Hello à tous :DD

Voici ma première FanFics Yaoi de FMA et j'en suis pour l'instant très fière même si elle sort de mon esprit tordu et pervers.

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent point [malheureusement], je ne fais que les emprunter à mademoiselle Arakawa [pour les torturer niark, niark *se prends une brique dans la gueule*]

Rated : K [M à veniir xP]

Enjoy~ RoyEd

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Chapitre 1 : Un soir de pluie

Depuis 2 jours, tout était redevenu absolument normal à Central City.

Plus d'hommonculus, plus de menace, plus rien. La paix parfaite en ce soir de pluie.

Il était environ 23h00 et la pluie ne cessait de tomber sur les trotoires.

Mais soudain, au tournant d'une rue, une tête blonde emmergea tant bien que mal au dessus des parapluies.

Edward

Oooh mais bon sang c'est par où ??!

Il pouvait pas habiter dans une rue moins paumée ce con ?! Mais ...

Ce con ... j'espére qu'il va bien ; ça fait trois jours que j'le cherche et impossible de le trouver

Je m'arrêtais d'un coup, au milieu du trotoire.

Je serrai contre moi mon sweat-shirt, pas spécialement parce que j'avais froid (même si c'était vrai) mais pour m'empêcher de pleurer.

Faut pas que je pleure, j'aurai vraiment l'air con quand je l'aurai retrouvé

Je repartais en courant encore, même si j'étais à bout de force et que mes larmes voulaient à tout prix sortir. Et tout d'un coup, je m'arrêtais.

Je tournais ma tête vers un panneau. Rue des Mimosa (1). C'est dans cette rue, c'est là, c'est là. Je répetais sans cesse dans ma tête "c'est là, c'est là".

Je couru encore et encore, jusqu'à passer devant une maison. Je m'y arrêta. Numéro 24. Mustang.

Je sonnais et fixai le nom de famille sur la petite plaque à gauche de la porte. Pas de réponse. Je sonnais une deuxième et une troisième fois.

Toujours pas de réponse. Je réprimais un sanglot et me retourna pour partir quand j'entendis la porte s'ouvrir.

Mon coeur s'arrêta quand j'entendis une voix d'homme douce et rassurante murmurer :

- Edward ... ?

Je ne réfléchi plus et me jetta dans les bras de Mustang, laissant mes larmes aller là où elles voulaient, laissant mes épaules tressauter tandis que je m'accrochais à sa chemise, la tête enfouie dedans. Je pus entendre à travers mes sanglots qu'il refermait la porte en murmurant un "mon dieu".

Ses bras m'enlaçèrent les épaules et me soulevèrent légèrement, pour qu'il puisse poser un baiser sur le dessus de ma tête.

- Aller, arrête de pleurer, murmura-t-il et son souffle dans mes cheveux me fit rougir

Mes sanglots se calmèrent petit à petit, et je commançais seulement à réaliser où j'étais vraiment.

Dans ses bras ... je suis dans ses bras ! Dans les bras de Mustang

Cette pensée me fit rougir encore plus. Je m'efforçais de reculer un peu et de lacher sa chemise. Lui, ne me lacha pas les épaules mais son étreinte se desserra un peu. Je leva vers lui mes yeux surement rouges d'avoir pleurer, et je croisa son regard onyx qui me fixais. Je ne crois pas vraiment que la teinte pivoine m'aille bien mais c'est pourtant la couleur qu'arboraient mes joues à ce moment là. Un petit sourire s'afficha sur la figure de Mustang, du à ma gêne.

Je voyais bien qu'il se retenai de rire.

- Vous marrez pas comme ça, bâtard ..., soufflai-je, dire que je ...

- Que quoi ?, demanda-t-il en me carressant affectueusement le dessus de la tête avec un sourire béat, signe qu'il s'efforçais de ne pas rire.

- Dire que je vous cherche partout depuis deux jours ! Vous pouviez pas reste en place, bordel ?! Moi, je me suis vraiment inquiété, je ...

Je fus stoppé net par le geste qu'il fit. Sa main c'était reposée sur ma tête et il me carressait encore les cheveux.

- Hé ! Je suis pas un p'tit chien, protestais-je

- Oh mais si ! Un petit chien de l'armée tout trempé qui va rester sagement là pendant que je vais chercher de quoi le sêcher, dit-il avec malice avant de monter à l'étage

- Je suis pas petit !, grognais-je avant que mon regard se tourna vers un miroir et que je puisse me rendre compte de mon état.

Ma 'merveilleuse teinte' rouge était toujours là mais commençais à s'estomper, j'avais les vêtements et les cheveux trempés. Une serviette posée sur ma tête me tira de ma rêverie.

- Aller, va te sêcher, me dit Mustang en me poussant doucement vers le salon, devant un feu de cheminée.

Décidement, il aime le feu

Je m'assis devant les flammes et regarda les vêtements qu'il m'avait donnés. Un t-shirt et un caleçon à lui.

- T'en fait pas je l'ai jamais mis, me dit-il (en voulant parler du caleçon), ce qui me fis rougir encore.

Il reparti je ne sais où pour me laisser me changer et mettre mes vêtements mouillés à sêcher devant le feu. Je m'apperçu qu'il était revenu quand je sentis deux mains me frictionner les cheveux avec la serviette. Involontairement, il me tira une mêche.

- Aie !

- Désolé, j'ai pas l'habitude des cheveux longs ...

- ...

- 'Va falloir que je t'heberge. Vu le temps, j'ai pas le choix, et ça me ferrai de la peine de laisser un petit chien sous la pluie, dit-il avec son sourire sadique habituel

- Je suis pas un chien et encore moins un PETIT chien !!, ronchonnais-je

- Te vexe pas, c'est mignon les chiens. Surtout les PETITS chiens ... perdus et mouillés.

Je rougis encore à cette phrase mais ne répliqua pas, trop fatigué. Mustang avait préparé une couverture, et vu comme je tremblais de froid, j'allais passer la nuit devant le feu.

En repensant aux évenements de ces deux derniers jours (2), je ne pus m'empêcher d'être triste et en même temps heureux. Mais maintenant, j'avais peur, parce que je me rendais compte à quel point ma vie a été dure jusque là, et à ne penser qu'au bonheur et à la vie des autres, on finit par avoir trop à perdre.

J'avais encore froid de la douche glacée que j'avais pris dehors et je tremblais de tout mes membres. Il le vit et passa ses bras autour de moi.

Roy

Si seulement tu pouvais être aussi calme tout le temps ...

Pour la deuxième fois de la soirée, il se retrouva dans mes bras.

- Bon, maintenant que tout est fini, qu'est-ce que tu vas faire ?, lui murmurais-je en le serrant plus fort contre moi

- Je ne sais pas. Je pensais quitter l'armée mais je crois que en fin de compte, c'est pas mal.

- Ah. Tu pensais que c'était différent, avant ?

- Oui. Tout compte fait, l'armée n'est pas si mauvaise que ça. Même si elle a pas mal de glandeurs dans ses bureaux., ajouta-t-il, rien que pour m'insulter indirectement

- Décidement, tu ne changera jamais.

- Je sais ...

Il bailla, mort de fatigue et je me résigna à le lacher. Je n'arrêtais pas pour autant de le fixer, sentant mon regard, il detournais la tête, tout en virant au cramoisi.

Il était vraiment trop mignon. Mais encore plus quand il est en colère, pensais-je en le regardant s'allonger sur les couvertures. Je le recouvrais un peu, et ne pus m'empêcher de sourire. Trop mignon.

- Qu'est-ce qui vous fait rire ?, demanda-t-il en me fixant avec un regard aussi noir qu'il put

- Toi.

- Pourquoi ?

- Pour rien. Dors., répondais-je

Alors, Roy ? T'as pas envie de rester avec lui ?,me lança une petite voix dans ma tête alors que je pensais à allez me coucher dans ma chambre, à l'étage

Bon, toi je t'ai pas sonné, saletée de conscience

Ouioui, je me tais

Je sortais de mon dialogue idiot avec ma propre conscience et je vis qu'il était sur le point de s'endormir. Je lui carressait affectueusement la tête et le laissai sombrer dans ses rêves qui l'attirais de plus en plus.

Au beau milieu de la nuit, j'entendis des bruits en bas. Edward s'étais levé ? Je descendis précipitament de mon lit et me depêcha d'aller voir.

Arrivé en haut des escaliers, j'entendis une respiration bruyante, comme quelqu'un après s'est réveillé en surstaut. Edward. Je le rejoignait et il se retourna, les yeux rouges. Il avait encore pleuré. Je m'assis à côté de lui, hésitant à le prendre dans mes bras, mais j'en mourrais d'envie.

Bah alors, qu'est ce que t'attends ??

Encore toi ? La ferme

Allez, prends-le dans tes bras, il attend que ça !

Oh mais la ferme !!

T'es chiant, Roy, soit honnête avec toi !

Laisse moi

- Un cauchemar, hein ?, murmurais-je avec un sourire

Il se recoucha en bafouillant des excuses. Vraiment trop chou. J'attendis qu'il se soit endormi pour m'allonger près de lui, écoutant attentivement sa respiration douce et régulière, en caressant des yeux la courbe de sa joue, de son oreille (3), en me retenant de fourrer le nez dans ses cheveux.

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(1) : Pardon, j'ai rien trouvé d'autre xD

(2) : J'ai la flemme de raconter. Jvais faire un résumé : l'armée s'est battue contre les Hommonculus et ont gagnés. Edward à tué Envy, qui lui a demander pardon avant de mourir. Hum ... ça vous va ??

(3) : Roy est allongé derrière Ed, alors il ne le voit que à peu près de dos

Ed : Vous avez pas bientôt fini de me transformer en pleurnichard dans vos Fics ?

Lilou : Désolééée... je promet de plus le faire !

Ed : T'as intêret

Roy *qui s'incuste* : Tu pourrai pas me faire sortir avec une belle femme dans le prochain chapitre*

Lilou : On verra, on verra !

Roy : Merciii ^^