BD: Salut à tous et à toutes (surtout à toutes^^)! Nous voici avec une nouvelle histoire qui nous tient beaucoup à cœur. Mais qui sommes-nous? Nous, on est deux filles. D'abord, il y a moi, BobDaisy. Peut-être avez-vous lu une de mes histoires, peut-être pas. Et puis, il y a elle.
FH: Test micro un deux un deux... XD je crois que je vais retourner dormir lol. Non alors hum... Et moi c'est FallenXhope, la cinglée qui a trouvé l'idée originale (la seule chose qui m'appartienne encore -" ... xD) Vous n'avez pas pu lire beaucoup d'histoire de moi vu qu'il n'y a jamais qu'un double one-shot que j'ai écris pour BD.
BD: Mais non, il y a encore plein de truc qui t'appartiennent! Moi je réclame juste tous les droits sur Alice et Jasper. Je te laisse les autres, sauf Rosalie parce que t'es capable de la tuer...Et puis, sans moi, il y a fort à parier que ton idée de base serait toujours une simple idée!
FH: ... Mais pourquoi tu crois toujours que je vais la tuer ? Ne t'ai-je pas prouvé en laissant Alice et Jasper en vie dans mon one-shot que j'étais digne de confiance ? ... C'est bon j'ai compris. Non, j'avais prévu d'écrire plein de chapitres... puis ils seraient tombés dans la corbeille de mon ordi -"
BD: Peut-être pour Alice et Jasper, mais là c'est de Rose qu'on parle! Et puis-je te rappeler ta fameuse histoire sur Vampire Knight qui était supposé avoir plein de chapitres?
FH: Tu veux pas que je signe un document officiel pour promettre de ne pas la tuer ? C'est à cause de qui ? C'est qui qui jugeait mon intro étrange et pas bien ? C'est qui qui m'a miner le moral ? Enfin... on n'était pas sensé se disputer... J'espère que l'histoire vous plaira, donc je vais remercier ma très appréciée et très charmante * Faux sourire* co-auteure.
BD: Ce n'est pas de ma faute si t'es pas douée pour les intros...Et puis, t'avais oublié Shiki! Enfin, t'as raison, vaux mieux éviter de se disputer dès le premier chapitre sinon nos lecteurs n'auront jamais la suite. Bonne lecture!
La jeune femme était allongée sur son lit. Une cascade ténébreuse de cheveux bruns chocolat encadrait son visage alors que sa respiration restait toujours aussi régulière. En voyant l'air paisible sur son visage, on ne pouvait pas se douter qu'elle était emportée dans un songe particulièrement troublant.
Dans celui-ci, elle voyait un jeune homme avec des cheveux cuivrés qui partaient en bataille, et possédant deux yeux d'un vert émeraude si incroyable que lorsqu'elle le regardait, c'était la première chose qu'elle voyait. Son regard parcourut ensuite le reste du corps de cet homme. Habillé d'un simple jean, il était magnifique. Terriblement bien bâti, il possédait une carrure carré qui ne demandait qu'à être enlacé et deux bras forts qui n'attendaient que quelqu'un à protéger. Son visage était doux et fin mais dur en même temps.
Ne pouvant détacher ses yeux de lui, elle continuait à le contempler, c'est alors qu'elle remarqua un détail pour le moins étonnant. Dans son dos se trouvaient une paire d'ailes plus blanches que tout ce que la jeune femme avait pu voir jusqu'à aujourd'hui. Totalement captivée par celui qu'elle considérait intérieurement comme un ange, elle n'arrivait à faire aucun geste dans sa direction.
Ce fut lui qui fit le premier pas. Un léger sourire aux lèvres, il lui tendit la main. Elle la prit sans broncher, se redressant légèrement, et forçant ainsi le garçon à se reculer pour ne pas que leurs visages ne se rencontrent. Alors qu'elle levait son autre bras vers lui tout en se redressant encore plus, elle tenta de toucher son visage.
Sans prévenir, il se recula rapidement et la lâcha sans dire un mot. Il laissa la belle seule sur son lit, un peu perdue. Avec un dernier regard, il sortit par la fenêtre qui venait de s'ouvrir grâce à elle ne savait quelle force. Dans une vaine tentative pour le retenir, elle se redressa en criant :
-Attendez !
Dans sa chambre, la jeune femme se réveilla en sursaut. Regardant à droite et à gauche, Isabella Marie Swan fût emplie d'un immense désarroi. Ce rêve lui avait pourtant semblé si réel. Elle avait vu cet ange si clairement et son regard… Son regard l'avait fasciné.
Revenant peu à peu à la réalité, elle passa une main dans ses cheveux hirsutes qui témoignait de son rêve bercé de tourments. Elle jeta un coup d'œil autour d'elle et remarqua que ses couvertures étaient tombées par terre. Après être sortie du lit, elle se dirigea vers sa cuisine, qui n'était pas si loin puisqu'elle se trouvait dans la même pièce.
En effet, Isabella, ou plutôt Bella, vivait dans un petit loft composé d'une seule pièce où elle entreposait ses peintures ainsi que tout son matériel. Son chez-soi était assez désordonné, les pots de peinture trainaient partout, se mélangeant aux ustensiles de cuisine et aux autres babioles.
Cette pièce, aussi grande fût-elle, n'arrivait pas à contenir toutes ses peintures. La jeune Swan était une peintre amateur qui n'avait pas encore percé dans le métier. Elle ne désespérait pas d'y arriver un jour, mais en attendant d'avoir un grand appartement digne des plus grands artistes dans une des plus grandes villes du pays, elle se contentait de son loft et de Forks.
Bien piètre bourgade pour réaliser ses rêves d'enfant.
Alors qu'elle se préparait un café, elle reconnu sur sa table de travail son vieux tome écorné des Hauts de Hurlevent qui traînait là sans aucune autre utilité que de décorer.
Elle l'ouvrit d'une main et tomba sur son passage préféré. Elle se mit à le lire, et, distraitement, porta la tasse pleine de café brûlant à ses lèvres. Le liquide bouillant lui brûla la langue et elle le recracha. Posant brusquement sa tasse, elle s'essuya la bouche d'un revers de la main tout en grommelant quelques mots inintelligibles. Elle attrapa une serviette et se mit à nettoyer tout le désordre qu'elle venait de faire.
Une fois qu'elle eut terminé, elle partit s'habiller d'un simple débardeur blanc ainsi que d'un short en jean déchiré. Ensuite, elle se dirigea vers le coin de la pièce qui lui servait d'atelier et attrapa un pinceau ainsi qu'une nouvelle toile.
Depuis quelques jours déjà, son chevalet traînait à l'abandon car la jeune fille ne trouvait plus l'inspiration. C'était la première fois qu'une telle chose lui arrivait, jamais jusqu'à présent elle n'avait cessé de peindre. Des paysages, des inconnus, son père ou encore sa mère et son beau père. Elle avait même réalisé un portrait de sa meilleure amie pour lui offrir lorsque son anniversaire arriverait.
Elle sortit une palette de couleur et elle l'ouvrit prudemment. Elle réussit néanmoins à faire tomber la peinture sur le sol. Une fois de plus, sa maladresse légendaire avait frappé. Cela aurait pu la gêner dans ce domaine où la précision et l'adresse étaient primordiales. Mais, étrangement, lorsqu'elle peignait, elle se sentait transportée, et toute trace de sa maladresse habituelle s'envolait. La jeune fille se mit alors au travail, et s'appliqua à représenter l'ange de son rêve.
Oo0o0oO
Mary Alice Brandon...Alice, juste Alice…se trouvait encore dans son lit lorsque son réveil vint la sortir d'un rêve remplit d'une gloire grisante. Lâchant un soupir, elle sortit de son lit en un bond et se dirigea aussitôt vers sa salle de bain. Impossible de ne pas passer par cette étape. Après plus d'une heure de préparation, autrement dit coiffure, maquillage, choix de ses vêtements et habillage, elle finit enfin par en sortir.
Habillée d'un tailleur fait sur mesure et d'un goût raffiné ainsi qu'innovateur, elle se dirigea vers sa cuisine. Bien que seule, elle se sentait bien dans son grand appartement. Elle avait pris ses marques dans son six-pièces depuis le temps.
A cause de sa petite taille, Alice eut du mal à attraper la boîte de Spécial K qui se trouvait dans une de ses armoires. S'en servant un petit bol, elle sortit son blackberry tout en vérifiant ses rendez-vous de la journée. Depuis quelques mois, la jeune femme tentait de vendre sa marque de vêtement à une agence plus grande. Cela afin de pouvoir conserver sa liberté tout en créant ce qu'elle voulait. En effet, la jeune femme s'y connaissait fort bien en mode. Depuis sa plus tendre enfance elle avait été bercée par la mode. C'était une chose qu'elle adorait. De plus, le contenu de son compte en banque lui laissait une grosse marge financière pour s'amuser.
Son nouveau sac Prada à la main, elle partit pour faire la tournée de plusieurs agences pendant toute la journée. Ensuite, elle irait sans aucun doute voir sa meilleure amie.
Quelques heures plus tard, après plusieurs refus et quelques toutes nouvelles opportunités, elle se décida à téléphoner à Bella. Après une dizaine d'appels sur le téléphone fixe et le portable de celle-ci, quelques messages, elle se décida à passer chez elle sans se faire inviter.
Elle s'installa derrière le volant de sa Porche jaune 911 turbo, petit bolide qu'elle avait gagné à un concours quelques mois plus tôt. Elle avait toujours été douée pour prédire les choses et, ce jour-là elle avait trouvé les trois bons numéros du premier coup, bluffant tout le monde. Elle démarra et conduit en direction de ce que sa meilleure amie osait appeler son domicile. Une fois arrivée, elle resta pendant de longues minutes son doigt appuyé sur l'interphone. Ne voyant aucune réponse arriver, elle se décida à ouvrir la porte. Elle monta vivement jusqu'au dernier étage d'où la musique terriblement lente et latente de Secondhand Serenade retentissait en lui agressant les oreilles. Depuis qu'elle connaissait Bella, jamais elle n'avait pu comprendre les goûts musicaux de celle-ci. Pourquoi ne pouvait-elle pas s'empêcher d'écouter des choses tristes et lentes ? Ce n'était pas logique, surtout pour elle qui était une vrai une pile électrique.
Elle ouvrit violemment la porte puisqu'elle ne recevait aucune réponse à ses tambourinements et trouva son amie brune en train de peindre une toile énorme. Au centre se dégageait les traits principaux d'un homme à la chevelure extraordinaire. Sa beauté était incroyable alors qu'il était à peine entamé. Ce jeune homme semblait plus proche d'un dieu que d'un simple humain. Derrière lui se dressait une gigantesque porte close bordée de nuage.
Prenant son amie par surprise, Alice s'écria de sa voix fluette :
-Bella ! Ca fait des heures que je tente de te joindre !
La concernée sursauta et se retourna en réussissant à s'emmêler les pieds dans un pot de peinture vide. Elle trébucha et se retrouva par terre en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire tout en se cognant bruyamment la tête sur le sol dur et froid de cette pièce si pleine de vie.
Oo0o0oO
Il la regardait de là haut. Ses yeux l'observaient attentivement alors qu'elle était en train de le représenter sur un tableau. Il portait une chemise bleue ouverte sur un t-shirt moulant, bleu également mais un peu plus clair, et son visage impassible ne laissait transparaitre aucune émotion. Cela faisait quelques temps qu'il tentait d'instaurer le contact avec elle. Mais rien n'y faisait. C'était comme si elle avait été sourde à chacune de ses tentatives. Pourtant, cette nuit-là, ça avait été différent. Quelque chose s'était produit entre eux deux et d'une façon tellement étrange qu'il avait eu peur de ne plus rien pouvoir rien contrôler. Ses habits habituels avaient été troqués contre un vulgaire jean et une paire d'aile qu'il avait trouvée bien futile sur le coup.
Il se retourna pour faire face à son ami, celui qu'il considérait comme son frère. Le second jeune homme, qui avaient des cheveux blonds mi-longs lui fit signe de s'asseoir.
S'installant dans le canapé du salon de parfaits inconnus, les deux amis ne s'inquiétaient nullement de savoir si quelqu'un allait rentrer. Si jamais cela arrivait, la personne serait incapable de les voir. En effet, les deux jeunes hommes étaient faits d'une beauté irréelle et immaculée et par conséquent, invisibles pour des yeux humains. Faits ni de chair, ni de sang, ils n'étaient ni morts ni vivants. On pourrait plus les associés à des esprits qu'à des êtres coincés dans une enveloppe charnelle. Edward regarda son ami encore quelques instants avant de reposer son regard sur Bella.
-Cela promet d'être compliqué cette fois.
Qu'avait-il fait dans la chambre de Bella ce matin là ? Pourquoi l'observait-il en essayant d'instaurer un contact mental ? Pourquoi était-il encore en train de l'observer depuis l'immeuble d'en face ? Et puis surtout, qui étaient-ils ?
BD : Alors alors alors ? *Sautille d'impatience en attendant votre avis* Qu'est-ce que vous en pensez ? La suite viendra…elle viendra quand ?
FH: Alors ? *Sautille comme l'autre imbécile* Elle a déjà tout dit, à part qu'on postera la suite dans une semaine x3 J'espère que ça vous a donné envie de la lire ^^
