèche s'ouvre d'elle-même pour qu'il puisse y aller à leur guise en l'ouvrant et la fermant à volonté. Il devait y avait une trentaine de monde qui s'était déjà ouvert à eux. C'est ainsi qu'il appelait le fait qu'un nouveau monde ouvre sa première brèche sur leur monde. C'est dans ce monde que fut emmené le jeune Harry Potter pour y grandir.
Voilà ! Premier chapitre de cette nouvelle histoire achevé ! Faite moi part de vos impressions en me reviewant, svp…
À la prochaine !
Harpiotte.
