Titre: Qui est le coupable? Je n'ai pas trouvé mieux mais si vous avez des idées vous pourrez m'aider.

Disclaimer: Vous connaissez le proprio des persos. Masashi Kishimoto.

Résumé: Je suis un retraité de la police et il faut encore que je joue les héros, galère...

Note: C'est ma première histoire policière. J'accepte les critiques et les compliments. Avec les critiques, vous pouvez mettre les erreurs que j'ai faite? Cela me permettra de régler. (enfin j'essaierai).

Bonne lecture!!

Je suis Nara Shikamaru. Ancien policier de la brigade anti-criminels de la ville de Konoha. J'ai la vingtaine, les cheveux que je qualifierais d'un ananas et j'ai toujours l'air flemmard. Enfin, c'est ce que disais mon patron. J'ai résolu des dizaines d'affaires parlant de viol, d'agression, de meurtre et d'importation de cocaïne. Mais j'ai du arrêté car j'étais trop populaire. Je n'aime pas être le centre de l'attention. Je suis du genre à me sacrifier pour un oreiller et à réfléchir aussi vite que Hercule Poirot. J'ai 200 points en QI ce qui n'est pas surprenant vu que je les hérite de ma famille. En ce moment, je fais marcher un bar et je m'y plaisais dans ce boulot.

Je marchais en direction de mon appartement. J'ouvris la porte avec ma carte d'accès et montai les marches jusque devant ma porte. Dès que je franchis le seuil, un missile blond se jeta sur moi.

-Coucou mon Shika d'amour!!!!

Temari Sabaku. Jolie bombe blonde pour les pervers et simple belle et jeune fille pour moi. Elle a un fort caractère et un bon caractère. J'explique: d'un côté elle est aussi furieuse que le serai une démone et de l'autre côté elle peut être aussi douce qu'un agneau. Elle est professeur de français et c'était d'ailleurs dans un lycée que j'ai du la rencontrer au cours d'une disparition d'un élève. La suite, je ne vais pas vous la raconter en détails.

Je l'embrassais sur le front, la souleva et la pris dans mes bras. Nous nous affalâmes sur le canapé du salon. Puis, Temari me sorti des paroles de sa bouche.

-J'ai eu un coup de fil tout à l'heure!!

-Qui c'était?

-C'était mon frère, Kankuro! Tu t'en souviens?

Comment ne pas l'oublier celui-là? Comme un simple hasard, un jour alors que moi et ma petite amie étions en train de chercher un cadeau pour nos un an, un ange est tombé du ciel. Ou plutôt, Kankuro nous est tombé dessus par on ne sait quel miracle comme si Dieu voulait que l'on se voit. Quand il avait reconnu sa sœur, c'était comme si j'étais seul sur une île déserte. Ils avaient commencé à parler de choses qui ne me concernaient pas. J'avais raclé ma gorge pour leur faire savoir que j'existe. Puis nous avions un peu fait connaissance autour d'une table et nous nous sommes quitté. Cela remontait à 3-4 mois. Temari était heureuse de le voir en si bonne forme et voilà que maintenant elle est une bombe à retardement.

-Et qu'est-ce qu'il te voulait?

-Rectification: qu'est-ce qu'il NOUS voulait?!

-Et qu'est-ce qu'il NOUS voulait?

-Il veut nous inviter chez lui aujourd'hui!!! J'ai hâte de les revoir!!!!!!

-"Les"? Il n'habite pas seul?

-Non, enfin, pas encore. Le temps de se trouver un appartement, Gaara reste chez lui!!

-Gaara?! Tu ne m'as jamais parlé de lui!

-... si on allait se préparer??

-...

Soit elle me cache quelque chose, soit ça la dérange de me dire qui est ce type. En tout cas, je ne lui disait rien. Elle me le dirait quand ça lui chanterait.

On s'habilla alors pour sortir. Moi plus lentement comme j'ai l'habitude de le faire. Nous prenions la voiture et Temari me guida vu que je ne suis jamais aller chez le Sabaku. Mais je me demandais qui peut bien être ce Gaara.

Le trajet à duré plus d'une demi-heure. Et pendant tout ce trajet, c'était Temari qui conduisait vu que j'ai tendance à m'endormir. Nous arrivâmes enfin. Nous descendions de la voiture et avancions jusque devant la demeure du frère de la blonde.

Soudain, elle s'arrêta à mi-chemin de la porte. Je fis de même et regardais attentivement. La dite porte était bizarrement entrouverte. Je mis un pas après l'autre jusqu'à ce que je sois arriver. Temari me suivais, paniquée. J'observai la poignée qui a été forcée. Je l'ouvris doucement et entra dans la maison suivit de ma petite amie. J'apercevais des livres dans tous coins, déchirés, éparpillés. A mon avis, nous étions dans le salon. Le canapé était renversé, l'étagère qui rangeait les livres avait basculé par terre, la télévision était cassée. Enfin, que s'était-il passé?

Temari, elle, resta en retrait. Elle ne disait rien, ne bougeait pas. Elle restait immobile sur place devant ce désastre. Je vis des larmes couler sur ses joues.

-Que... Qu'est-ce qui s'est passé?

-... je n'en sais rien Tem...

Je m'arrêtai soudain de parler. J'avais entendu un bruit de pot cassé à ma gauche. J'avançais prudemment. Temari paniquait et n'osait bouger car je le lui ai demandé. Si j'avais bien entendu, ce bruit provenait de la pièce qui se trouvait juste devant moi. J'hésite à entrer car la porte était déjà ouverte mais je prit mon sang-froid et fit un pas en avant. Tout à coup, on me frappa à la tête et je tomba lourdement au sol. Mais je ne m'évanoui pas pour autant: j'ai la tête dure. Je fit un croche pied à mon adversaire qui trouva à son tour le carrelage. Je lui prit le col de sa veste et m'apprêtai à lui donner un coup de poing quand j'entendis Temari me supplier d'arrêter. J'observe plus attentivement mon agresseur qui n'est autre que...