Je ne sais pas si ça peut être considéré comme un One shot vu qu'il sera tout de même en trois chapitres et qu'un chapitre est assez long. Je ne laisse pas tomber Juste Harry (mon autre fic) mais pour l'instant je suis en panne sèche donc en attendant je vous présente Un autre monde. Pour les questions de délais, aucune idée -quand l'envie m'en prend-.

Petit disclamer : Rien ne m'appartient tout appartient à la grandissime J.K. Rowling , rien de surprenant en autre …

Sur ce Enjoy it !


« Des passants aperçoivent une flaque de sang près d'un orphelinat […] Une Jeune Femme inconnue qui était enceinte meurt dans la rue la nuit de saint sylvestre […] L'enfant qu'elle porte est immédiatement transporté à l'hôpital mais n'a pas survécu au trajet. »

dans The Newspapers, 2 janvier 1926

Ce triste évènement fut vite oublié par les lecteurs de ce journal moldu, et est totalement passé inaperçu dans le monde sorcier. Pourtant ce fait changera définitivement les évènements futurs. Un mage noir était mort avant de naitre pour en donner un encore plus redoutable. Mais cela la population ne le constatera que dans quelques années.


James & Lily

Sont heureux de vous annoncer leur mariage

qu'ils célébreront

Le 16 avril 1979

Un an après naquit Harry Potter le 31 juillet 1980. Souffla un vent nouveau sur le foyer des Potter à Godric's Hallow. La petite famille était heureuse.

James était un inspecteur général des aurors tandis que Lily était médicomage.

Il y avait dans l'entourage proche Tonton 'Mus, professeur de Poudlard respectable, qui venait de se marier à Nymphadora connu sous le nom de Tatie Tonk pour le jeune Harry.

Tonton Peter quant à lui fut abandonné par sa fiancée devant l'autel le jour de son mariage. Il déprima, puis il décida de se changer les idées et parti pour les États-Unis. Là-bas il y fit fortune en investissant dans le pétrole. Maintenant il vivait plus que confortablement, et c'était marié avec Tante Sookie qui parle un anglais spécial –maman dit parce qu'elle est américaine-. Ils venaient pour noël, ou le temps d'un « déplacement d'affaire » et ramenaient à chaque fois plein de cadeaux.

Tonton Sirius lui, n'était pas seul mais il n'était pas marié. Il vivait dans le Londres moldu, dans un beaux loft et ne sortait même pas de chez lui pour travailler, car il était trader. Harry ne comprenait pas vraiment ce que c'était, mais il avait assimilé ce mot comme un métier qui permettait de conduire une moto, une super moto ! Son tonton Sirius venait souvent le voir, au moins deux fois par semaine-ou plus au grand désespoir de maman- et de temps en temps il y avait aussi son copain, Alexandre, il est très gentil, même trop gentil.

Puis il y avait aussi son Parain -apparemment c'était maman qui avait insisté pour que ce soit lui, sinon ça aurait été Tonton Sirius si Papa aurait choisis-, Tonton Severus, c'est un très bon ami à maman-et moins à papa-. Il vivait sur Diagon Alley puis il a finalement emménagé à Godric's Hallow récemment. Il avait une petit copine, ils étaient ensembles depuis longtemps mais ils ne voulaient pas se marier -c'est ce qu'a dit Tonton Sev-, il préférait une relation libre. Elle s'appelait Susan et faisait partie du mangemagot. Elle venait de temps en temps lors des grands diners où il y a tout le monde, elle a l'air sévère mais en fait elle était gentille.

Il avait aussi une marraine mais il l'a rencontré très peu, pour ne pas dire quasiment pas. Tante Pétunia, sa vrai Tante, la sœur de sa mère mais, elle vivait loin, avait fondé sa famille, et avait perdu de vue sa sœur depuis de nombreuse année. Lily avait un peu forcé la main à James, il n'avait eu le choix qu'entre les amies de Lily

–ces espèces de ge… la fin du mot resta coincée dans sa gorge par le violent coup de coude qu'il venait de recevoir... de fille extrêmement distinguée-

ou la sœur

-Tu as une sœur ?.

Il aurait bien voulu prendre une de ces amies à lui, mais Lily était devenue aussi rouge qu'une tomate lorsqu'il lui proposa. Elle avait dit qu'il était hors de question de prendre une de ses amies, -je sais très bien ce que signifie amitié avec le sexe opposé pour James Potter durant tes années scolaire. Surtout une amitié plus bas que la ceinture-.

Harry avait deux ans, il savait marcher, réciter l'alphabet mais parler peu, très peu, ses parent l'avait amené consulter par des spécialistes qui ont tous relevé aucune anomalie.


Lors d'une soirée, Lily et James confia leur fils à son parrain, -malgré toute la réticence de James. Mais Remus et Tonks étaient occupés, Sirius ? on pourrait lui confier un hamster qu'on s'attendrait aux pires chose…- Ils déposèrent Harry chez son parrain par la cheminée pour passer une soirée en amoureux.

-Bonsoir Harry dit Severus d'un ton détaché tout en se retournait à la préparation de sa potion, Harry était plutôt sage contrairement aux calamités dont il devait donner de temps à autres des cours pour renflouer ses comptes pas qu'il manquait d'argent mais un peu plus n'était pas gênant.

Il vivait bien de son art, il était expert en potion : il était chargé de rédiger les brevets pour les nouvelles découverte en matière de potion. Sa potion sera finie dans une minute, il jeta un coup d'œil discret au petit garçon dont il avait la surveillance.

J'arrive dans une minute, installe toi. Poursuivit-il

-Bonsoir Tonton Sev'. Répondit-il d'une voix joyeuse en se précipitant dans le grand fauteuil près de la bibliothèque. Il prit le premier livre qui lui tomba entre les mains, l'ouvrit et s'installa sur le fauteuil le livre sur ses genoux.

Lorsque Severus fini avec sa potion, il rejoignit son jeune filleul dans la bibliothèque, le trouvant penché sur un livre, il ressemblait tellement à Lily dans cette position les yeux obnubilé parcourant les lignes, les sourcils légèrement froncés, le vrai portrait de sa mère à l'exception des cheveux aussi noir que les siens ou plutôt de son père.

Il s'approcha pour voir ce que lisait son cadet par-dessus son épaule, lorsqu'il remarque qu'Harry le tenait dans le mauvais sens. Il rit, tout en retournant le livre dans le sens conventionnel de la lecture.

- Si tu veux lire, faudrait-il commencer par tenir le livre dans le bon sens.

- Qu'il eût fallu que j'apprisse à lire, pour que je le puisse. Répondit Harry qui regardait le gribouillis qui était griffonné en haut de la page.

Severus resta estomaqué, non que personne n'eusse usé du conditionnel mais car Lily lui avait récemment confié une certaine inquiétude de ne pas voir son fils parler, jusqu'à ses deux il baragouinait tellement qu'en soirée on jetait un sort de silencio pour ne plus l'entendre. Mais récemment il se taisait, parlant pour le strict minimum.

Il eut alors deux hypothèse, soit Lily avait dramatisé les faits, soit James c'est transformé en Lily juste pour le plaisir de lui jouer un tour qui totalement stupide et sans intérêt -mais peut-être moins pour le reste de la conversation qu'il a mené avec la sois distante Lily, dont des choses compromettantes- et là James devrait craindre pour sa pauvre vie car Lily serait furieuse de s'avoir que son mari se fait passer pour elle, et Severus qui risquait par mégarde versé quelque goutte de ses concoctassions. Ou tout simplement car Harry parlé au conditionnel car … car il n'en absolument aucune idée.

Il vit qu'Harry le regardait, s'attendant à une quelconque réaction, il avait les yeux brillant espérant surement qu'il s'extasie devant lui. Harry était bien le digne fils de son père, pédant, sachant se faire prier, capricieux, et tout comme James cherché à être le centre de l'attention.

Les lèvres de Severus s'étirèrent. Potter voulait jouer, alors ils joueront à deux.

- qu'il eut fallu que tu te manifestasses pour que nous pussions savoir que tu susses au moins parler répliqua narquoisement le parrain.

Harry se tut pendant un moment, il ne s'attendait pas à cela, il se mordilla les lèvres. Severus sourit les mêmes petits gestes nerveux que Lily.

- Si j'eusse eu seulement l'occasion de le faire, puisque j'eusse était questionné ces dernier mois où les réponses eussent attendu sont oui ou non.

L'échange dura quelque minute-ou plutôt une bonne heure- avant que Severus las, se décide à l'installer sur les genoux pour lui raconter un conte de beedle barde et de le mettre au lit.

Lors du retour des parents, Severus leur raconta l'épisode, James commença à s'extasier devant son fils endormi affichant un sourire béat, tandis que Lily pas moins fier de son fils mais se donnait pas en spectacle.

Puis lorsqu'Harry fut plus grand, ce passage de sa vie –étoffé par d'autres anecdotes de sa petite enfance- revenait souvent lors des diner de famille.

Ce passage n'est qu'un court extrait de l'heureuse enfance mené par Harry Potter, fils unique choyé par un entourage qui lui portait toute son attention, qui était à son écoute et plein d'amour.


Il alla d'abord à la maternelle moldu, puis plus tard lorsqu'il est rentré à l'école il eut en complément des professeurs-ou pas vraiment- pour les matières magiques : Maman pour les ruines antiques –une matière qu'il subissait plus qu'autre chose- et les bases des sortilèges, Papa pour le vol en balais -pas vraiment des cours , un passetemps-, tonton Rem pour les défenses contre les forces du mal –d'une manière amusante-, Parain pour les potions -ou il apprit vite le sens du mot rigueur-. Harry était un garçon éveillé pour son âge, il dévoré les livres, plein de vie, intenable mais un petit ange-s'accordèrent tout son entourage à cette époque-.

Harry Potter, grandi, il finit par atteindre ses douze ans et parti faire ces études tout comme ses parents, ses tantes et ses oncles à Hogwarts.

De plus Lily et James lui avaient appris qu'il allait bientôt avoir un petit frère ou une petite sœur. Le lendemain de sa lettre d'admission il réussit à convaincre ses parents de faire les courses pour ses fournitures scolaires le jour même.

Il adorait Diagon Alley, mais ils n'y allaient pas assez souvent à son gout –ils y allaient tout de même au moins trois fois par mois-. Il était joyeux, ce réjouissant à l'idée d'avoir un petite sœur ou un petit frère, d'aller contempler le Nimbus 2000, trouver le livre de potion que lui avez indiqué Severus, et tellement d'autres choses, cette journée était parfaite.

Le mois d'aout parut incroyablement long pour Harry, il avait hâte de rentrer même s'il avait une certaine appréhension. Et s'il ne s'y plaisait pas, là-bas ? Si ses parents lui manquaient trop ? Mais on le rassura, Maman et Papa y étaient passés, et ils avaient adorés. Tonton Sirius lui racontait les quatre cents coups qu'ils avaient fait, eux les maraudeurs. A ce moment-là, Parain reniflait dédaigneusement, puis il racontait lui aussi son histoire, puis Tonton Sirius surenchérissait et Harry perdait vite le fil de l'histoire tellement elle s'enchainait rapidement ou quelles soit coupées en plein milieux. Maman et Papa riait : - Non, ils n'arrêteront jamais ces deux-là.

Lorsque la rentrée arriva, ils partirent sur la voie 9 ¾ , il y avait James, Lily et Tonks qui étaient venu accompagné Harry et Remus-par la même occasion-.

Ce matin-là Harry c'était réveillé à 7h du matin et sauté partout dans la maison, il trépignait d'impatience. Ces parents se réveillaient et préparèrent le petit déjeuner, calmant le jeune Harry comme ils pouvaient. Ce dernier se demandait dans quelle maison il pourrait bien atterrir ? Ses Parents étaient des Gryffondors. Donc lui aussi, surement… ou peut-être serait-il l'exception qui confirme la règle, oh est puis il verra…

Sur la voie, il rencontra la famille Weasley, des connaissances de Lily, Harry les salua. Il y en avait un aussi qui rentrait en première année. Ils allèrent ensemble dans le train après avoir embrassé leur parent respectif, et Tonton Rem lui dit que s'il se sentait seul même si cela ne sera surement pas le cas –coup d'œil pas vraiment discret à son nouveaux camarades- qu'il pouvait le rejoindre dans le wagon des professeurs.

Harry accompagné de Ron s'installèrent dans un compartiment libre et y déposèrent leur bagage.

- Je peux t'appeler Ronald ? demanda Harry

- Ron, juste Ron. Répondit le roux en souriant avec une tache de suit sur le nez.

- D'accord. Ron tu as une tâche sur le nez, là dit Harry en lui montrant.

Un silence s'installa, Ron bredouilla quelque chose tandis qu'Harry tenta de parler.

- Vas y dit Ron.

- Non, c'est bon, tu disais?

- Vas-y insista le roux.

- Je vais faire un tour, je dois chercher quelqu'un dit Harry voyant Ron se mordre les lèvres, il ajouta tu veux venir avec moi ?

Ron sourit et hocha de la tête. Ils sortirent tous les deux du balcon, l'un à la recherche d'une tête blonde, l'autre suivant le premier.

- Au fait qui cherches tu ? demanda Ron.

- Ah, le voilà dit joyeusement Harry en s'avançant plus rapidement vers Drago.

- Malfoy ? dit Ron d'un air étonné

Le dénommé Malfoy se retourna pour voir qui l'avait interpellait haussant un sourcil, accompagné par deux élèves assez massif. Son visage se décrispa à la vue de son ami.

- Harry, comment ça va ? dit Drago d'un air décontracté jeta un coup d'œil vers le roux, mais décida de l'ignorer.

- Drago, bien comme toujours et toi je suppose que je n'ai même pas besoin de te demander dit-il.

Ils rirent en même temps, laissant les trois autres incrédules. Ron se sentait mal à l'aise devant leur intimité. Il ne savait pas vraiment pourquoi mais Potter l'inspirait, il aurait bien aimé être ami avec lui, mais le voir avec Malfoy une personne peu recommandable d'après son père le laissé froid dans le dos.

Harry et Drago c'étaient rencontré chez Severus, ce dernier c'était retrouvé à devoir s'occupé de ces deux petits monstres car leurs parents lui avaient confiaient leur garde pendant leur absence. Bien que les deux familles ne s'adoraient pas, elles finirent par se mettre d'accord pour permettre à Harry et Drago de s'amuser ensemble en les déposant chez Severus-qui n'aimé pas cette idée mais le ferait pour le plaisir de son filleul et de son presque filleul-. Narcissa lui avait proposé d'être le parrain mais il dut refuser ayant déjà promis à Lily et que c'était déjà une lourde charge d'être le parrain d'un enfant alors deux, n'en parlons pas. Harry et Draco se connaissaient depuis leur plus jeune âges-quatre ans-, ils étaient assez proche l'un de l'autre.

Après une courte discussion Harry rejoint son compartiment suivi de Ron toujours en intense réflexion. Durant leur trajet une fille fit irruption pour leur demander s'ils n'avaient pas vu un crapaud, puis elle resta un instant en voyant Ron tenter d'essayer de jeter un sortilège pour que sa chouette devienne jaune. Bien évidemment le sortilège rata, et la demoiselle se sentit dans l'obligation d'elle même de faire une démonstration. Elle leur montra qu'elle s'avait faire un sort de lévitation qui n'impressionna nullement Harry mais peut être un tout un peu Ron. Lorsqu'elle se décida de partir ils enfilèrent leur robe de sorciers.

A la sortie du train un demi-géant les attendait pour se rendre à Poudlard en barque, cérémonie réservé aux premières années. Puis ils touchèrent de nouveau le sol, de l'autre côté de la rive.

Ils étaient à Poudlard, l'école de magie, la plus fameuse d'Angleterre-en fait l'unique-. Harry comme la plupart des autres élèves découvrirent le château les yeux étincelant, admirant son architecture pittoresque.

Enfin arrivé dans le hall, il eut le droit un bref discours du professeur McGonagal, puis entrèrent dans la grande salle. La pièce était grande, au plafond on pouvait y voir un ciel enchanté, des cierges flottaient dans le vide. Ils s'avancèrent dans l'allée centrale trouvant, poufsouffle et gryffondor à leur gauche et serdaigle et serpentard à leur droite. Il y avait une estrade, avec un tabouret et un gros chapeau rapiécé. Le choixpeau magique, sa famille lui en avait déjà parlé, il lui avait d'ailleurs dit qu'il leur chantera une chanson stupide -d'après les dire de Tonton Siri-. Et effectivement la grande fente du chapeau se mit à s'ouvrir et commença à chanter.

Je n'suis pas d'une beauté suprême

Mais faut pas s'fier à ce qu'on voit

Je veux bien me manger moi-même

Si vous trouvez plus malin qu'moi.

Les hauts-d'forme, les chapeaux splendides

font pâl'figure auprès de moi

Car à Poudlard, quand je décide,

Chacun se soumet à mon choix.

Rien ne m'échapp' rien ne m'arrête

Le Choixpeau a toujours raison

Mettez-moi donc sur votre tête

Pour connaître votre maison.

Si vous allez à Gryffondor

Vous rejoindrez les courageux,

Les plus hardis et les plus forts

Sont rassemblés en ce haut lieu.

Si à Poufsouffle vous allez,

Comme eux vous s'rez juste et loyal

Ceux de Poufsouffle aiment travailler

Et leur patience est proverbiale.

Si vous êtes sage et réfléchi

Serdaigle vous accueillera peut-être

Là -bas, ce sont des érudits

Qui ont envie de tout connaître.

Vous finirez à Serpentard

Si vous êtes plutôt malin,

Car ceux-là sont de vrais roublards

Qui parviennent toujours à leurs fins.

Sur ta tête pose-moi un instant

Et n'aie pas peur, reste serein

Tu seras en de bonnes mains

Car je suis un chapeau pensant !

Après cela la directrice des Gryffondors déroula sa liste et commença à appeler un par un les nouveaux élèves par l'ordre Alphabétique. A, B... M ce fut le tour de Drago, le chapeau l'avait à peine touché la tête qu'il avait crié Serpentatrd.

Elle arriva finalement à Harry Potter, son cœur battait la chamade, il prit son courage à deux mains et s'avança vers le tabouret, elle lui plaça le choixpeau magique sur la tête. Il entendit l'objet criait Serpentard après un petit moment de silence. Il resta assis sur sa chaise étonné, il se leva seulement quand McGonagal posa sa main sur son épaule pour le ramener à la réalité. Les élèves l'applaudissaient poliment, il les rejoignit étonné. Son cœur battait toujours la chamade, comment ce faisait-il qu'il était à serpentard ? Les questions d'Harry cessèrent en voyant son ami lui faire signe de le rejoindre, il allait passer une bonne année. Il était avec Drago et ces nouveaux camarades de classes ne semblaient pas monstrueux comme tonton Siri disait des serpentards –mais ce n'était pas comme si la parole de Sirius était très fiable, d'après les statiques faites, tonton siri se trompait une fois sur deux ce qui correspondait plutôt au hasard-.

Il eut un petit discours avant que les plats apparaissent, il fit connaissance ce soir avec Nott, Zabini, Parkinson et d'autre élève de leur année et Flinch leur préfet tandis que l'autre était tout au bout de la table. Leur directeur de maison était le professeur de potion Slughorn qui lors de son arrivée lui avait convié Drago, d'autre élève de famille puissante ou connue dans le monde des sorciers et lui de venir à ces soirées, plus connu sous le nom des soirées de Slughorn.

Ainsi sa passa sa première soirée à Poudlard, dans une ambiance festive, il sympathisait avec ces autres camarades de classes. Après avoir bien mangé, ils partirent accompagné de leur préfet pour découvrir leur dortoir, pour y accéder ils devaient traverser un mur. Le mot de passe devait changer toute les semaines et ne devait pas être divulgué aux autres élèves des autres maisons.

Ils découvrirent leur chambre, quatre grand lit à baldaquin les rideaux étaient vert brodé d'argent, tandis que les draps étaient d'un blanc immaculé avec un couvre lit aux couleurs des Serpentards. Leur valise était posée au pied des lits. Harry se retrouva donc dans une chambre pour compagnon Drago, Goyle et Nott. Il allait passer une bonne année pensa-t-il, impatient d'avoir son premier cours demain.

Il commencerait avec Tonton Mus, défense contre les forces du mal, il avait vraiment hâte.

La première semaine se passa sans encombre, les cours lui semblait relativement simple ou du déjà-vu. Il resta relativement proche de Ron même s'il n'était pas de la même maison et que ces dernières soit en compétions. Il trainait de temps à autres avec eux, ses frères Geoge et Fred étaient marrants et puis ils préféraient être parmi leurs amis même par l'intermédiaire de Ron –qui lui était sympathique, il l'appréciait bien mais il savait que c'était juste l'ordre de la camaraderie et non une amitié sincère-.

Puis la routine s'installe, réveil, boulot, dodo.

Cependant certaine chose l'avait scandalisé comme : le fait que les premières années ne pouvait pas participer au quiditch.

Qu'ils eurent une heure de col car ils –Drago et lui- étaient allés jeter un coup d'œil –ou plutôt prendre une douche- dans la salle de bain des préfets ayant entendu qu'elle n'était que rarement utilisé et qu'elle était bien plus vaste et splendide que leur simple salle de bain dans leur dortoir.

Qu'on ne pouvait pas faire les yeux doux à la directrice des Gryffondors -qui était toujours impartial contrairement à d'autre directeur, comme le sien par exemple-,

et d'autres petites choses qui venaient pimenter la vie toute programmée de ces élèves studieux –ou pas vraiment-.

Harry avait d'excellente note, ponctué de temps à autres d'acceptable en botanique où il ne se donnait pas la peine d'apprendre ses leçons. Lorsqu'il termina son année, il pensé déjà à la seconde, il était bien sur heureux de ses grandes vacances. Il allait pouvoir profiter de bon moment avec ses parents, sa sœur Rose, et toute sa famille, il pourrait certainement rester en contact avec les autres par hiboux, ou les voir.

Mais le monde sorcier était en crise, Harry avait entendu parler, mais ce qu'il voyait comme bénin ne l'était pas.


Une sorcière d'ascendance moldu n'avait pas respecté la première règle de son monde : cacher leur existence aux personnes non-magiques, les moldu. Elle dévoila ce secret caché depuis des siècles pour un acteur de série B dont elle c'était amouraché.

Cette star eut de nouveau du succès. Il commença à sortir avec cette « sorcière » qui elle faisait la page de tous les journaux du monde entier, voyant là une occasion improbable de la publicité gratuite.

En première page on pouvait lire « la magie existe » ou d'autre chose dans le genre. Puis dans l'interview on pouvait lire « J'ai décidé de m'accepter tel que je suis grâce à John, mon amour et blabla».

Le monde sorcier était impuissant devant toute cette déferlante de journaliste moldu, la nouvelle c'était rependue comme une trainée de poudre. Rien ne pouvait empêcher ce processus, et bientôt cette nouvelle célébrité fournie des preuves accablantes sur le monde parallèle que les sorciers mené.

Lily Potter qui était une amie de cette dernière essaya de la freiner en vain, cela lui causa du tort par la suite. Cette « amie » la pointa du doigt devant tous ces journalistes en rut, et la désigna comme : « elle fait partie de ces sorciers qui ne veulent pas qu'on les découvre pour mieux gouverner la société par derrière, ceux qui croient avoir le sang plus pur que nous et qui nous méprise ».

Ainsi commença la déchéance de Lily. Le monde sorcier voyait bien l'ironie de cette phrase, contrairement au moldu, Lily ne faisait et n'avais jamais fait partie de cette catégorie de personne qui méprisé les autres, et elle était encore moins une sang pure –ces deux parent étant moldu-. Mais les premiers journalistes ne prirent pas la peine de vérifier les dire de Miss Marple, et lyncha Lily Potter. Nous étions en fin aout.


Pour sa nouvelle rentrée Harry parti sur la voie 9 ¾ sans sa mère, elle ne pouvait pas sortir de la maison car elle devait s'occuper de Rose et de plus les zones moldu lui était devenue dangereux. Elle avait reçu des lettres d'insulte, de menace qu'elle faisait tout pour qu'Harry ne tombe pas dessus.

Son jeune fils l'embrassa une dernière fois avant de franchir le pas de la porte pour se rendre à la gare avec James, la gorge serrée il avait une appréhension de ceux qui allait arriver. Il ne savait pas vraiment pourquoi mais au fond de lui une voix lui disait que quelque chose de grave allez arriver. Il se retourna et sauta dans les bras de sa mère encore une fois, puis embrassa sa sœur sur le front. Rose était vraiment un bébé adorable pensa-t-il.

Durant son trajet en train il parla peu, en compagnie de Draco et d'autre serpentard il ne sentait pas à l'aise, il décida donc de se dégourdir les jambes, et marcha pour rejoindre le wagon des professeurs pour aller voir Tonton Rem. Arrivé là-bas, on lui dit que le professeur avait quitté précipitamment juste un peu avant le départ du train, Harry était nerveux, les questions tourbillonnait dans sa tête. Pourquoi tonton Remus était partie précipitamment ? es ce que quelque chose est arrivée à tatie Tonks ?

Il rejoignit lentement le compartiment de ses amis. Ces derniers réussissent après une bonne demi-heure à refaire sourire Harry, puis ils terminèrent le trajet dans une hilarité collective.

Durant cette nouvelle rentrée, des nouveaux élèves de premières années furent réparti, ils eurent le droit au petit discours du directeur qui parlait d'une ère nouvelle, ou les sorciers et les moldus cohabiteront ensemble… Il n'écouta pas la suite, un monde où les sorciers n'auraient plus à se cacher, un autre monde dont il rêvait. Il s'endormit plus tard avec cette belle idée en tête.

Le lendemain fut dur et abrupt, lorsqu'il marcha dans la grande salle il se comprenait pas les yeux qui le suivait, des murmures. Lorsqu'Harry rejoint sa table avec Theodore, Drago -qui c'était levé un peu plutôt ce matin-, le salua d'un bref signe de tête. Il s'installa, puis jeta un bref coup d'œil à la table des professeurs son oncle n'était pas là, il espérait sincèrement que rien de grave n'était arrivé à tatie Tonks. Lorsqu'il se retourna vers la table, il remarqua le nom Potter en couverture du journal de la gazette des sorciers, surpris il regarda plus attentivement.

Incendie à Godric Hallow, la maison des Potter incendié.

Son sang ne fit qu'un tour.


Review ? :3