Bonjour !

J'en produis beaucoup des OS en ce moment. Je m'entraîne, je m'entraîne à écrire des chapitres plus courts aussi !

Je voulais écrire sur Doflamingo, qui est à n'en pas douter, mon méchant préféré dans One Piece. Je ne sais pas, je trouve qu'il sort du lot. Je l'adore, je l'aime, je veux lui faire des câlins !

Doflamingo : J'ai entendu et je prends note ! Fufufu !

IIT : Argl ! NON ! Bonne lecture !

One Piece, ses personnages et son Univers appartiennent à Oda !


Flying Bird

Doflamingo


Loin dans le ciel, il était libre. Il pouvait voler, sans se soucier des autres. Ressassait-il ses souvenirs alors que le soleil caressait sa peau déjà bien hâlée ? Se souvenait-il de ses jours d'enfance bénie, passés dans les bras de sa mère à Marie-Joie Se souvenait-il des rires de son petit-frère ?

De ses pleurs aussi peut-être ?

Tout cela en même temps ?

Loin, là-haut, à des kilomètres de la terre et de la mer, perdu entre deux infinis bleutés, entre deux mondes où il ne trouvait pas sa place, à quoi pouvait-il bien penser?

Lui, le démon céleste, Tenyasha, celui qui faisait trembler à l'évocation de son nom, lui qui n'avait de temps à perdre avec rien ni personne.

Celui qui voulait le pouvoir et qui l'obtenait par la force.

Lui qui avait tout.

Qui avait tout perdu.

Et qui avait dû tout reconstruire à partir de cendres encore chaudes et fumantes.

Il n'avait rien de bon semble-t-il. Mais était-il la noirceur incarnée ? Lui, le démon céleste.

Etendant ses bras et ses jambes, il ferma les yeux et se laissa planer longuement, poussé par le vent, se sentant glisser comme dans un rêve.

Loin dans le ciel, il était libre. Il pouvait voler en se remémorant son passé, en se demandant ce qu'il aurait pu changer ou améliorer.

Loin, là-haut, il pouvait danser avec les nuages, prétendre que c'était des personnes, il pouvait s'exprimer, être lui-même.

Loin, là-haut, tout là-haut…

A la rencontre entre terre et mer…

A la limite de l'horizon.

Il ressemblait à un ange à qui on aurait arraché ses ailes.

Là-haut…

Doflamingo pleurait peut-être, qui sait ?

Pleurait-il la mort de son frère ?

La vie qu'il n'avait jamais eue ?

Ou alors était-ce son œil gauche, partiellement aveugle qui lui faisait défaut ?

Là-haut, tout là-haut, au-dessus des nuages, au-dessus de la mer.

Là où il pouvait toucher les ailes des oiseaux…

Doflamingo était lui, enfin.


Ai-je toujours besoin de déclarer mon amour à cet emplumé ?

Hm... Oui. Oui, encore et toujours !

Vous avez aimé ? J'espère, parce que j'ai adoré l'écrire !

Allez, poutoux les p'tits loups ! Dofla vous embrasse !