Disclaimer : Même plan que pour Masashi Kishimoto, sauf que là, c'est pour Tite Kubo. Mais ça va être long. Peut-être que, si j'apprends l'hypnose...

Spoilers : Il me semble que non. Nan, pas fait de révélations sur les tomes pas encore sortis.

Note : C'est une série de drabbles. Là, c'est sur une hypothétique après-guerre, mais ce n'est pas forcément toujours ça. Bonne lecture !
MISE À JOUR : J'ai essayé d'améliorer pour que ce soit plus compréhensible, mais je sais pas si c'est vraiment mieux... Et, totalement HS, vous avez remarqué que, quand on met en italique, ça nous double les mots ? À ma correction, j'arrêtais pas d'effacer, et soudain, j'enlève l'italique, et ça me fait gagner 28 mots !


La Nulle.

Depuis la réorganisation de la division zéro, les êtres spéciaux y sont à l'honneur.
Les seuls Shinigamis à s'inviter là-bas – c'est censé être interdit, mais qui s'en soucie ? – sont de la 11e. On les entend arriver de très loin, avec tous ces cris, et on les « perçoit » pendant tout leur « séjour ». Quand ils ressortent, sur un brancard, même Kenpachi-taichô, Arisawa-san se dit que, s'ils sourient d'un tel air béat, c'est certainement plus dû à la raclée qu'ils se sont pris qu'à la présence du 5e siège Inoue-san. Certainement.

Beaucoup se demandent comment la seule personne qui parvient les calmer peut être ainsi. Non pas que Kuchiki… pardon, Kurosaki-san ne soit pas une Shinigami douée, mais… Disons les choses comme elles sont : comment une personne peut se faire obéir de la Nulle – comme l'appellent les seuls de la 11e capables de faire de l'esprit – alors qu'elle est aussi minuscule (Hitsugaya-taichô ne se sent plus quand elle est dans les parages), qu'elle... dessine autant de lapins, et de cette manière, et qu'elle parle d'une voix sadique de l'extermination des anti-Chappynistes ? (Oui, oui, ça existe, Ichimaru-taichô !)

Comment la douce Kurosaki Karin-san, puisqu'il faut préciser, peut supporter d'être en permanence dans cette division de – disons-le – cinglés. Parce que s'ils sont tous à l'image de leur capitaine, ou même de leur vice-capitaine, ou encore pire de leur 3e siège (et on peut continuer comme ça pendant assez longtemps), il y a vraiment du souci à se faire.
Mais, surtout, pourquoi est-elle là ? Et pourquoi, quand on lui demande, Kurosaki-taichô – le fils – dit que c'est à cause d'Hinamori-fukutaichô, de leur dernier combat au Kidô, et d'une partie assez respectable du Rukongai qui aurait disparu ?

Parfois, la Nulle fait peur. Enfin, plus particulièrement dans le cas du « regard-de-la-mort-qui-tue » (Maki-Maki est encore à l'hôpital, mais Unohana-taichô espère que c'est Ulquiorra-san qui a jugé qu'il collait un peu trop Inoue-san).
D'ailleurs, comment une si douce jeune fille peut-elle avoir l'air aussi menaçant, quand on demande pourquoi Nell-san, mais surtout Ulquiorra-san – il a toujours le chiffre des Espadas, quand même ! – sont en liberté ?
Même chose pour Kurosaki-taichô. Mais c'est avec Nell-san à son cou, qu'il a l'air menaçant. Et comment arrive-t'il à respirer ? (Il est increvable ou quoi ? dirait Madarame-san.)

Pourquoi Kurosaki-taichô, Kusajishi-fukutaichô, Abarai-fukutaichô et Kuchi… Kurosaki-san étaient les seuls à se moquer de cette danse, et comment en est-on arrivé à ça ?
On sait que c'est Kenpachi-taichô, Ishida-fukutaichô et Kurosaki Isshin-taichô qui ont rappliqué dés les premières baffes, que Kurotsuchi-taichô et Kuchiki-taichô se sont faufilés en douce, l'un parce que plusieurs bons sujets d'études étaient réunis, l'autre pour se débarrasser incognito de son beau-frère ; mais, c'est pas normal, de fracasser autant de bâtiments, juste parce que Kurosaki-taichô – toujours lui ! – a dit à son épouse que, vu ses dessins, elle pouvait rire !