C'était un jour comme les autres pour l'équipage du chapeau de paille. Le Sunny était amarré dans le port d'une petite ville où il faisait assez chaud. Pendant que les autres étaient restés sur le bateau pour se reposer, Luffy et Zoro étaient sortis faire des courses.

Tout à coup, ils tombèrent sur un vendeur d'antiquité qui leur proposa une vieille lampe à huile qui était soi disant magique.

L « Viens, Zoro, on achète la lampe ! »

Z « Pourquoi faire ? C'est juste une vieille lampe pourrie, elle marche même plus, je suis sûr ! »

L « Mais t'as pas entendu le vendeur ? Elle est magique, magique ! »

Z « Mais on pourrait te faire avaler des montagnes à toi ! C'est juste un attrape touriste, elle est aussi magique que moi je suis danseuse étoile ! Regarde ! »

Il frotta la lampe, mais, contrairement à ce qu'il pensait, un génie en sortit.

G « Ah, quand même ! Ça va faire trois mille ans que je suis coincé la dedans ! »

L « Un génie ! C'est génial Zoro ! On va pouvoir avoir tout ce dont on a toujours rêvé ! »

G « ouais, enfin, minute papillon ! Moi, c'est seulement trois vœux, alors réfléchissez bien, parce que y'en aura pas un de plus ! »

A ces mots, Zoro pensa à tout ce qu'il aurait voulu avoir. En premier vœu, un sabre légendaire ferait l'affaire. Il ouvrit la bouche, mais Luffy fut plus rapide.

L « De la viande ! »

G « Ça roule ! Plus que deux vœux ! »

L « Encore plus de viande ! »

G « Voila ! Plus qu'un ! »

L « 300 milliards de kilos de v… »

Zoro sauta sur Luffy pour le faire taire.

Z « Mais t'es idiot ou quoi ? Tellement de trucs légendaires qu'on aurait pu demander, et toi, tout ce que tu veux, c'est de la bouffe ? Crétin ! »

L « Hé, c'est pas bien de dire des gros mots ! »

G « Ouais, il a raison. »

L « En troisième vœu, je veux que Zoro soit puni chaque fois qu'il dit un gros mot ! »

G « Ah, ça pourrait être pas mal… Quoi comme punition ? »

L « Euh…Je sais pas…Euh…Qu'une brique lui tombe sur le crâne ! »

Z « vous êtes complètement cons, tous les deux… »

Il avait à peine prononcé ces mots qu'une brique lui éclata le crâne.

Z « Aïe ! Mais qu'est ce que c'est que ces conneries ? »

Deuxième brique.

Z « Bon, c'est très drôle, votre truc. Mais je préférerais éviter d'avoir une commotion cérébrale, alors si vous pouviez arrêter ça… »

G « Impossible, tous les vœux ont été épuisés. »

Z « Allez, par pitié ! »

G « Bon… Quelle est la personne que tu détestes le plus ? »

Z « Euh… Je dirais Sanji… »

G « Alors, si tu veux que la malédiction cesse, il faut qu'avant sept jours au plus tard, Sanji t'ai embrassé de son plain gré ! »

Z « Pardon ? C'est une putain de blague ? »

Troisième brique.

G « C'est tout ce que je peux faire, désolé. Vous savez, annuler un vœu, c'est pas si facile. L'administration, tout ça… C'est pas si facile, il y a une procédure… Il va falloir faire avec ! Allez, bonne chance ! »

Zoro s'assit sur les trois briques et prit sa tête dans ses mains.

Z « Comment je vais bien pouvoir faire ? Encore, si c'était juste l'attacher dans un coin et l'embrasser, ce serait facile, mais il faut que ce soit lui qui m'embrasse… »

L « T'inquiètes, tu trouveras un moyen. Et au pire, tu pourras toujours travailler sur un chantier… »

La nuit tombant, ils rentrèrent…