Bonjour! Je sais que je n'ai rien écrit sur NCIS depuis un bout de temps, et que j,ai encore beaucouuuuuup de choses à terminer avant de me lancer dans une autre fic (mais je ne crois pas que je vais finir toutes celles que j'ai commencées... désolée) mais j'ai reçu un pm d'Andromeda, qui me disait qu'elle aimait mes One-Shots et me demandait si je pouvais écrire un peu de Tiva... alors voila, bien après l'échéance que je m'étais imposée, je l'ai finalement terminé!
Désolée si l'hébreu n'est pas exact, hein, je ne parle pas cette langue, je l'ai trouvé sur Internet et c'est pas super fiable...
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-Qu'est ce que tu fiches là?
Tony offrit à sa collègue un sourire qui se voulait charmeur, assis sur son bureau, écrasant au passage le clavier de son ordinateur de son derrière.
-Pourrais-tu retirer to arrière-avion-
-Train. Arrière-train, corrigea machinalement l'autre.
- Pardon. Pourrais-tu retirer to arrière-train de mon ordinateur, s'il te plaît, Tony?
Ziva tenta bien de le pousser en bas, mais il était bien trop lourd pour elle. Et puis, elle pourrait briser le clavier.
-Mais je m'ennuie, se plaignit-il. Hé, si tu m'apprenais des phrases en hébreu?
L'agente soupira, se rendant compte qu'il ne bougerait pas de là.
-Bon. Pour dire «Comment vous appelez-vous, il faut dire «ma shimkha».
-M-mah shikmah?
-Ma shimkha.
-Ma s-shimkha.
-Bien. Pour dire «Je m'appelle Tony», tu dois dire : «shemi Tony».
-Shemih Tony.
-Bon, tu connais deux phrases, maintenant, dégage de là! ordonna Ziva, sentant ses joues s'enflammer.
Stupide américain et son stupide accent sexy.
-Mais je suis confortable, là!
-Peut-être serais-tu plus confortable sans tes testicules?
-Heu... Non, je crois que ça va aller... heu... merci quand même...
Sur ce il se leva, de peur de perdre ses bijoux de famille, et probablement sa dignité au passage.
Les jours passèrent, et à chaque soir, l'israélienne était forcée d'apprendre à son coéquipier de nouvelles phrases avant de pouvoir taper son rapport sur un clavier réchauffé par les fesses de Tony.
Deux mois passèrent et Ziva finit par s'habituer au clavier chaud, à l'agaçant enthousiasme de son collègue et à l'occasionnelle tape sur la tête quand Gibbs les surprenait.
C'est un soir, à vingt-trois heures dix-sept très exactement, que la jeune femme, qui s'était endormie sur le canapé de son salon après une dure journée de travail, fut réveillée par des coups à sa porte.
C'est ainsi que l'israélienne décoiffée, aux vêtements froissés et toujours à demi endormie se retrouva face à face avec un italien dans un costume probablement hors de prix, un sourire presque trop large pour son visage aux lèvres.
Il l'invita à sortir en hébreu, sans jamais cesser de sourire.
Stupide Américain et son stupide accent sexy et son stupide sourire contagieux.
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