SUPERNATURAL
Fanfiction
Witchcraft sorcellerie (traduc fr)
Disclaimer: Ceci n'est qu'une fanfiction. Je n'en retire aucun bénéfice et les personnages ainsi que le support de l'histoire appartiennent à Kripke.
-23ans plus tôt (Bon bin là il faut revoir THE résumé sur la maison et Mary)
-Then : la mort de John, le pacte de Dean, la rencontre entre Sam et Ruby, celle entre les garçon et Bela et l'incident de Red Sky at morning avec le vol de la main…
Cet épisode se situe quelque part après Red sky at morning. Je prend le large et je cesse toute allusion aux épisodes de SPN après le 6ème de la saison 3)
On connaît donc très peu le perso de Bela et son caractère paraît complexe. Je me base donc sur ce qu'on a vu d'elle. Elle risque donc d'être différente par rapport à la série. Même chose pour Ruby, Bobby etc…
Je ne sais pas où cette fic va me mener, s'il y aura une suite ou non, bref, on verra…
Bonne lecture
Janesville, Wisconsin, 1745
Une vieille bicoque qui surplombait des champs de maïs abritait pour la première fois depuis longtemps les éclats de rire de quelques enfants qui jouaient à cache-cache. Ce jour était si heureux. Il changerait la vie de Beth à jamais. La jeune fille le sourire aux lèvres descendit en courant les escaliers de bois de la grande demeure pour sauter dans les bras de son père qui venait de passer la porte.
« Cela me rempli de joie de vous voir ! »
Le vieil homme, le regard sévère mais pétillant contempla sa fille avant de l'embrasser sur la joue.
-Les temps sont durs. Je ne pouvais pas venir plus tôt.
La jeune fille hocha alors la tête et assura d'un ton toujours aussi optimiste :
-Ca ne fait rien ! L'important, c'est que vous soyez là, maintenant ! Il faut que vous me donniez votre bras au moment venu !
Là, l'homme leva les yeux au plafond et observa les guirlandes de fleurs que les enfants venaient de confectionner.
-Ils ont l'air de tenir à toi.
-C'est ce que les gens disent. Approuva-t-elle.
Leur conversation fut interrompue par un jeune homme qui venait de pénétrer dans la pièce.
« Andrew ! » s'exclama la future mariée en allant le rejoindre.
-La cérémonie peut commencer.
Là, elle se retourna vers son père et informa, avec un sourire qui éclaira son visage :
- La seconde personne qui m'est le plus chère vient d'arriver.
Le père sourit aussi avant de demander :
-Dois-je également porter les alliances ?
Beth hocha la tête et répondit :
-La petite lydia s'en chargera.
Sur ces mots, Beth regarda son futur époux et s'exclama :
-Ce jour sera le plus beau de toute notre vie !
Une heure plus tard, dans le petit jardin derrière la demeure, une petite fille, qui tenait fermement contre elle le boîtier de la bague regardait une femme, habillé de blanc. Elle était allongée sur le sol et le sang qui s'écoulait de ses lèvres contrastait étonnement avec le bleu cadavérique du reste de son corps. La pluie commença à tomber en fin de soiré, et l'enfant, était toujours là, à contempler le cadavre de la marié...Qu'avait-elle fait ? pensait-elle. Ils avaient tous fuit en croyant à de la sorcellerie…Ils l'avaient laissé seul, sous le porche... Les rires firent alors place aux pleures, et la joie, fit place à la peur…
GENERIQUE
NOW
Milwaukee, Wisconsin
Motel
Dean Winchester était penché au dessus d'un magasine quand Sam sortie de la salle de bain. Surpris par les activités de son frère aîné, le jeune homme fronça les sourcils et demanda :
« Est-ce que t'es entrain de lire ?! »
Dean ne répondit pas tout de suite. Il paraissait en effet très concentrer sur une page en particulier. D'autant plus curieux de connaître le sujet du livre qui passionnait tant son frère, Sam s'approcha et retourna la couverture du magasine.
-Hey ! protesta Dean.
-« Tout sur Miss Wisconsin ? » se moqua Sam. Je comprends pourquoi ça avait l'air de te plaire autant.
Dean haussa les épaules et dit alors pour sa défense :
-Il y a de très belles photos d'elle ! Et puis elle est très intelligente. Elle dit vouloir « la paix dans le monde ! » C'est tout à fait mon style!
-Elles disent toute ça Dean ! informa Sam en mettant un tee-shirt.
L'aîné des deux frère fit donc un sourire satisfait et assura en reposant les yeux sur le magasine :
-Alors elles sont toutes mon style ! Je paris que Miss Wisconsin finira Miss Etat Unis ! Elle a tout ce qu'il faut pour !
-Depuis quand tu t'intéresse à ce genre de truc ?
-Depuis que je suis mourrant. Répondit-il aussitôt.
-Ca répond pas à ma question ! fit Sam en levant les yeux au ciel, exaspéré par cette réponse qui revenait trop souvent à son goût.
Là, Dean se leva et montra la couverture du magasine en s'exclamant avec un large sourire :
-Je cherche à deviner qui sera Miss Etat Unis Sammy !
-Pourquoi ? Tu veux présenter l'émission ? se moqua-t-il.
-Oh non Sammy ! répondit ce dernier, sans arrêter de sourire. Je veux me taper Miss Etat Unis !
-C'est une blague ? fit son frère en se mettant à rire.
Légèrement vexé, Dean assura :
-Ce sera le chef d'oeuvre de ma vie ! Me faire la plus canon des femme de tout ce pays !
-Bonne chance ! se contenta de dire Sam, qui ne savait plus trop quoi penser de son excentrique de frère. Mais en attendant, on est AUSSI là pour l'affaire ! Tu te souviens de l'affaire ?
Dean fixait toujours la photo comme s'il imaginait déjà la façon avec laquelle il draguerait « Lucy Crawford ».
-Dean !répéta alors Sam pour ramener son frère à la réalité.
-Euh Oui ! fit le jeune homme en relevant subitement la tête. L'affaire c'est…le taux élevé de mortalité des mariées !
-Tu as trouvé des renseignement entre deux pages du magasine ?
Dean se dirigea donc vers la table et tourna l'écran de l'ordinateur portable en direction de Sam. Il avait entre temps repris un air sérieux. Le regard légèrement triste et compatissant il informa :
-3 ce mois-ci. Toute de la même mort.
-Quelle genre ? demanda Sam.
Le grand frère le regarda droit dans les yeux et répondit :
-Elle sont tombées, leur bouches ont commencé à saigner…elle sont mortes.
-Les médecins…commença Sam.
-Pensent que c'est surnaturel…
-Ils ont dit ça ? s'étonna le jeune homme.
-Non Sammy ! Mais vu qu'ils n'ont rien trouvé, il le pensent forcement…et ils ont sans doute raison
