onjour bonjour. J'ai écris ceci. J'ignore pourquoi. Surement une overdose de petit chaperon rouge et de grand méchant loup.
Je vous laisse juger par vous même. Ca peut être pas mal comme ça peut être médiocre.
Il était une fois, un petit garçon. Le vert de ses yeux égalait la teinte profonde de l'océan. Ses cheveux étaient bruns comme le chocolat pur.
Ce petit garçon vivait dans la forêt, avec sa sœur. Elle était plus vieille que lui et s'en occupait comme une mère.
Un jour, cependant, sa sœur tomba gravement malade. Elle avait un besoin urgent de médicaments.
"Va, dans la forêt. Si tu suis la route, tu arrivera chez ton oncle. Il aura de quoi me soigner.
"N'oublie pas ton chaperon rouge. Mets le toujours, et si tu te perds, agite le. Les oiseaux comprennent souvent plus qu'on ne le pense."
Le petit garçon n'était jamais allé plus loin que son jardin. II avait peur de s'enfoncer plus loin à travers les arbres, mais sa sœur avait l'air si mal en point qu'il s'arma de tout son courage et se mit en route.
Il avait amené avec lui, un panier. Dans ce panier se trouvait son déjeuner, du pain avec une tranche de jambon et de fromage. Il y avait aussi une pomme d'un rouge parfait et une flûte qu'il avait lui même sculpté.
Après un bon moment de marche, les jambes frêles du petit garçon ne le soutenait plus. Il s'assit donc a l'ombre d'un arbre et mangea son pain.
Il mangea joyeusement, ne se doutant pas un instant du danger qui rodait.
Ensuite, il prit sa flûte et souffla une douce mélodie. Une mélodie si belle et si attendrissante que toute la population de la forêt s'arrêta pour l'écouter jouer.
Une ombre s'approchait du petit garçon. Une ombre silencieuse comme la nuit. Quatres longues pattes effilées. Un adorable petit museau. Et deux yeux bleu acier.
Cette ombre arrivait près du joueur de flûte. Celui ci, ne connaissant pas l'animal, lui caressa gentiment le museau.
Le loup fut surpris de ce geste. Personne ne serait jamais montré affectueux envers lui. Tout le monde le considérait comme une menace.
"Dis, monsieur le chien géant, tu voudrais m'accompagner? Je vais chez mon oncle, mais c'est encore loin. J'aimerais bien marcher avec toi. "
Un sourire éclaira le visage du petit garçon. Un sourire joyeux et innocent.
Sans un bruit, l'animal renifla le chaperon rouge. Puis, il s'assit docilement près du petit garçon.
Celui ci se dépêcha de ramasser sa flûte et son panier, et il se remit en marche, talonné par le loup.
Ils marchèrent longtemps, accompagné parfois d'une douce mélodie de flûte, parfois de joyeux aboiements.
Évidemment, toute bonne chose a une fin.
Le petit garçon était peu habitué à marcher autant, alors ils s'arrêtèrent quelques heures plus tard. Ils s'etendirent au pied d'un grand arbre.
Le loup avait la tête sur les jambes du petit garçon. Celui ci mangeait sa pomme.
Lorsque soudain, tout bascula.
Aucun d'eux n'aurait pu prévoir que l'instinct animal d'un des deux allait s'éveiller.
Personne n'aurait pu se douter que ces nouveaux amis se trahiraient.
Et surtout, rien n'indiquait que le loup se laisserait manger par le petit chaperon rouge
