Bonjours tout le monde !
Ceci est une sorte de version Holmesest et PWP de jeu de rôle, une sorte de p*rno alternatif, vous voyez ce que je veux dire ? Il fallait bien que quelqu'un le fasse un jour...Et puis c'est un bon exercice pour me perfectionner dans l'art du lemon.
Ceci est ce qu'il y a actuellement de plus immorale sur le fandom français de Sherlock. Vous êtes prévenu.
Soyons franc, ceux ou celle qui ne passent ici que pour dire que je -nous sommes des perverses, que l'inceste c'est mal,interdit et tout se taisent et aillent voir sur le fandom de supernatural, on en reparlera ensuite. J'assume le fait d'être perverse et signale qu'étant classée M, cette histoire n'apparait pas dans la liste normale, vous êtes donc venu exprès pour trouvé ce que nous proposons, du moins une partie, donc, hein...
Ou alors vous êtes passé sur mon profil est malgré le résumé peu engageant, vous avez décidé de me faire confiance et d'essayer de lire ce truc. BON COURAGE ! :)
Je suis navrée pour les personnes qui m'ont mise en alerte et qui vont se prendre une dizaine de chapitre dans la face...
J'écris donc un chapitre sur deux de cette histoire et LucyFarmer écrit l'autre moitié. Je fais Mycroft, elle fait Sherlock...
Elle a actuellement peur des review assassines, étant une des première à parler de Holmesest ici...
Enfin bon, bonne lecture, si vous vous joigniez à l'aventure !
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1/ Mycroft Holmes
J'ai toujours été là pour Sherlock, comme il a toujours été là pour moi. J'étais tellement pressé qu'il naisse que je n'ai pas décollé du ventre de maman pendant six mois, si ce n'est pour aller chercher dans des livres à quoi il pouvait ressembler à cette période là de la grossesse.
On peut même dire qu'il me doit sa présence sur cette terre. J'ai moi-même organisé sa conception, après tout, sans que personne n'en sache rien, bien entendu. J'avais six ans, j'étais le parfait petit garçon, le meilleur élève, celui que n'importe qui rêverait d'avoir. Mais j'étais seul. Toujours seul. « Grassouillet », comme disait maman, ce qui n'arrangeait rien. Oh, je n'étais pas maltraité à l'école, loin de là… On me craignait, on me respectait… Quand Sherlock est né, j'ai cessé d'aller à l'école, je n'en avais pas besoins, de toute manière, et j'ai cessé d'être seul. Il est né pour moi. Dans tous les sens du terme. Sept ans d'écart, c'est un peu long pour se remettre à procréer, non ? J'ai étudié les cycles de ma mère, choisit la date de naissance de Sherlock, tout. A six ans, j'en savais déjà beaucoup sur la reproduction humaine.
Mais personne ne s'est jamais douté de rien. Heureusement. S'ils savaient, c'est bien moi le plus monstrueux de tous.
Je n'ai pas pu assister à l'accouchement… A six ans, on ne laisse pas les enfants voir ce genre de chose, et leur dire que j'avais un enfant par procuration à mon age n'aurait pas arrangé moi cas… J'ai quand même pu être le premier à la prendre dans mes bras. Il était si adorable, si fragile… Mon petit frère… Je me suis juré que je le protégerais envers et contre tout, toute ma vie, ce jour là, quand il a posé ses grands yeux gris sur moi.
J'ai élevé Sherlock, c'est moi qui lui ait fait ses biberons, qui l'ai bercé, qui lui ai raconté des histoires, qui suis resté avec lui quand il avait peur du noir, qui lui ait expliqué comment on faisait les bébés, qui lui ait tout enseigné, tout ce qu'il avait besoins de savoir. Je l'ai peut-être même trop accaparé… Nos parents travaillaient beaucoup, ils n'avaient pas le temps de s'occuper de lui. Il dormait avec moi, dans ma chambre, d'abord dans un berceau, puis dans un petit lit, puis dans un plus grand… Mais le plus souvent, il s'endormait dans mes bras, contre moi. Ça c'est un peu compliqué à son adolescence. Il avait quatorze ans et moi vingt et un, et on faisait « chambre à part » depuis un ou deux ans la nuit où il est venu me trouver, presque angoissé, juste vêtu d'un T-shirt. Après avoir fermé silencieusement là porte, il m'avait secoué un peu pour me réveiller. Il avait mal, il perdait le contrôle de ses pensées, mais il ne savait pas quoi faire… Quatorze ans, l'époque des premières érections…
D'une voix ensommeillée, je lui avais dit que c'était normal, que ça allait passer, que s'il voulait que ça s'arrête plus vite, il fallait qu'il se prenne en main, littéralement.
-Je… Je peux rester ici pour ça ?
-Bien sur… Je lui avais fait un peu de place, il s'était allongé près de moi, sur le dos, tendu. Ça va ?
-C'est… De plus en plus… Hn !
-Entoure le de ta main directrice, dictais-je, encore un peu dans le flou du sommeil. Un gémissement me parvint et me réveilla totalement.
Bouge, maintenant.
-Co… Comment ?
-Tu vois plusieurs manières de bouger, là ?
Il secoua ses bouclettes brunes…
-N… Non… My, fais le, s'il te plait… Juste cette fois…
-Allons, Sherlock tu peux y arriver tout seul. Vas-y, je te regarde.
Je me redressais sur un coude m'adossais au mur… Il était beau, illuminé par la lumière de la pleine lune, dur, dressé vers le ciel, perdu dans les sensations qu'il éprouvait pour la première fois, par un simple va et vient de sa main… Il essayait de retenir ses murmures de plaisir… Une chose me vint soudain à l'esprit : s'il continuait, il allait se répandre sur mes draps… Moriarty n'a pas tord quand il dit que je suis insensible. Mon frère beau comme un mannequin junior était en train de se masturber devant moi et je ne pensais qu'à mes draps. J'ordonnais à Sherlock de s'arrêter quand il se sentirait sur le point de lâcher. Il croassa un « quoi ? ! » remplit d'incompréhension.
-Je ne veux pas que tu mouilles les draps, ne t'inquiète pas, je vais finir.
Une minute plus tard, Sherlock me signifiait que c'était temps et je changeais de place, me positionnant sur ses longues jambes. Je me penchais sur lui en entourais son membre tendu de ma bouche, il se répandit en moi à peine quelques seconde après, avec un cri de jouissance pure. Joli cri, d'ailleurs. J'avalais et me léchais les lèvres.
-Sherlock, ça va ?
Il reprenait son souffle, il chuchota un oui ou je distinguais une myriade d'émotions… Sherlock ?
-My, fit-il, après quelques instants, hésitant, ce que tu viens de faire…
-Précise, Sherlock.
-Le fait que tu me regardes, que tu mette ta bouche sur… C'est normal ?
-Qu'entends tu exactement par normal, Sherlock ?
-Est-ce que les autres grands frères font ça pour leurs petits frères ?
-Je n'en sais rien. Tu n'as pas aimé ?
-Si… Mais…
-C'est bon, Sherlock, c'était juste pour que tu ne laisse pas de trace, ça n'ira pas plus loin. Et je suis au courant que l'inceste est interdit par la loi, même si entre frères, je trouve ça inutile. En biologie du moins, techniquement.
-Oh. Je… Peux dormir ici cette nuit ?
Ici… Sherlock ne disait jamais que c'était avec moi qu'il voulait dormir.
-Oui.
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Je n'ai jamais su la vraie raison qui fait que Sherlock ne m'aime plus, alors que j'ai tout fait pour lui… Peut-être que mon omniprésence ne lui plaisait pas. Ce n'est pas grave, il me doit la vie et j'ai pu profiter de ses quinze premières années, pour moi tout seul. C'est mon petit frère, mon adorable petit frère…
Je le regarde sur l'écran, allongé sur le divan, attendant le retour du docteur Watson, mains jointes pour réfléchir, une manie qu'il m'a volé sans même s'en rendre compte. Je souris. Il m'appartiendra toujours, consciemment ou pas, je l'ai construit, et je suis fier de mon œuvre, de ce qu'il est devenu, avec ou sans moi. Si Sherlock vit et est heureux, tout ira bien.
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Vous pouvez passer directement au chapitre suivant, il ne devrait pas tarder...
