Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à J.K.Rowling ou à Stan Lee
de Marvel. Aucun argent n'est fait sur cette histoire, celle-ci a pour but
que de divertir.
Je sais vous aller me dire mais il est fou ma parole, un crossover entre HP et X-MEN. Ne vous inquiétez pas j'ai encore toute ma tête, pour l'instant.
Ceci est un essai, et si les critiques sont virulentes, je m'abstiendrai de continuer quoique. Je pense me donner deux chapitres avent de me décider. De toute façon, cette fic sera bien plus petite que mes autres.
Donner moi votre avis sur le premier chapitre, et surtout si ce genre de fic décalé, moins sérieuse que les autres a une place auprès des lecteurs.
Merci, et bonne lecture
Chapitre 1 : Une rencontre bizarre.
Cela faisait à présent deux semaines que Harry Potter était de retour au 4 Privet Drive. Deux semaines qu'il n'avait plus de contact avec son monde, et encore moins avec ses amis. En effet, pour des raisons de sécurité, le professeur Dumbledore avait interdit à Harry le lendemain de son retour, de rentrer en rentrer en contact avec ses amis à cause des risques que cela engendrait. Pour son plus grand malheur, Voldemort faisait des siennes, et les attaques commençaient à augmenter, ce qui avait eut comme résultat la décision de Dumbledore pour la sécurité de Harry. Bien évidemment, celui-ci n'était pas d'accord avec cela, mais le directeur avait été intransigeant.
En plus de cela, les Dursley le laissait sortir de sa chambre que le matin et le soir afin de satisfaire ses besoins naturels et sa toilette. Les barreaux avaient été remis à la fenêtre, et les maigres provisions que sa tante lui donnait n'auraient pas suffit à un moineau. Cette isolation forcée eut le seul mérite de permettre au jeune sorcier de travaillé ses devoirs et ses cours des années précédentes, en prévision des BUSES qu'il allait passer en fin de cinquième année. Cela lui permettait aussi de moins pensé aux évènements de l'année, c'est-à-dire le tournoi des trois sorciers et sa funeste fin, ainsi qu'à son malheur actuel.
Le seul problème que Harry avait, sans prendre en compte ses horribles cauchemars, était l'oncle Vernon. Pour des raisons obscures, au bout de une semaine, il commença à s'acharner sur le pauvre garçon sans réelle raison apparente. Harry essaya de résister au début, mais son oncle était bien plus fort et surtout plus lourd que lui. Le combat était perdu d'avance. Pendant près d'une semaine, Harry fut donc battus par son oncle, tous les soirs. Au bout d'une semaine de ce traitement, Harry était dans un sale état, tant et si bien qu'il ne savait pas s'il allait supporter cela plus longtemps. Il ne pouvait pas faire de la magie de peur d'être renvoyé de Poudlard, même si pour lui les circonstances étaient avec lui. Malheureusement, avec l'incapable de Fudges comme ministre de la magie, il ne voulait pas courir le moindre risque. Pour cette raison, il ne faisait rien, à la grande joie de son oncle. Il essayait de résister sans magie, mais peu à peu il perdait le peu de force qu'il lui restait. Malgré cela, il avait terminé ses devoirs de vacances et continuait à étudier difficilement, cela était la seule occupation qu'il avait.
Malheureusement, le soir du 15 juillet fut des plus catastrophique. Son oncle avait eut la main encore plus lourde que les autres soirs. Il venait de perdre un gros contrat, et voulait se défouler sur Harry. D'ailleurs selon lui, il était le responsable. Le résultat fut catastrophique pour Harry. Il avait des marques sur la figure, ainsi que sur une grande partie de son corps. Il devait avoir plusieurs côtes fêlées ou cassées. La seul chose de positif était que ses membres semblaient avoir été épargnés. Une fois son oncle partit, il s'allongea le mieux qu'il le pouvait sur son misérable lit ( un vieux matelas de Dudley à même le sol) et essaya de trouver le repos qui le soulagerait pour la nuit. Espérant par la même occasion de ne pas faire un horrible cauchemar. Il ferma les yeux et s'endormit comme une masse presque aussitôt.
Une heure plus tard, on le tira de son sommeil à coup de claques puis de poings sur la figure et à nouveau sur le thorax. Les côtes pas encore cassées, l'étaient à présent. Il ouvrit les yeux et vit Vernon.
« Cela t'apprendra à hurler à la mort dans ton sommeil, et de réveiller les honnêtes gens qui ont besoin de repos après une dure journée de labeur. Mais les individus comme toi, vous vous en fichez de cela. » dit-il en assénant un coup de pied dans le ventre d'Harry.
Il regarda le corps presque inerte du jeune garçon qui n'arrivait même plus à bouger. Il sourit de satisfaction avant de sortir de la chambre de son neveu en claquant la porte et en la fermant à clef. Harry essaya de se rallonger, mais il avait de plus en plus mal aux côtes principalement. Non seulement, Voldemort lui faisait avoir des cauchemars horribles, mais son oncle en profitait pour le battre encore plus. Harry ne savait plus quoi faire. Quelques jours de plus comme cela, et le monde serait débarrassé de Harry Potter, le survivant. Il en était de plus en plus persuadé. D'ailleurs, s'il réussissait à échapper à son oncle, il devrait encore échapper à Voldemort, et à son armée de mangemorts et de détraqueurs, car ceux-ci venaient de le rejoindre, il l'avait assisté durant son sommeil à l'attaque d'Azkaban. Il pensait aux moyens lui permettant de partir et de se reposer lorsque quelque chose attira son attention dans la pièce. N'ayant pas ses lunettes, il voyait trouble. Il les chercha à l'aide de sa main droite et les posa sur sa tête, en essayant de ne pas se faire mal. Ce qu'il vit le secoua. Une jeune fille, qui devait avoir à peu près le même age que lui, peut-être un peu plus était dans sa chambre, enfin pas entièrement. Une partie de son corps était dans sa chambre mais pas le reste. Elle lui fit un signe et entra entièrement dans la chambre, en passant par le mur.
« Salut » lui dit-elle « Tu peux m'appeler Kitty »
Harry toujours autant surpris par cette visite, essaya de lui faire un signe de la main qui lui fit ressentir une certaine douleur.
Quelques minutes plutôt, un drôle d'engin volant, style avion militaire secret, survola le quartier résidentiel de Privet Drive. A son bord 4 personnes pas tout à fait comme les autres, semblaient chercher quelque chose. Quelque chose de précis et en même temps totalement inconnu.
« Professeur vous êtes certain que c'est ici ? » demanda une jeune femme rousse à un homme qui était en communication avec elle.
« Oui Jean c'est ici. Le signal inconnu a réapparu, il y a une trentaine de minutes et a depuis à nouveau disparu mais j'ai réussi à garder le contact avec cette personne. Je te donne les coordonnées exactes. Ne vous trompez pas de maison comme cela est déjà arrivé » déclara l'homme avec ironie en évoquant une affaire assez récente.
« Ne vous inquiétez pas professeur, nous allons envoyer Kitty même si cela est risqué avant d'intervenir réellement. » déclara un autre homme pas très content de l'allusion du professeur.
« Très bien, mais je suis contrains de garder le contact avec l'autre dispositif, car il semble que celui-ci soit perturbé par des ondes inconnues. » dit-il, alors que la transmission devenait de plus en plus saccadée. Les interférences avaient débuté dès leur arrivé à Privet Drive et devenaient de plus en plus importantes.
Il était minuit passé, et personne dans le quartier n'était à sa fenêtre, et donc personne ne vit l'étrange appareil se positionner au niveau du numéro 4 du quartier. Une jeune fille en sortie en passant au travers du vaisseau et entra dans l'une des chambres en passant directement à travers le mur. Elle se trouvait dans une chambre remplie de jouets, de vêtements et d'autres affaires, appartenant sûrement à la baleine échouée sur un lit qui dormait à point fermé.
« Je ne pense pas que cela soit la bonne chambre » dit-elle dans son esprit
Cela ne la perturba pas que quelqu'un lui répondit directement dans son esprit.
« Tu as raison Kitty essaye la chambre voisine »
Elle sortit donc de la chambre par un autre mur et pénétra dans une chambre plus petite remplie d'objets en tout genre complètement cassés. Elle allait ressortirent lorsqu'elle vit quelque chose bougé près du sol. Elle entra donc et découvrit presque à même le sol un garçon. Elle ne pouvait pas évaluer à ce moment son age, mais elle remarqua qu'il avait l'air blessé.
Ne sachant pas quoi faire devant ce garçon qui la regardait à présent, elle en parla aux autres.
« Dit lui que nous sommes là pour l'aider, rassure le Kitty » lui dit le professeur par la pensée avant de demander à Scott et Jean d'y aller également. De toute évidence, il était la source qu'il avait repérée depuis plusieurs jours et qui l'intriguait énormément. Maintenant il savait pourquoi, il avait sentit de la peur, de la tristesse et de la souffrance lors de ses différents contacts. Il ne serait pas intervenu s'il avait été quelqu'un de normal, mais de toute évidence, même s'il n'en avait pas entièrement la preuve, ce garçon n'était pas tout à fait normal et surtout avait plusieurs problèmes, le principal étant sa famille. Pour ces raisons, le professeur ne voulait pas le laisser dans le mal.
Kitty le salua et à la grande surprise de Harry fit entrer deux autres personnes, un homme et une femme. Harry remarqua alors pour la première fois les habits des trois inconnus. Ils portaient tous les trois des costumes sombres avec comme point commun un x en argent comme boucle de ceinture. Il remarqua aussi les étranges lunettes que portait l'homme. Il les détailla entièrement du regard avant de grimacer de douleur. Ses côtes bougèrent légèrement sous l'action d'un faux mouvement. Les trois personnes dans la pièce s'en rendirent compte, et la seconde femme alla voir comment il allait. Malgré l'obscurité de la pièce, elle remarqua ses blessures sur sa figure, se demandant comment quelqu'un pouvait être aussi brutal. Elle l'ausculta ensuite rapidement tandis que les autres observaient la chambre. Deux choses sautèrent à leurs yeux, tout d'abord les barreaux et la trappe de la porte comme si cette chambre était une cellule et les objets qui s'y trouvaient. Ils étaient tous cassés et inutilisables, tous sauf une malle et une cage où ils virent un oiseau qui les observait. Au moment où Jean s'approcha plus de Harry pour observer ses blessures, à la surprise de tous, l'oiseau réagit et bougea énergiquement dans sa cage. Les trois personnes ne savaient pas quoi faire, surtout que les cries de l'oiseau allaient réveiller le reste des occupants de la maison. C'est exactement ce qu'il se passa, et à peine 30 secondes plus tard, ce fut un Vernon encore plus en colère qui entra en trombe dans la pièce.
« TU VAS FAIRE TAIRE CET OI.. » cria-t-il avant de s'arrêter en voyant les trois inconnus dans sa maison « Que faites-vous là » demanda-t-il moins fort car de toute évidence ses personnes n'étaient sûrement pas normal.
« Cela n'a pas d'importance, c'est vous qui êtes responsable de cela » lui demanda Scott en montra Harry
Son oncle ravala sa salive, il pensait pourtant que Harry ne pouvait pas communiquer avec ses semblables, et donc qu'il était tranquille. Il se rendit compte qu'il s'était trompé. Il reprit contenance, en réalisant que les trois personnes étant relativement jeunes, il pensait pouvoir faire plus le poids que face à quelqu'un comme M. Weasley.
« Je fais ce qu'il me plaît dans ma maison et ce n'est pas quelqu'un comme vous qui allez m'expliquer comment éduquer cette ignominie. »
Scott releva avec étonnement deux mots en particuliers, quelqu'un et ignominie. Il avait souvent entendu des mots aussi violents par rapport à son statut et celui des autres. Il sentit sa colère augmenter et fort heureusement, le professeur lui demanda de se calmer toujours par la pensée.
« Nous l'emmenons avec nous, de toute évidence, il n'est pas en sécurité ici avec vous. » déclara-t-il à un Vernon qui le regardait avec un regard de plus en plus suspicieux.
« Très bien, qu'il parte avec vous, qu'il aille avec ses semblables, lui et son anormalité. »
Ce fut la goutte de trop, et Scott ne parvint pas à se calmer, se tourna vers la fenêtre et lança une rafale optique qui pulvérisa les barreaux, devant les regards, étonné de Harry et peureux de Vernon, qui s'était ratatiné tout d'un coup.
« Vous avez de la chance que nous sommes pressés car sinon je vous aurais montré de quoi je suis capable. »
Sur ce il dit à Jean qu'il était temps de partir avant de provoquer plus de problème. Jean fit léviter Harry qui voyant qu'on le déplaçait vers la fenêtre dirigea son bras vers l'endroit où se trouvait sa chouette et sa malle, avant de tomber dans l'inconscience. La douleur avait eut raison de lui.
Jean d'abord surprise, réalisa ce qu'il désignait et comprit que c'était sûrement ses seules affaires et les fit léviter de la même façon. Quelques secondes plus tard, ils étaient tous de retour dans l'appareil, qui quitta aussitôt Privet Drive, pour une destination inconnue de Harry.
Vernon regarda l'engin disparaître, se réjouissant de ne plus avoir son horrible neveu avec lui. Satisfait de cela, il retourna se coucher, malgré la peur que lui avait fait cet étrange personne, qu'il l'avait presque menacé.
Deux heures après le départ de Harry, une étrange troupe d'homme en noir entra dans Privet Drive et se dirigea d'un pas conquérant vers le numéro 4. Quand ils en ressortirent, quelques minutes plus tard, plus aucun son ne sortait de la maison, même pas les ronflements de l'oncle Vernon.
Je sais vous aller me dire mais il est fou ma parole, un crossover entre HP et X-MEN. Ne vous inquiétez pas j'ai encore toute ma tête, pour l'instant.
Ceci est un essai, et si les critiques sont virulentes, je m'abstiendrai de continuer quoique. Je pense me donner deux chapitres avent de me décider. De toute façon, cette fic sera bien plus petite que mes autres.
Donner moi votre avis sur le premier chapitre, et surtout si ce genre de fic décalé, moins sérieuse que les autres a une place auprès des lecteurs.
Merci, et bonne lecture
Chapitre 1 : Une rencontre bizarre.
Cela faisait à présent deux semaines que Harry Potter était de retour au 4 Privet Drive. Deux semaines qu'il n'avait plus de contact avec son monde, et encore moins avec ses amis. En effet, pour des raisons de sécurité, le professeur Dumbledore avait interdit à Harry le lendemain de son retour, de rentrer en rentrer en contact avec ses amis à cause des risques que cela engendrait. Pour son plus grand malheur, Voldemort faisait des siennes, et les attaques commençaient à augmenter, ce qui avait eut comme résultat la décision de Dumbledore pour la sécurité de Harry. Bien évidemment, celui-ci n'était pas d'accord avec cela, mais le directeur avait été intransigeant.
En plus de cela, les Dursley le laissait sortir de sa chambre que le matin et le soir afin de satisfaire ses besoins naturels et sa toilette. Les barreaux avaient été remis à la fenêtre, et les maigres provisions que sa tante lui donnait n'auraient pas suffit à un moineau. Cette isolation forcée eut le seul mérite de permettre au jeune sorcier de travaillé ses devoirs et ses cours des années précédentes, en prévision des BUSES qu'il allait passer en fin de cinquième année. Cela lui permettait aussi de moins pensé aux évènements de l'année, c'est-à-dire le tournoi des trois sorciers et sa funeste fin, ainsi qu'à son malheur actuel.
Le seul problème que Harry avait, sans prendre en compte ses horribles cauchemars, était l'oncle Vernon. Pour des raisons obscures, au bout de une semaine, il commença à s'acharner sur le pauvre garçon sans réelle raison apparente. Harry essaya de résister au début, mais son oncle était bien plus fort et surtout plus lourd que lui. Le combat était perdu d'avance. Pendant près d'une semaine, Harry fut donc battus par son oncle, tous les soirs. Au bout d'une semaine de ce traitement, Harry était dans un sale état, tant et si bien qu'il ne savait pas s'il allait supporter cela plus longtemps. Il ne pouvait pas faire de la magie de peur d'être renvoyé de Poudlard, même si pour lui les circonstances étaient avec lui. Malheureusement, avec l'incapable de Fudges comme ministre de la magie, il ne voulait pas courir le moindre risque. Pour cette raison, il ne faisait rien, à la grande joie de son oncle. Il essayait de résister sans magie, mais peu à peu il perdait le peu de force qu'il lui restait. Malgré cela, il avait terminé ses devoirs de vacances et continuait à étudier difficilement, cela était la seule occupation qu'il avait.
Malheureusement, le soir du 15 juillet fut des plus catastrophique. Son oncle avait eut la main encore plus lourde que les autres soirs. Il venait de perdre un gros contrat, et voulait se défouler sur Harry. D'ailleurs selon lui, il était le responsable. Le résultat fut catastrophique pour Harry. Il avait des marques sur la figure, ainsi que sur une grande partie de son corps. Il devait avoir plusieurs côtes fêlées ou cassées. La seul chose de positif était que ses membres semblaient avoir été épargnés. Une fois son oncle partit, il s'allongea le mieux qu'il le pouvait sur son misérable lit ( un vieux matelas de Dudley à même le sol) et essaya de trouver le repos qui le soulagerait pour la nuit. Espérant par la même occasion de ne pas faire un horrible cauchemar. Il ferma les yeux et s'endormit comme une masse presque aussitôt.
Une heure plus tard, on le tira de son sommeil à coup de claques puis de poings sur la figure et à nouveau sur le thorax. Les côtes pas encore cassées, l'étaient à présent. Il ouvrit les yeux et vit Vernon.
« Cela t'apprendra à hurler à la mort dans ton sommeil, et de réveiller les honnêtes gens qui ont besoin de repos après une dure journée de labeur. Mais les individus comme toi, vous vous en fichez de cela. » dit-il en assénant un coup de pied dans le ventre d'Harry.
Il regarda le corps presque inerte du jeune garçon qui n'arrivait même plus à bouger. Il sourit de satisfaction avant de sortir de la chambre de son neveu en claquant la porte et en la fermant à clef. Harry essaya de se rallonger, mais il avait de plus en plus mal aux côtes principalement. Non seulement, Voldemort lui faisait avoir des cauchemars horribles, mais son oncle en profitait pour le battre encore plus. Harry ne savait plus quoi faire. Quelques jours de plus comme cela, et le monde serait débarrassé de Harry Potter, le survivant. Il en était de plus en plus persuadé. D'ailleurs, s'il réussissait à échapper à son oncle, il devrait encore échapper à Voldemort, et à son armée de mangemorts et de détraqueurs, car ceux-ci venaient de le rejoindre, il l'avait assisté durant son sommeil à l'attaque d'Azkaban. Il pensait aux moyens lui permettant de partir et de se reposer lorsque quelque chose attira son attention dans la pièce. N'ayant pas ses lunettes, il voyait trouble. Il les chercha à l'aide de sa main droite et les posa sur sa tête, en essayant de ne pas se faire mal. Ce qu'il vit le secoua. Une jeune fille, qui devait avoir à peu près le même age que lui, peut-être un peu plus était dans sa chambre, enfin pas entièrement. Une partie de son corps était dans sa chambre mais pas le reste. Elle lui fit un signe et entra entièrement dans la chambre, en passant par le mur.
« Salut » lui dit-elle « Tu peux m'appeler Kitty »
Harry toujours autant surpris par cette visite, essaya de lui faire un signe de la main qui lui fit ressentir une certaine douleur.
Quelques minutes plutôt, un drôle d'engin volant, style avion militaire secret, survola le quartier résidentiel de Privet Drive. A son bord 4 personnes pas tout à fait comme les autres, semblaient chercher quelque chose. Quelque chose de précis et en même temps totalement inconnu.
« Professeur vous êtes certain que c'est ici ? » demanda une jeune femme rousse à un homme qui était en communication avec elle.
« Oui Jean c'est ici. Le signal inconnu a réapparu, il y a une trentaine de minutes et a depuis à nouveau disparu mais j'ai réussi à garder le contact avec cette personne. Je te donne les coordonnées exactes. Ne vous trompez pas de maison comme cela est déjà arrivé » déclara l'homme avec ironie en évoquant une affaire assez récente.
« Ne vous inquiétez pas professeur, nous allons envoyer Kitty même si cela est risqué avant d'intervenir réellement. » déclara un autre homme pas très content de l'allusion du professeur.
« Très bien, mais je suis contrains de garder le contact avec l'autre dispositif, car il semble que celui-ci soit perturbé par des ondes inconnues. » dit-il, alors que la transmission devenait de plus en plus saccadée. Les interférences avaient débuté dès leur arrivé à Privet Drive et devenaient de plus en plus importantes.
Il était minuit passé, et personne dans le quartier n'était à sa fenêtre, et donc personne ne vit l'étrange appareil se positionner au niveau du numéro 4 du quartier. Une jeune fille en sortie en passant au travers du vaisseau et entra dans l'une des chambres en passant directement à travers le mur. Elle se trouvait dans une chambre remplie de jouets, de vêtements et d'autres affaires, appartenant sûrement à la baleine échouée sur un lit qui dormait à point fermé.
« Je ne pense pas que cela soit la bonne chambre » dit-elle dans son esprit
Cela ne la perturba pas que quelqu'un lui répondit directement dans son esprit.
« Tu as raison Kitty essaye la chambre voisine »
Elle sortit donc de la chambre par un autre mur et pénétra dans une chambre plus petite remplie d'objets en tout genre complètement cassés. Elle allait ressortirent lorsqu'elle vit quelque chose bougé près du sol. Elle entra donc et découvrit presque à même le sol un garçon. Elle ne pouvait pas évaluer à ce moment son age, mais elle remarqua qu'il avait l'air blessé.
Ne sachant pas quoi faire devant ce garçon qui la regardait à présent, elle en parla aux autres.
« Dit lui que nous sommes là pour l'aider, rassure le Kitty » lui dit le professeur par la pensée avant de demander à Scott et Jean d'y aller également. De toute évidence, il était la source qu'il avait repérée depuis plusieurs jours et qui l'intriguait énormément. Maintenant il savait pourquoi, il avait sentit de la peur, de la tristesse et de la souffrance lors de ses différents contacts. Il ne serait pas intervenu s'il avait été quelqu'un de normal, mais de toute évidence, même s'il n'en avait pas entièrement la preuve, ce garçon n'était pas tout à fait normal et surtout avait plusieurs problèmes, le principal étant sa famille. Pour ces raisons, le professeur ne voulait pas le laisser dans le mal.
Kitty le salua et à la grande surprise de Harry fit entrer deux autres personnes, un homme et une femme. Harry remarqua alors pour la première fois les habits des trois inconnus. Ils portaient tous les trois des costumes sombres avec comme point commun un x en argent comme boucle de ceinture. Il remarqua aussi les étranges lunettes que portait l'homme. Il les détailla entièrement du regard avant de grimacer de douleur. Ses côtes bougèrent légèrement sous l'action d'un faux mouvement. Les trois personnes dans la pièce s'en rendirent compte, et la seconde femme alla voir comment il allait. Malgré l'obscurité de la pièce, elle remarqua ses blessures sur sa figure, se demandant comment quelqu'un pouvait être aussi brutal. Elle l'ausculta ensuite rapidement tandis que les autres observaient la chambre. Deux choses sautèrent à leurs yeux, tout d'abord les barreaux et la trappe de la porte comme si cette chambre était une cellule et les objets qui s'y trouvaient. Ils étaient tous cassés et inutilisables, tous sauf une malle et une cage où ils virent un oiseau qui les observait. Au moment où Jean s'approcha plus de Harry pour observer ses blessures, à la surprise de tous, l'oiseau réagit et bougea énergiquement dans sa cage. Les trois personnes ne savaient pas quoi faire, surtout que les cries de l'oiseau allaient réveiller le reste des occupants de la maison. C'est exactement ce qu'il se passa, et à peine 30 secondes plus tard, ce fut un Vernon encore plus en colère qui entra en trombe dans la pièce.
« TU VAS FAIRE TAIRE CET OI.. » cria-t-il avant de s'arrêter en voyant les trois inconnus dans sa maison « Que faites-vous là » demanda-t-il moins fort car de toute évidence ses personnes n'étaient sûrement pas normal.
« Cela n'a pas d'importance, c'est vous qui êtes responsable de cela » lui demanda Scott en montra Harry
Son oncle ravala sa salive, il pensait pourtant que Harry ne pouvait pas communiquer avec ses semblables, et donc qu'il était tranquille. Il se rendit compte qu'il s'était trompé. Il reprit contenance, en réalisant que les trois personnes étant relativement jeunes, il pensait pouvoir faire plus le poids que face à quelqu'un comme M. Weasley.
« Je fais ce qu'il me plaît dans ma maison et ce n'est pas quelqu'un comme vous qui allez m'expliquer comment éduquer cette ignominie. »
Scott releva avec étonnement deux mots en particuliers, quelqu'un et ignominie. Il avait souvent entendu des mots aussi violents par rapport à son statut et celui des autres. Il sentit sa colère augmenter et fort heureusement, le professeur lui demanda de se calmer toujours par la pensée.
« Nous l'emmenons avec nous, de toute évidence, il n'est pas en sécurité ici avec vous. » déclara-t-il à un Vernon qui le regardait avec un regard de plus en plus suspicieux.
« Très bien, qu'il parte avec vous, qu'il aille avec ses semblables, lui et son anormalité. »
Ce fut la goutte de trop, et Scott ne parvint pas à se calmer, se tourna vers la fenêtre et lança une rafale optique qui pulvérisa les barreaux, devant les regards, étonné de Harry et peureux de Vernon, qui s'était ratatiné tout d'un coup.
« Vous avez de la chance que nous sommes pressés car sinon je vous aurais montré de quoi je suis capable. »
Sur ce il dit à Jean qu'il était temps de partir avant de provoquer plus de problème. Jean fit léviter Harry qui voyant qu'on le déplaçait vers la fenêtre dirigea son bras vers l'endroit où se trouvait sa chouette et sa malle, avant de tomber dans l'inconscience. La douleur avait eut raison de lui.
Jean d'abord surprise, réalisa ce qu'il désignait et comprit que c'était sûrement ses seules affaires et les fit léviter de la même façon. Quelques secondes plus tard, ils étaient tous de retour dans l'appareil, qui quitta aussitôt Privet Drive, pour une destination inconnue de Harry.
Vernon regarda l'engin disparaître, se réjouissant de ne plus avoir son horrible neveu avec lui. Satisfait de cela, il retourna se coucher, malgré la peur que lui avait fait cet étrange personne, qu'il l'avait presque menacé.
Deux heures après le départ de Harry, une étrange troupe d'homme en noir entra dans Privet Drive et se dirigea d'un pas conquérant vers le numéro 4. Quand ils en ressortirent, quelques minutes plus tard, plus aucun son ne sortait de la maison, même pas les ronflements de l'oncle Vernon.
