Note de l'auteur: Bonjour tout le monde.
Bon après mûre réflexion, je me suis décidée à poster ici aussi mon histoire à chapitre sur l'univers d'amour sucré. Un jeu en ligne créé par ChinoMiko.
C'est la première fanfic où j'arrive à dépasser 2 chapitres… Donc lachez-vous et faites vos commentaires.
Ratting: T pour quelques injures et quelques sujets tel que l'alcool et le sexe seront présent dans cette fanfiction
. Bien évidement je préviendrais suffisamment à l'avance les chapitres concernés.
Ps : je beau me relire certaines fautes continue de m'échapper. N'hésitez pas à me le dire si vous en voyez…
Crédits: L'univers et les personnages appartiennent à ChinoMiko et son équipe de création. Seul le personnage d'Emilie m'appartient.
Prologue
C'est sous un ciel bleu azur que commence notre histoire, dans le parc municipal de sweet amoris. Deux enfants dont les destins sont liés s'y amusent insouciant. Ils n'imaginaient pas que cette journée marquerait le début d'une amitié complice qui allait changer à tout jamais leur existence. Il suffit parfois de petit détail, de petit incident pour changer une vie. Et c'est ce qui se passa ce matin. Mais ne précipitons pas les choses. Pour le moment observons ces enfants jouer paisiblement dans le sable sous le regard de leurs parents respectif. Une petite brune aux yeux verts semblait absorbée dans sa difficile entreprise de château de sable. Le garçon à côté d'elle était blond comme les blés et se chamaillait avec sa sœur aussi blonde que lui. Plus loin un garçon solitaire se balançait sur une balançoire.
- C'est pas vrai ! Castiel est gentil !
- Non c'est pas vrai c'est un abruti !
- C'est faux !
- C'est vrai !
Le frère et la sœur n'est finissait pas de se disputer depuis 10 minutes jusqu'à ce que la brunette à côté d'eux pousse une exclamation de joie.
- Maman ! Papa ! r'garde, r'garde ! j'ai réussis criait la fillette fière d'elle-même
Le père de cette dernière s'approcha en entendant les cris de sa fille.
- Tout ça pour ça ! dis son père avec un dégout… Il n'est même pas droit !
- Mais papa…
- Il n'y a pas de mais ! Recommence ! Et lorsque tu auras vraiment réussi à faire un château droit reviens me voir…
Le petite fille avait les larmes aux yeux et les retenait en se pinçant les lèvres le plus fort qu'elle pouvait. Son père parti en soupirant. Le garçon solitaire aux yeux charbon qui se balançait à coté sur la balançoire avait aperçu toute la scène et s'approcha d'elle doucement.
- Moi je le trouve z'oli ton château dit-il gentiment.
- Mer… Merci sanglota –t-elle, puis elle éclata en larme
- Hey qu'es qui t'arrive ? pleure pas comme ça ! paniqua-t-il. Il essaya de la consolé en lui caressant le dos.
- Ou… Oui dit-elle en séchant rapidement ses larmes mais continuant de sangloter. Je… J'aime pas pleurer
- Héhé ! rigola le garçon. Personne n'aime pleurer. Moi non plus ze n'aime pas pleurer… Et puis t'es une fille t'as le droit de pleurer… Comment tu t'appelles ?
- Emilie répondit la brunette séchant complétement ses larmes
- Et bien Emilie faut pas que tu te laisses faire, d'accord ? On va recommencer ensemble ok ?
- Oui
La petite blonde qui était à coté, avait aussi suivi toute la scène. Elle en avait même arrêté de se disputer avec son frère. Elle s'approcha des deux enfants furieuse et écrasa le pâté qu'avait fait Emilie.
- Et bah moi je le trouve moche ton truc ! dit-elle Et puis Castiel c'est mon copain d'abord !
La brunette la regarda avec de grands yeux, puis regarda son pâté sous son pied et serra les poings.
- Hey ! Pourquoi t'as fait ça ? s'exclama le brun
- Parsque t'es mon copain à moi ! s'écria la blonde Et je veux pas que…
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle se prit une poigné de sable en pleine figure. Emilie s'était levée en jetant du sable au visage de la blondinette et la poussa par terre.
- T'es pas gentille toi ! t'as pas le droit d'écraser mon château ! s'énerva Emilie
Sur ces faits le frère de la petite fille arriva.
- Ambre ça va ? Qu'es que t'as fait toi ! tu vas voir ! dit-il en s'élançant sur Emilie.
Mais il fut à son tour poussé à terre par l'autre garçon.
- Tu la touche pas Nathanel c'est ma copine !
Les deux garçons se fusillèrent du regard puis se jetèrent finalement l'un sur l'autre se mettant des coups à tour de rôle jusqu'à ce que la mère des deux blondinets arrive.
- Nathaniel, arrête voyons ! Je peux savoir ce qu'il se passe ici ? demanda-t-elle en séparant les deux duellistes.
Les deux garçons se foudroyèrent du regard mais ne dirent rien.
- Je vois soupira leur mère. Nathaniel excuse-toi !
- Mais maman, c'est pas moi qui ai commencé
- Je ne veux pas le savoir tu t'excuses ! allé !
- …. Pardon. cracha l'enfant à contre cœur.
- Bien, on y va maintenant ! Ambre aussi !
La famille s'éloigna, Nathaniel et Castiel se lançant toujours des regards menaçant.
- Ils sont pas gentil ces deux-là. Jles aime pas !s'exclama Emilie d'un ton furieux
Le garçon se tourna vers elle en souriant
- Ouais ils sont chiants.
- Maintenant qu'on est amis, ils nous embêteront plus. On est les plus forts dit-elle en prenant une pose de combat.
Le garçon se mit à rire de la petite fille.
- Ok j'veux bien être ton copain ! de toute façon tu ressembles pas à une fille.
- Hey ! Si je suis une fille ! Je m'appelle Emilie c'est un prénom de fille ça !
- Mouais…
- Et toi c'est quoi ton nom ?
- Castiel
- … C'est pas un prénom d'ange ça ? rigola la petite brune. Tu ressembles pas à un ange. Ria-t-elle de plus en plus
- Te moque pas ! Bon on le fait ce château ?
- Oui monsieur l'ange !
- M'appelle pas comme ça !
Et c'est ainsi que naquit une amitié entre une petite fille et un petit garçon qui avait plus de point en communs qu'ils en l'avaient imaginé au premier abord. A force de temps leur amitié était devenue indestructible au grand désespoir de leur parent. Ils étaient tous les deux aussi casse-cou et s'amusait à faire les 400 coups dès qu'ils étaient ensemble. Lorsqu'ils étaient punis ils l'étaient souvent à deux car ni l'un ni l'autre ne se dénonçait, ils se protégeaient l'un l'autre. Il était donc impossible de savoir qui avait vraiment fait la bêtise puisque les deux devenaient soudainement muets comme des carpes. A l'école on ne les voyait que rarement l'un sans l'autre à tel point qu'une de leur maitresse les avait pris pour des frères et sœur de famille recomposé. Ils s'étaient d'ailleurs bien amusé à ses dépens en mélangeant leur parent respectif et les appelants toutes les deux mamans ou papa. (rigolez pas j'vous jure c'est possible -_-). Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et leur fin arriva plus tôt qu'ils ne le voulaient. A l'aube des 8 ans d'Emilie ses parents décidèrent de déménager, leurs entreprises respectives prenant de l'ampleur ils devaient voyager internationalement et leur vie à Sweet amoris ne leur convenait plus. Emilie était complétement désespéré à l'entente de cette nouvelle. Et lorsqu'elle l'apprit son ami, il n'en mena pas large non plus. Il reprochait à emilie de l'abandonner et la brune lui reprochait de ne pas l'empêcher de partir. Ils se disputèrent et restèrent en froid de longues semaines avant que le jour du départ d'Emilie arrive.
La petite fille avait pris son doudou et s'installait dans le siège arrière de la voiture de ses parents, le cœur lourd, lorsqu'elle entendit une voix familière l'appeler.
- Emi ! Emi attend !
Elle descendit en trombe de la voiture et se jeta dans les bras de Castiel qui venait d'arriver tout essoufflé.
- Pardon ! je voulais pas dire toute ça ! je veux rester ton amie même si je suis loin alors s'il te plait ne me fait plus la tête castiel. S'il te plait… sanglotait Emilie dans ses bras.
- Emilie qu'es ce que tu fais ? remontes dans la voiture !
- Oui attendez ! s'écria-t-elle se mettant à pleurer de plus belle
Le garçon la serra fort dans ses bras, profitant de la dernière fois où il pouvait voir son amie.
- Hey pleure pas Emi jolie ! tu vas voyager et tu vas voir de jolies choses. Et puis on peut s'appeler ou s'envoyer des cartes postales hein. J'en veux une dans chaque ville que tu visiteras c'est compris ?
La petite fille hocha fortement la tête, essayant de calmer ses sanglots.
- Et arrête de pleurer ! on dirait une fille !
- Mais je suis une fille, sombre crétin ! s'exclama t-elle lui mettant un coup dans l'épaule
- Non les filles ne frappent pas !
- Oui mais elles sont chiantes ! et je suis chiante
- Ah bah ça pour être chiante tu l'es !
- Abruti !
- Pleurnicharde !
- Je ne pleure pas
- Ah bon ? un seau d'eau t'est tombé sur la tête ?
Emilie lui laça un regard noir.
- Fait attention à toi la teigne sinon tu risques de le regretté quand je reviendrais te botter les fesses.
- Et bah je t'attendrais d'ici la
- C'est une promesse ? lui demanda-t-elle pleine d'espoir.
Un petit silence s'abattit entre eux deux. Ils étaient jeunes et en avaient parfaitement conscience. Ça allait être dure de tenir une amitié longue distance… Mais lorsque Castiel croisa les yeux d'emilie d'un vert rempli d'espoir et de supplication il céda.
- Ouais ! Mais t'as intérêt à donner des nouvelles sinon je viendrais te chercher moi-même c'est compris ?
Emilie sourie à son ami
- Très bien alors c'est une promesse ! je resterais ton amie jusqu'à ce que tu ne veuille plus de moi où que je sois et toi tu ne m'oublieras pas et tu m'attendras. Promis ?
- Promis
Emilie lui claqua un bisou sur la joue et s'enfuit dans la voiture de ses parents, avant que son meilleur ami n'est eu le temps de répliqué. La voiture démarra laissant un Castiel aussi rouge qu'une tomate derrière elle. Il l'aperçu se retourner sur la banquette arrière pour lui faire des signes d'au revoir puis la voiture tourna à l'angle de la rue et il ne put plus la voir. Castiel serra les dents, retenant les larmes qui menaçaient de déborder à tout instant. Il s'essuya rapidement les yeux de son bras et retourna chez lui, espérant profondément revoir très bientôt son Emi. Il ne se doutait pas qu'il ne la reverrait que 10 ans plus tard.
