Titre Anglais: Go with the tide II

Titre Français : Suivre le courant

Auteur : Tantz

Bêta Traductrice : Remus Lupin James

Bêta correctrice : Dame Eloin

Genre : Neutre

Chapitre traduit par : Kyu

Rating : k+

État de la fic en anglais : 2 Tome : 1er tome (22) 2ème tome (21)

État de la fic en français : 1; Traduit : Manque que le 14

Disclamé : Aucun des personnages ne nous appartienne (ils sont à JK Rowling), ni même l'histoire que nous ne faisons que traduire.

&

Nous avons l'autorisation de traduire cette histoire

&&

Nous recherchons des Traductrices sérieuses,

Attention !!!!!

soyez sûre avant de vous proposer !!!!

Car beaucoup le font et s'en vont s'en rien dire,

Nous laissant en plan avec des chap non traduit !!!!

Je précise que c'est pour la saga saving,

Chaola, Barbotine, Shiko no Stuki, Nomade ont disparu sans rien dire!!!

Nous avons besoin de traductrice pour les remplacer

et traduire les chap qui leurs avaient été donné !!!

Si vous vous sentez prête à rejoindre notre groupe,

contacter moi : onarluca ( serveur orange) . fr

&

Nous espérons que vous aimerez ce deuxième tome !

Bonne lecture!

Eni et Onarluca

&

Chapitre 1

Les vacances de Noël s'étaient passées en paix, et après l'attaque maintenant célèbre du château de Poudlard, Voldemort s'était retiré autant que possible de la scène. Tout compte fait, il pourrait même être mort. Il y avait une rumeur qui disait qu'il avait été défait lors de cette bataille, mais qu'il était allé mourir ailleurs

Fudge ne pouvait pas être plus heureux. Il était heureux que ceci se soit produit pendant sa période d'activité. Il était heureux, il pourrait ajouter dans son discours comment il avait toujours sanctionné les mangemorts et avait toujours gardé ses aurors prêt à tout, de ce fait donnant à Dumbledore et l'Ordre le luxe de les appeler pour une courte période.

Un politicien ne pouvait faire mieux. Installé derrière son bureau, il s'occupait de ses ongles et de lire les divers documents à signer habituellement.

Finalement Sirius Black reçut des excuses et l'ordre de Merlin 2ème classe. Il n'était pas particulièrement intéressé par cet homme… mais l'évasion miraculeuse d'Azkaban l'avait ridiculisé. Fudge n'avait pas oublié, ni pardonné de l'avoir ridiculisé de la sorte. Personne ne se souvenait de cette incartade puisque Black était un héro. Ils se souvenaient par contre du statut de membre de l'ordre de Black.

Il signa avec joie deux documents avant de les charmer d'un coup de baguette. Ils brillèrent un moment avant de rejoindre la pile des documents déjà signés dans un scintillement. Sur l'autre pile se trouvait les documents les moins intéressants.

Severus Snape ordre de Merlin 2ème classe. Dumbledore avait insisté pour que l'homme sombre reçoive la 1ère classe et non la seconde, mais cela était inadmissible. Si Fudge ne s'inquiétait pas autant du soutien financier et amical que lui apportait Dumbledore, il n'aurait rien donné à Snape. Cela lui retournait l'estomac rien que de penser qu'il devait donner quelque chose à un homme marqué par le symbole du mal.

Pire que la marque, Fudge fronça son nez pendant que sa plume volait au-dessus du document, Snape n'avait pas eu le moindre respect pour le ministre de la magie, et il avait mis toute son énergie pour lui faire savoir à chaque rencontre. Si ce n'était pas pour Dumbledore, il lui aurait administré le baiser du détraqueur depuis longtemps déjà.

Ses lèvres plissées dans une moue de dégoût, Fudge signa le document et l'authentifia comme les précédents d'un coup de baguette. Il y aura un moment où Dumbledore ne pourra plus vous couvrir, serpents. J'attendrai.

Le dernier objet dans la boite était une lettre à l'aspect étrange. C'était une enveloppe somptueuse, de couleur argent iridescente. Il sentit, lorsqu'il la prit, sa douceur. Il sourit. Il avait toujours aimé lorsque les gens faisaient des frais supplémentaires quand ils faisaient affaires avec lui. Il se complaisait dans la nature de sa position. En fait, Fudge avait aimé Lucius Malfoy avant qu'il ne soit désigné mangemort parce que l'homme avait une telle classe quand il travaillait avec lui. Fudge avait fermé les yeux sur certaines de ses erreurs... s'était la moindre des compensations. C'était dommage qu'il soit maintenant condamné.

Naturellement, Fudge n'attendit pas un instant de plus. Il fit tourner l'enveloppe, pour voir si le nom de l'expéditeur était dessus. Il ne vit rien, sauf le symbole celtique d'un serpent stylisé se déplaçant et sifflant autour et dans le noeud. Celui, qui lui avait envoyé ceci, avait payé très cher. Fudge sourit, un soupir de fierté lui échappa pendant qu'il commençait à soigneusement à ouvrir l'enveloppe. Il pouvait imaginer la mine de ses assistants vis-à-vis de cette missive, il était heureux d'en être le destinataire.

Avec la plus légère traction, l'enveloppe s'ouvrit dans un froissement de papier plaisant. Fudge regarda à l'intérieur pour le parchemin. Il n'y en avait aucun.

Fudge se mit à hurler. Sa main commençait à le brûler. La lettre argentée se colla sur celle ci ensuite, s'adaptant autour d'elle comme un gant.

Fudge tomba de sa chaise, et commença à se convulser.

Percy courut à l'intérieur, baguette magique à disposition, mais avant qu'il ait atteint le bureau du Ministre de la Magie, l'homme était mort. Une fumée verte semblait envelopper le corps, s'élevant bien au dessus du ministère.

Un crâne avec un serpent sortant de la bouche flottait au-dessus du bâtiment.

*§§§§§§*

Le premier jour de cours après les vacances de Noël était un vendredi. Les vendredis matins étaient réservés pour le doubles cours de potions, 5ème année Gryffondors et Serpentards. Snape arpentait dans la salle de classe de potions magiques, cherchant quel sort il pourrait envoyer à tout étudiant qui éternuerait. L'atmosphère était lourde et étrange. Tous pouvaient sentir que l'équilibre avait été brisé. Snape pouvait le sentir, les Gryffondors pouvaient le sentir, les Serpentard pouvaient le sentir. Personne n'était vraiment à l'aise avec lui.

Snape n'appréciait pas ce sentiment.

Les Gryffondors ne savaient que penser de leur professeur dominateur et asocial, et le regardaient plus ou moins comme s'il était une bombe à retardement.

Les Serpentards craignaient maintenant de perdre leurs privilèges, leurs positions dans la classe, et ceux appartenant aux familles mangemort étaient encore plus détestés puisqu'ils avaient eux même détesté les moldus.

Draco Malfoy sentit la proximité froide de l'homme. Il sentit qu'ils étaient dans même position : Ils étaient tous les deux Serpentards, ils avaient tous deux négocié avec le côté le moins évident, toutes les deux avaient dupé leurs pairs concernant leurs choix. Draco avait gardé secret qu'il était du côté de Dumbledore jusqu'à quelques heures avant que l'attaque de Poudlard, et le directeur n'avaient pas dit ceci à n'importe qui. De toute façon, Draco avait eu une impression étrange et menaçante, comme si ses amis avaient appris qu'il voulait faire arrêter, emprisonner et condamner leurs pères.

Il sentit de la sympathie pour l'homme sombre qui n'avait plus la protection de la clandestinité.

Sans un mot, Snape commença à écrire la recette de la potion. Ses mouvements étaient si rapides et précipités que le bruit de la craie frappant contre le tableau ressemblait à des pétards. Draco se demanda si le maître de potions magiques était pressé de finir pour que son dos ne soit pas exposé à la classe plus longtemps que nécessaire.

Au contraire, Ron Weasley se sentait grand. Le professeur Snape avait longtemps représenté ses peurs d'enfant. Il était officiellement du côté lumineux, et pour Ron c'était tout ce qui importait. Lui et Hermione s'étaient également rapprochés. Il avait même commencé à étudier avec elle sans l'interrompre. Elle lui souriait plus qu'elle ne fronçait les sourcils, et Ron ne pouvait trouver aucune raison de ne pas être sur un nuage.

Harry avait soigneusement préparé sa racine et commença à la découper en tranches, ses doigts guidant la lame de son couteau, Sasha lové autour de son poignet. Elle était maintenant entièrement visible, il la préférait à Hedwige et il n'avait plus besoin de jouer aux devinettes. Il avait apprécié ses vacances, ses premières loin de Poudlard qu'il avait réellement aimé, parce que il avait été avec son parrain. Il avait adoré car son parrain le traitait comme Harry, le fils de James et Lily, et rien n'importait d'autre : Sirius ne s'intéressait pas au fait qu'il était sensé être le sauveur du monde sorcier. Il ne s'intéressait pas au fait qu'il était aveugle ou que son bras avait été marqué ou qu'il dormait avec un serpent de corail fortement toxique, enfin il était peut-être un peu nerveux face au serpent. Les choses finissaient pas s'arranger, enfin.

Harry se mordit la lèvre pendant qu'il ajoutait les tranches de racine, et mesurait l'huile de salamandre à l'aide de son doigt. Il la versa dans la potion et remua. Si les choses s'arrangeaient, alors pourquoi avait-il continuellement ce sentiment d'inquiétude ?

*§§§§§§*

Snape dirigeait sa classe pendant qu'ils brassaient leurs potions. Il serra les dents. Quelque soit la façon dont il avait imaginé sa vie une fois que sa loyauté serait révélée, rien ne correspondait à la situation actuelle. Tout d'abord, Voldemort était encore vivant. En second lieu, il était vivant, aussi. En réalité, Snape n'avait pas compté survivre une fois que sa loyauté serait mise à jour. Troisièmement, maintenant il devait être deux fois plus vigilant qu'il ne l'était avant, parce qu'il était maintenant un mangemort traître, à la tête dans la maison où les enfants de ses ex-collègues mangemorts étaient. Il lançait des regards à certains des élèves de Serpentard, leur renvoyant leurs regards meurtriers. Il ne pouvait même pas dormir sans protéger ses quartiers rivalisant avec les sorts placés chez les Dursley pour garder Voldemort au loin.

Les pensées de Snape se portèrent aux évènements de septembre dernier, comment ces moldus avaient-ils pu faire du mal au jeune Gryffondor. Il observa Harry remuer sa potion, étant précis de ses mains et faisant tout en regardant fixement devant lui avec ses yeux verts sans lumière. Il ne pourrait pas plaindre Potter cependant, non il ne pouvait pas après tout les efforts que le jeune adolescent avait faits.

Ses pensées commençaient à prendre une tonalité moins morbide quand il repensa à la petite conversation qu'il avait eue avec le Gryffondor ce jour là à Ste Mangouste. Il se serait presque permis un petit sourire à se souvenir, il avait pensé à tout ce que la peine avait ou permettait, quand des cris aigus brisèrent ses réflexions et il dû se concentrer sur le lieu et le temps présent.

C'était Granger qui criait, réclamant son aide, alors que Weasley essayait de la tirer loin d'où Harry était tombé. Le garçon aveugle était tombé de son tabouret, et tremblait de douleur, poussant des cris terriblement perçants. Les bras et les jambes fouettaient l'air, menaçant de renverser les potions magiques en ébullition sur les bureaux voisins.

« RESTEZ LOIN DE POTTER ! » Snape grogna puis il tira sa baguette et ensorcela chaque chaudron autour de la forme tremblante au fond de la salle. Il se précipita dessus, poussant le bureau donnant à Harry plus d'espace. Tous les étudiants avaient formé un large cercle autour d'eux.

« Weasley, appelez le directeur. » Commanda Snape, et Ron sortit à contre-coeur. Les yeux d'Hermione étaient pleins de crainte.

« Il est tombé soudainement, professeur ! Pouvez-vous l'aider ? »

« Qu'est-ce que j'essaye de faire ici, Granger, Restez juste tranquille ! » Indiqua Snape et il parvint mettre sa main sur le front d'Harry. La cicatrice en forme d'éclair était chaude contre la paume de Snape. Il regarda Hermione.

« Tiroir supérieure de droite de mon bureau, Granger. Apportez-moi la fiole bleu-clair que vous trouverez là. Maintenant ! » Grogna-t-il. Hermione s'y précipita pour la chercher, et Snape la saisit dans ses mains et la versa dans la gorge d'Harry, alors que le garçon luttait et criait toujours. Harry toussa.

Les cris perçants s'arrêtèrent. Les compagnons de maison d'Harry poussèrent un soupir, mais la majeure partie des Serpentards avait regardé ça froidement. Pour la première fois, Draco n'était pas l'un d'entre eux. Harry se détendit, tremblant légèrement.

« Potter, pouvez vous m'entendre ? » Snape secoua le garçon doucement.

« Severus, je pense que les étudiants en ont vu assez. » La voix de Dumbledore de la porte rendit à chacun un peu plus d'assurance. Snape inclina la tête et écarta la classe, et chacun rentra dans son dortoir sauf Ron et Hermione.

« Potter, parlez ! » Commanda Snape encore dans la salle de classe maintenant vide.

Harry gémit et respira. Ses yeux se sont ouverts dans le vide, sa bouche contractée.

« Le min…ministre est mort... » Chuchota Harry, mais les deux professeurs l'avaient entendu d'une façon ou d'une autre. Hermione leva sa main devant sa bouche d'horreur, Ron pensa immédiatement à Percy.

« Qu'avez-vous vu ? Parlez, allons ! » Snape secoua Harry davantage, mais Dumbledore le retint, mettant sa main sur l'épaule du maître de potion.

« Peut-être nous devrions attendre jusqu'à ce que Poppy ait …» Commença Dumbledore, quand Harry parla plus fort, d'une voix faible mais profonde.

« Voldemort a seulement commencé... »

Le fléchissement de la tête et de l'immobilité soudaine de son corps d'Harry impliquait sa perte de conscience. Snape le transporta jusqu'à Poppy en grinçant des dents.

Rien n'était plus dangereux qu'un serpent blessé et menacé. Particulièrement quand le serpent en question était le seigneur noir. Le désarroi de Snape était incomparable.

Après que tous ce qui avaient supporté, les ennuis venaient juste de commencer.

Par la barbe de merlin.

À suivre