Bijour petit lecteur lubrique !

Je te laisse découvrir ce petit quelque chose écrit il y a près d'un an, sur base de la chanson « Il y a ton sourire » de Damien Saez.

Quand j'ai entendu cette chanson, j'ai pensé à Harry et Draco et pis voilà…

J'ai mixé les paroles, raboté de-ci de-là et fait des ajouts pour compléter le tout.

D'un bond leste il s'assit sur son bureau et alluma une cigarette. Dans la première volute blanche, la remontée des souvenirs.

Des ombres dansantes dans ses yeux voilés de deux corps qui se sont aimés.

Il a fallu choisir nos routes

Alors on a choisis la pluie

Acide à s'en brûler le cœur

Mais rien ne fini l'infini

Leur rencontre dans ce magasin et la chemin d'une relation qui ne leur appartenait pas. Qui ne leur avait jamais appartenue. Tout avait été décidé à leur place. A coups de « parce que », de « il faut » et de contraintes idéologistes. Il aurait été impensable que l'Élu et le fils du plus fidèle Mangemort soient amis.

Et rien n'arrêtera la lutte

Rien ne sèchera cette pluie

Rien de desserrera ces points

Car rien ne fini l'infini

Une pluie de coups, un flot de mots.

Ça les dépassait. Trop grand, trop lourd, trop grave pour des enfants qui grandirent dans ce conflit.

Il y a le vent de nos sanglots

Qui souffle pour une amnistie

Puis tes yeux qui me tuent

Quand tu me dis que c'est fini

Sous les mots des maux. Sous les coups une requête. Sous la violence un besoin.

Des prières silencieuses à la dérive de l'immuable souffrance de cette hargne qui n'était pas la leur.

Au fond des cachots sombres flottait dans l'air la symphonie d'un « J'ai mal, Harry. » quand dans une tour venteuse, la brise emportait avec elle des « Draco, je n'en peux plus. »

Et ton sourire qui se lève

Comme une lueur d'espoir

Au milieu de cette guerre

Qu'on oublie dès ce soir

Un jour, Harry n'a pas riposté. Un autre jour, il a sourit à Draco. Et un autre jour encore il l'a prit dans ses bras. A moins que ce soit Draco qui ne lui ai tendu la main ? Qu'importe, le pas était fait.

Je viens de l'ombre et tu te bats pour la lumière

Mais ça ne compte plus,

L'amour n'a pas de couleur sur Terre.

S'ils avaient su…

- « Haa-a-rry ! Je-je t'aaa-ime ! » siffla Draco en s'agrippant aux draps.

Plus rien ne desserrera nos mains

Notre amour vaincra, c'est certain

Et rien n'éteindra ce lien éternel.

Né d'une obsession charnelle

Car tous les chemins mènent à tes yeux,

Qui d'une œillade me rendent audacieux

Et tous les chemins mènent à la fuite

Malgré leur poursuite.

Ces yeux, où je me perd comme englouti par la vaste forêt qui y vit. Ces yeux où je me noie, comme avalé par ces eaux troubles. Ces yeux qui me désirent comme je désire celui qui a ses yeux.

Pour ces yeux, rien n'est trop fou, rien n'est trop grand. Pour ces yeux pour notre amour.

Qu'importe le chemin, nous forcerons le destin

Puis nous percerons les mystères

J'avais juste besoin de cette main

Pour changer d'atmosphère.

Il n'y a que toi qui m'aies ouvert les bras il n'y a que toi qui ne m'aies jamais compris. Il n'y a que toi, et le son de ta voix.

Jamais je ne serrais devenu cet homme là si je n'avais pu suivre l 'élan l'impulsion, le souffle de vie que tu m'as insufflé entre tes lèvres.

Il n'y a pas les lois de l'Empire

Et plus de guerre dans notre histoire

Il y avait le meilleur et le pire

Au milieu de notre trajectoire

Qu'importe leurs opinions perverties ils ne savent pas mon Amour.

Je ne sais pas quoi en penser, c'est spécial.

Il y a quelque chose à pas jeter dedans je pense mais j'ai l'impression qu'il manque une pièce au puzzle… Une idée ? Un avis ?

Bref bref, à peluche pour d'autres petites choses plus récentes porte toi bien petit lecteur ^‿^