Bon alors, j'ai relu ce chapitre et me suis rendu compte du nombre de fautes que j'avais réussi à faire il y a un an de cela. Certaines font vraiment mal aux yeux ! J'ai donc corrigé les plus grosses, je vais continuer avec les autres chapitres. J'espère que cela ira mieux à présent. Je me relierai plus sérieusement par la suite, pour le moment il faudrait que je fasse mes devoirs, je vais bientôt partir et je suis en retard !

Elyon...Holala, alors là, sur le coup, je suis vraiment incorrigible ! Mille excuses belette ! Contente de te voir ici ! Par contre, j'ai honte à cause de mes fautes en orthographe, ça fait pitié, je sais T.T. Cela fait longtemps que j'ai un compte ici mais je l'avais arrêté (un an que j'y avais plus rien fait -' ), je vais m'y remettre pendant les vacances ! Merci de t'être proposé pour me corriger, je vais faire de mon mieux pour le moment, faudrait peu être pas abuser et tu tuer avec mes horribles fautes !, mais c'est avec plaisir que je te passerais mes chap, c'est super simpa !

Bonjour à tous ! Alors voila, c'est ma première fic. J'ai longtemps hésité avant de la mettre sur le net. Soyer indulgent ^^.

Bon voyons voir…A oui !

Disclamer : et bien, rien est à moi a part quelques personnages ou lieux de mon invention. Tous est à J.K Rowling. Je ne me fais pas d'argent avec cette histoire.

Toutes plagias éventuelles sur d'autres fan fictions ne serait pas fait exprès.

Je tiens toute suite à vous demander pardon pour les fautes d'orthographe et maintenant, place à l'histoire ! Bonne lecture !

PS : Un grand merci à belette qui à bien voulut me relire et me corriger ! Vous savez comme que ça en avait cruellement besoin ! Grace à elle, je peux maintenant poster un tout joli chapitre sans fautes ! Encore merci Belette ! D'ailleurs, en lisant se que tu m'as corrigé, je me rend compte que c'est des fautes débiles que je fait ! O.o


Retour aux sources

La nuit était tombée depuis longtemps sur l'immense forêt entourant la mythique île de Glastonbury.

Forêt-Neuve, car tel était son nom, avait, selon d'anciennes légendes, abritée la fameuse grotte où la Dame du lac, Viviane, aurait enfermé le grand Merlin dit « l'enchanteur ».

Outre cette légende, d'autres s'étaient bien entendu formées autour des étranges brumes qui entouraient continuellement l'île : Arthur et sa reine Guenièvre y auraient été plongés dans un long sommeil.

Les rares routes serpentaient dans une autre dimension de telle façon que, sans le consentement Divin, on ne puisse en sortir. Mais ce n'était que des suppositions ! Revenons un peu à notre histoire.

La lune, seul astre brillant dans le firmament, ne réussissait pas à percer l'obscurité de l'endroit désert.

Désert ? Non ! Une silhouette se mouvait avec grâce. Elle ne faisait aucun bruit et ne touchait aucune végétation, si ce n'est le sol recouvert de feuilles mortes.

Elle s'était enroulée dans une longue cape noire, le capuchon remonté sur sa tête. Si bien que, de son visage, seuls ses yeux étaient visibles. Deux émeraudes luisant dans le noir.

De ce personnage émanait une puissance froide. Même les animaux avaient peur et ne se montraient pas. Ils restaient simplement immobiles et silencieux dans leur tanière.

D'autres, plus courageux, se terraient derrière les buissons. La silhouette marchait depuis maintenant une bonne heure quand elle arriva sur l'île.

Les habitants encore dehors à cette heure là rentrèrent chez eux au passage du personnage. Ce dernier n'en eu cure et continua son chemin sans y prêter attention.

Il finit par s'arrêter devant les portes d'une grande bâtisse. Il se tourna, examina les environs de ses yeux perçants. Personne ! Tous avaient rejoint la chaleur de leurs bâtisses.

Les volutes de fumée s'élevant de chaque cheminée en témoignaient. La personne resta devant les portes jusqu'à ce que, finalement, un vieil homme en sorte. Les cheveux gris, une barbe naissante et un visage ridé, il salua d'un hochement de tête le nouvel arrivant.

- C'est pour toi un jour important, commença l'ancien.

Son interlocuteur resta silencieux, préférant l'écouter.

Il poursuivit donc :

- Tu vas retrouver les tiens après tant d'années. Je pense que tu reconnaîtras le chemin. Va et bonne chance à toi.

C'est alors que le personnage parla pour la première fois. Sa voix était celle d'un jeune homme dans la force de l'âge. Il s'exprima d'un seul mot qui fut le suivant :

- Merci.

Alors sans plus rien ajouter, le plus jeune disparut sans un bruit. Personne au village ne sut jamais ce qu'il s'était passé la nuit où, pour la première fois, ils virent celui qui se faisait appeler « moonlight ».

A quelques kilomètres de là, l'homme réapparut dans une sombre ruelle de Londres. Alors de nouveau, il marcha jusqu'à un pub miteux dont l'enseigne indiquant « Chaudron Baveur » se balançait en grinçant.

L'homme retira sa capuche et poussa la porte. Un rai de lumière passa par celle-ci, seule source de clarté dans la pénombre.

Tout en entrant, la lumière de la pièce éclaira le visage de l'homme. Il s'agissait d'un jeune homme dans la vingtaine, possédant de longs cheveux soyeux d'un noir de jais, attachés en un catogan par une lanière de cuir de la même couleur.

Les yeux émeraude, autrefois froids et sévères, étaient à présent chaleureux et malicieux. Avec ses traits fins, il s'agissait là d'un très bel homme. Toutefois, une fine cicatrice en forme d'éclair barrait son front. Tom, le barman, le regarda entrer avec un petit sourire de bienvenue.

- Je vous sers quelque chose à boire jeune homme ? dit-il de sa voix rocailleuse.

- Si vous aviez de l'Amaretto, ce serait avec grand plaisir, clama-t-il.

La voix d'Harry, car c'était bien lui, était chaleureuse tout comme ses yeux.

On dit souvent que les yeux sont le reflet de l'âme. Le barman le savait et c'est pourquoi il fit immédiatement confiance à ce jeune homme.

Cela faisait du bien de voir un visage chaleureux, malicieux et surtout si enfantin, car en ces temps de guerre, peu de gens conservaient ce genre de qualités. Tom servit donc l'alcool à base d'amande au client qui le remercia avec ferveur avant de boire le verre d'une seule traite.

- Avez-vous une chambre de libre ? demanda Harry.

- Oui. La chambre 7 vous conviendra parfaitement... Monsieur...

-Harry Leroy Griffith.

- Bien, suivez moi monsieur Griffith ! l'enjoignit le barman.

Harry se leva et, passant près d'une table, il substitua agilement et discrètement un journal.

Arrivé dans sa chambre, Harry ferma la porte à double tour car il ne voulait surtout pas être dérangé. Il lança un sort d'insonorisation avant de s'asseoir sur le lit de la chambre. Il se rappela tout ce qui l'avait poussé à partir.

D'abord la mort de tous ses proches. Pas un n'avait survécu ! Tous mort en héros. Tous étaient tombés en se battant loyalement et en protégeant ceux qu'ils aimaient. Tous avaient quitté le monde quelques heures seulement avant qu'Harry ne tue Voldemort.

Puis le Survivant avait beaucoup voyagé. Il avait parcouru les montagnes, les déserts, ensuite des contrées glaciales pour arriver dans des forêts luxuriantes. Tout au long de son périple, il avait été pris en charge par de puissants mentors qui lui avaient appris leurs nombreux talents.

Et enfin, un jour tout avait changé.

Il se trouvait dans la forêt amazonienne, depuis trois ans déjà, pour un test de survie. Il maraudait lorsqu'il tomba devant l'entrée d'un temple. Il s'en rappelait encore :

Harry admirait la porte du sanctuaire. Elle était faite dans une roche longtemps oubliée, sculptée avec un savoir-faire tout autant oublié. Cette porte antédiluvienne laissait apparaître, gravé profondément dans sa masse, un magnifique dragon dont les yeux couleur rubis semblaient animés par une force mystérieuse. Cette dernière s'ouvrit subitement, comme par magie, semblant inviter Harry à rentrer.

Il ne voulait tout d'abord pas y pénétrer. Puis, sa curiosité légendaire reprit le dessus. Il ne put s'empêcher, en traversant la grande pièce vide, de porter sur elle un regard admirateur.

En effet, la salle était d'une dimension incroyable. Chaque dalle au sol montrait un motif différent, oscillant entre arabesques et signes tribaux. Il regarda autour de lui, s'apprêtant à déceler les nombreux pièges que l'on trouvait habituellement dans ce genre d'endroit.

La pierre des murs était lisse. Aucun trou ne semblait avoir était creusé dans les façades, ce qui laissait comprendre qu'aucunes flèches ne sortiraient de ces derniers.

Harry retira sa chaussure et la jeta sur une dalle adjacente à celle sur laquelle il se trouvait. Rien ne se passa. Il avança alors sur la dalle sécurisée et répéta l'opération. Après un temps assez long, il avait rejoint l'autre bout de la pièce où s'étalait dans toute sa splendeur un personnage qui arborait deux grandes ailes. La statue représentant un homme était en or et ses yeux étaient, tout comme ceux du dragon, de couleur rubis. De-ci de-là, incrustées dans le somptueux métal, de millions de pierres scintillaient d'un éclat qui ne pouvait être naturel.

Le survivant fut attiré par une force surnaturelle. Bientôt, il toucha la relique du bout des doigts. Il sentit le métal froid entrer en contact avec sa peau.

Aussitôt une énergie se répandit, passant dans sa main puis dans son torse en traversant son cœur. Elle arriva au même moment dans sa tête, dans ses jambes et enfin dans ses pieds.

Prit de peur, il tenta de s'éloigner de la statue mais rien y fit. Il était comme pétrifié. Il sombra alors peu à peu. Tout autour de lui ne régnait que le noir, seule couleur dans cet univers glacial. Cela lui donna la chair de poule.

Harry réussit finalement à reprendre le contrôle de ses membres. Il marcha, l'angoisse prenant une place importante dans son corps. Il transpirait.

Soudain, tout s'éclaira. Devant lui, un long couloir aux murs nus. La lumière s'emblant venir de nulle part comme de partout. Arrivant au bout de son chemin il eut devant lui une paroi lui bloquant le passage.

Se retournant, il recommença à marcher. Au bout d'une heure, la brume tomba devant ses yeux et il se sentit tomber. Il cria mais la chute s'éternisa. Alors, cessant d'émettre le moindre son, il ferma les yeux, attendant la mort qu'il savait proche. Toutefois, cette dernière ne vint pas.

Lorsqu'il osa jeter un coup d'œil, sans trop savoir comment, il constata qu'il était de nouveau dans la forêt !

Secoué, il se laissa choir au sol, transpirant à grosses gouttes. Lorsqu'il leva les yeux vers le ciel, sans trop savoir pourquoi il sentit que quelque chose n'allait pas.

Pour en avoir le coeur net, Harry partit en direction d'un petit village qu'il avait repéré plus tôt dans la journée. Impossible pour lui de le retrouver ! Le village n'était plus là ! En fait, il semblerait qu'il n'avait jamais existé...

Pendant qu'Harry était plongé dans ses pensées, le sol se mit à trembler. Comme si quelque chose de lourd le faisait trembler en se mouvant dessus.

Tournant vivement la tête vers les buissons, il en vit jaillir soudainement un animal d'une taille inimaginable ! Sa peau, recouverte d'écailles rugueuses, luisait d'un éclat rougeâtre. La chose rugit, faisant trembler un peu plus le sol. Se faisant, lorsqu'il ouvrit sa gueule, il exposa de monumentales dents jaunes et tranchantes. Ses yeux ocre dardèrent une lueur sombre en direction du Survivant qui pour lui ressemblait à son futur festin. Le dîner quand à lui, n'en menait pas large. Il regarda effaré le monstre de haute taille.

Un dragon ? pensa Harry. Non ! Beaucoup trop grand ! Mais alors ?

Harry ne put réfléchir plus longtemps, l'animal s'élançant déjà sur lui. Notre héros prit ses jambes à son cou.

A quoi bon fuir ? L'animal était rapide. Autant lui faire face avec courage !

Le jeune homme dégaina rapidement la lame du fourreau attaché à sa ceinture. L'épée de Griffondor, car c'était bien elle, l'avait à de nombreuses reprises sauvait des situations les plus périlleuses. Il espérait bien que cette fois ci encore, ce serait le cas.

Agilement, il sauta sur une liane qu'il escalada rapidement, le sabre entre les dents. Il s'en fallut que de peu pour que Harry ne manque de se faire dévorer en même temps que sa pseudo corde.

Après un temps qui parut durer une éternité, il atteignit enfin une haute branche. De celle-ci, il surplomba le monstre. Ce dernier, un grand nigaud, scruta d'un regard niais les alentours car il ne voyait plus son délicieux menu.

Profitant de cet instant, le Survivant bondit sur la tête de la bête. Sans attendre, il plongea la lame dans le crâne démesuré. Du sang jaillit, lui éclaboussant le visage. Le corps monumental de la bête s'effondra de toute sa hauteur, écrasant au passage la pauvre végétation. L'élu, qui s'était alors cramponné au cou de la bête se laissa glisser au sol.

Cette nuit, ce fut au creux de la chair dure de la créature qu'il trouva le sommeil. Avant de s'endormir, il avait compris deux choses. La première étant que ce qu'il prenait tout d'abord pour un dragon se trouvait être un dinosaure, une espèce censée s'être éteinte depuis maintenant de nombreux millénaire. La deuxième, et pas des moindres, était la suivante : Harry venait de remonter le temps jusqu'à la naissance de l'univers.

En effet, le couloir représentait la vie. Nous étions obligés de marcher sans jamais nous arrêter, sans jamais regarder par-dessus notre épaule, pour trouver la porte qui nous emmènerait un jour ou l'autre jusqu'à la mort.

Harry Potter lui avait réussi à faire volte face dans le couloir et à le remonter jusqu'à la source des temps.

Puis, les années passèrent. Et pendant tous ces millénaires, la seule personne à avoir osé défier le temps, ne vieillissait pas.

Il fit des voyages, parcourant le globe de part en part, accumulant tout le savoir. Peu à peu, ce savoir fut oublié.

Il vit les temps changer, les guerres défiler, plus meurtrières les unes que les autres. Il était passé sous de nombreuses apparences et identités. Tantôt guerrier, chef, conseiller, il avait aidé à sauver le monde, attendant le jour où, enfin, il serait de retour parmi les siens. De retour, pour affronter Lord Voldemort, la seule personne qu'il n'avait pas réussit à éliminer assez vite.

Alors, millénaires après millénaires, il avait enterré au plus profond de lui-même un des sentiments les plus idiots que l'humain pouvait ressentir : la Vengeance. Se promettant qu'il empêcherait le Seigneur des Ténèbres de tuer tous ces innocents.

A présent, ce temps était arrivé et il comptait bien tenir sa promesse.


J'espère que ça vous à plus même si ce chapitre est peu être un peu court (ça ira en s'allongeant). Dite le moi avec une pitite review.

Si ça plait je met la suite la semaine prochaine si non…

Bye, Bye.

Skarine