Titre : Help me to forget this evil

Auteur : Aaiko

Genre : Yaoi, lemon, « violence » ..

Pairing : Haha ;D

Disclaimer : The GazettE ne m'appartient toujours pas ToT

Rating : M ;)

Note : Si vous n'êtes pas fanatiques des scènes de viol, ben .. Lisez pas, où alors faites attention XD One-shot basé sur la chanson Taion :) ATTENFiON SCENE DE ViOL DANS CETTE PARTiE =O

Première partie .

Un ciel hivernal et un lampadaire cassé, vent froid

Je cours, je cours tant que je peux. Il me suit. Des semaines qu'il essaye de m'avoir. Seulement là je suis seul, je ne cours pas assez vite. Il fait noir, il fait nuit, je ne vois pas vraiment où je vais. Tout ce que je sais c'est que je fuis.

Ombre inconnue, empreinte d'abandon

Je ne sais pas qui c'est. Je ne l'ai qu'aperçus de loin. Je sais qu'il me veut moi, moi et personne d'autre. Je ne veux pas que cet inconnu me rattrape. Il m'a déjà dit dans ces étranges lettres qu'il me désirait plus que tout. Ce type est un malade. Il ne mesure pas la portée de ses paroles.

La liberté était prise.

Il m'a agrippé le bras. Je pousse un cri effrayé. Non, je ne veux pas qu'il me touche, je ne veux pas qu'il pose ses sales mains sur moi. Il m'entraîne avec lui, je ne sais pas où. On est en pleine rue, où pourrait-il m'emmener ? J'ai peur, je ne le cache pas. Je crie, je hurle, mais rien n'y fais, il ne recule pas, et m'enserre plus fermement.

Pourquoi ai-je été choisi ? Quelqu'un devrait répondre ...

Je demande alors faiblement :

« - Pourquoi ... Pourquoi moi ? Qu'est-ce que j'ai fait ? »

Cela à l'air de le faire rire, car il plisse les yeux dans une moue moqueuse et me réponds le plus naturellement du monde, avec une voix rauque, qui me donne froid dans le dos, comme dans les films d'horreurs :

« - Tout simplement parce que j'en ai envie. Tu es beau, tu es célèbre ... Et je te désire, oh, oui ... Et tu vas m'appartenir bientôt, sois-en sûr ! »

Il rit de plus belle lorsque que je pousse un gémissement de peur. Non, je ne veux pas de ça, moi. J'appelle, j'appelle à l'aide, en espérant sans trop y croire que quelqu'un viendra. Mais j'ai beau appeler, crier, pleurer, rien ni personne ne me réponds ...

Si cela se réveille, un plafond lugubre, une voix rieuse plonge dans le conduit auditif, il est souillé.

Il m'entraîne dans une sorte de ruelle sombre, où sont entassées des dizaine de sacs poubelle. Il jubile d'avance, même si je ne sais pas ce qu'il à dans la tête, peut-être une vague idée. Je ne comprends pas, je ne vois pas pourquoi il s'en prends à moi : pourquoi toutes ces lettres d'admirateur bizarres, menaçantes parfois, me disant clairement que c'est moi qu'il veut ? Je me débats du mieux que je peux, mais je n'ai pas assez de force, ou plutôt il est trop fort. Il me jette sur quelques sacs au fond de cette rue. Il n'a vraiment pas peur d'être vu, mais d'un côté il à raison : personne ne passe ici à plus de deux heures du matin ... Sauf moi, cet idiot de moi qui n'a pas voulu se faire ramener ce soir. Ce con de moi qui était assez bête pour croire qu'il ne craignait rien. J'essaye de m'enfuir, mais rien n'y fait, il me tiens et ne me lâche pas. Que va t-il faire ? Je lui demande, et à voir son sourire carnassier, il ne fait que confirmer mes doutes. Ce monstre ... Ce monstre me veut, cet assassin veut tuer mon corps, ce meurtrier veut enterrer ma dignité, ce tueur veut crever mon bonheur. Il veut m'étouffer de son plaisir criminel.

Et la violence me viole.

Il commence par essayer de toucher mon visage ; je tourne la tête vivement. Voyant que je n'ai pas envie de me laisser faire, il penche la sienne pour tenter de prendre mes lèvres. Cette fois j'essaye encore de détourner : mais il colle fortement sa bouche sur la mienne. Alors je l'ouvre et lui mords violemment la lèvre inférieure, jusqu'au sang. Il se redresse pas très satisfait de mon geste, mais la lueur perverse malsaine dans ses yeux ne fait qu'augmenter. Il essuie de sa langue le liquide rouge qui coule maintenant le long de son menton. Puis, sans prévenir, il m'assène un coup de poing magistral, pour me faire moi aussi saigner. La joue et la lèvre en feu, je ne peux que pleurer. Il se re-penche à nouveau, et lèche à mon plus grand dégoût le sang sur moi.

« - Tu as bon goût tu sais. Mais je ne suis pas très content que tu me fasses du mal ... Alors je vais devoir être moins gentil, c'est bien affligeant de devoir endommager un aussi beau corps ...

- Qui a dit que vous étiez gentil jusque là ... ? »

Il ricane. De sa main gauche, il m'empoigne violemment le cou, me privant d'air, mais pas assez pour m'asphyxier. Une torture. Je pose mes mains sur la sienne, tentant vainement de la retirer. Cela m'immobilise pendant que ses doigts de libre défont ma veste, puis ma chemise, laissant ainsi à l'air libre mon torse. Je commence alors à avoir peur, très peur ; je tremble de tous mes membres, si violemment que mes mains se retirent toutes seules de la sienne qui me serre au cou. Les larmes coulent à flots, noyant mon maquillage avec. Et lui, lui il rit.

Il me caresse, mais ses doigts rugueux et durs ne me font pas du bien, au contraire. Il m'empoigne sans douceur les cheveux, me faisant pencher la tête en arrière. Il part alors de ma bouche, et descends, descends sur mon cou, puis sur mes abdos, mords violemment les deux bosses de chair dressées sur mon torse, me faisant gémir de douleur. Il descends plus bas, mais s'arrête, voyant bien que mon jean le gêne. Non, j'espère très fort, qu'il ne l'abaissera pas. Mais apparemment, le sort à décidé de me punir, de s'acharner sur moi. Car -tenant toujours mes cheveux- il défait ma ceinture et baisse ma braguette sans ménagements. Il descends mon pantalon jusqu'à mes chevilles, puis me lâche enfin. Il se lève, m'admirant de ses yeux cruels. Je voudrais me relever et m'enfuir pendant cet instant de répit, mais je n'en ai pas le temps, essoufflé de ces tortures qu'il m'a infligé, sûrement pas les dernières. Et je ne crois pas si bien dire : il lève sa jambe et me frappe aussi fort qu'il le peut dans mes côtes, m'ôtant le souffle. Je m'encercle moi-même de mes bras, comme pour faire passer la douleur ; mais il n'a pas décidé de me laisser tranquille. Il m'envoie son pied encore une fois dans mon ventre, puis une autre fois, encore et encore. Au bout d'une dizaine, voire plus, de coups acharnés, il consent à s'arrêter. Je ne respire presque plus, et je dois avoir une ou deux, peut-être plus, je ne sais pas, côtes cassées. J'halète fortement et il en profite pour s'asseoir sur moi.

« - Pi-tié ... suppliai-je le plus faiblement du monde, l-laissez ... Moi ... T-tranquille ...

- Non, c'est tellement amusant de te voir me supplier. Je veux te voir m'implorer encore ... »

Et comme pour confirmer ses dires, il baisse mon boxer découvrant ainsi ce qu'il convoite tellement. Avec violence, il me prends en bouche. Mais ce n'est pas du tout plaisant. Ça me donne envie de vomir, cette bouche qui se tort sur mon sexe sans tendresse. Il mord, il lèche, il croit que c'est bon : mais je ne fais que me tortiller dans tous les sens sans succès, pleurant toutes les larmes de mon corps, le suppliant de mettre fin à ce dégoût qui menace de me faire régurgiter dans les minutes qui suivent. Pendant qu'il s'active à me bouffer littéralement, il introduit deux de ses doigts en moi, les enfonçant aussi loin qu'il le peut. Ça ne me fais pas mal, mais cela me gêne beaucoup trop, ça me répugne et ça me fait encore plus peur de ce qui va suivre. J'angoisse terriblement, je tremble, j'ai froid. Je n'ai jamais rien fait avec un homme. Et je ne veux pas que cela commence avec lui, cet homme qui me répugne tellement que je ne le trouve pas humain. Il retire sa bouche pleine de salive et ses doigts avec. Il se place entre mes cuisses, défait aussi son pantalon, empoigne mes bras et les plaque violemment de chaque côtés de ma tête. Je ne peux plus bouger, immobilisé, paralysé par la peur. Il me fixe de ses yeux noirs de désir dégueulasse, son sourire s'élargissant devant mon visage détruit par l'effroi et la peine.

« - Non ... Non, p-pas ça ...

- Oh que si ... Tu verras, je suis sûr que tu vas adorer. »

Et là, je hurle, il rigole.

Il vient de me pénétrer avec la plus grande violence du monde. Je ressens un déchirement, une douleur insupportable au niveau de mes fesses, mais aussi à l'intérieur. Je n'ai jamais eu autant mal quelque part de ma vie. Je me vide de toute eau salée que mon corps peut contenir, j'ai même l'impression qu'autre chose coule le long de mes cuisses. Il me pilonne brutalement, satisfaisant son plaisir égoïste et malsain. Ses coups de butoirs sont violents, cuisant, démesurés, agressifs. Ça me brûle tellement fort, que j'ai l'impression que tout mon corps va se retrouver calciné par tant de férocité. Je hurle, je m'époumone, je gueule : rien n'y fait, il va de plus en plus vite, de plus en plus durement. Je pleure sans pouvoir m'arrêter, ça me déchire, ça me fait plus que mal, ça me brûle ... J'ai l'impression que cela dure une éternité. Ses coups sont excessifs, enragés et furieux. J'ai mal en abondance, il à l'air d'aimer ça, ce salop. Cela me tiraille et m'élance tellement que j'en viens presque à le supplier de me tuer, là, sur le champs, pour abréger cette souffrance bien trop grande.

« - N-non ! S'il vous plaît ! Arrêtez ! Ça fait mal ! Hurlai-je sans qu'il n'y prête attention.

- C'est ça ... Hm, supplies moi d'arrêter ... répondit-il en gémissant et s'égosillant en même temps. »

Et il ne fait que de redoubler de violence dans ses va-et-viens. J'attends dans une amertume et dans une douleur déconcertante que cet enfer se termine. Je crie en espérant que quelqu'un vienne m'aider.

S'il vous plaît répondez-moi, c'est un horrible rêve. Combien de fois dois-je crier, me tordre, souffrir ?

Il sent que la délivrance est proche. Alors il accélère, ne faisant qu'augmenter en moi cette sensation de brûlure. Dans un énième gémissement, il sort complètement de moi, pour y re-rentrer avec une violence inouïe. Il se libère enfin dans mon corps, mélangeant son sperme avec mon sang. Il s'effondre sur moi, et lâche mes bras. J'essaye alors, avec le peu de force qu'il me reste -autant dire vraiment très peu-, de le repousser de moi, de l'enlever de mon corps, de l'empêcher de le souiller et de le salir encore plus, si cela est possible. Il ricane sous mon effort vain, se relève et me regarde aussi cruellement que possible : il se retire sauvagement de moi, me faisant pousser un autre hurlement. Il se baisse au niveau de mon postérieur pour admirer le résultat de son travail. Il sourit, satisfait.

Avec une voix brisée, j'ai crié.

« - Mon pauvre ... Tu as eu mal ? J'en suis désolé ... s'excusa t-il faussement en m'assénant un nouveau coup dans la figure.

- Vous n'êtes qu'un ... M-malade ... »

Ça à l'air de lui plaire comme surnom. Puisqu'il me colle un autre coup. Je crie encore. Je n'espère plus que quelqu'un vienne. Je ne sais pas ce qu'il compte faire de moi maintenant. Recommencer ? Me tuer ? Il à l'air d'opter pour la deuxième option : me réduire au silence. Il me rue de coups, et bientôt ma vue diminue, devient de plus en plus floue.

« - Ruki !? »

Je reconnais cette voix, que je connais trop bien, qui m'appelle en me découvrant pris dans cette ruelle.

Hm oui c'est court .. U___U Mais bon, je le fais en plusieus parties (Je sais pas encore si y en aura deux ou trois), parce que sinan c'est trop long .. J'espère quand même que j'ai bien décrit tout çaaaaa =D

JE SUiS UNE SADiQUE 8DD (Voilà, cté pour ça que j'disait ça Laura XDD)

Kisuuu (l)