hello! Donc pleurnichard est mas primière fanfiction sur ffnet (je suis un menteur, mais je ne vous dirait rien). Chapitre très cours, c'est plus une intro qu'autre chose. Bref, elle seras principalement centré sur le Geek, et si vous arriver à deviner de qu'elle chanteuse je me suis inspiré, bah un cookie?nan, vous pouvez choisir quel seras le ship de cette histoire, j'ai déjà une idée derrière la tête, mais une promesse est un promesse donc~
bref je vous laisse lire, excuser les fautes, je mon français est à chier mais vive les sites de correction hein!
enjoy
Il avait probablement longtemps remplacé son cerveau par son cœur, c'était une belle façon de le voir, selon lui. Il fallait bien trouver une façon de dire que ce n'était qu'un gosse pleurnichard sans grand moyen de retenir les larmes. Lui qui un jour était si masculin et cinglant, il est devenu un gamin qui prend les mots trop à cœur, naïf et sensible, un peu trop même. "Débile" l'appelait-il tout, "abruti","idiot", ce n'était pas vraiment de sa faute, il a toujours été ainsi.
Le Geek, un enfant coincé dans un le corps de quelqu'un bien plus vieux que lui, et la réalité était devenu plus cruel après sa sortie du crâne de son créateur. Il avait enfin retrouvé sa virilité, une bonne vie mais ça ne dure pas quand tu habites chez les Sommet. C'était bien beau d'espérer pour mieux quand quelque petits mots le font s'effondrer.
Il a probablement un cœur trop grand pour son petit corps, ça devient fragile, un cœur, quand il est exposé comme ça, se dit-il souvent. Après tout, tout le monde - mise appart le Patron - tentait de garder un peu de son innocence, mais leurs moqueries ne cessent pas de blessé pour autant. Ils le savent bien pourtant, mais c'est tellement plus drôle de s'acharner sur le plus jeune, le plus fragile, le naïf et plus petit.
Mais de toute façon, ce n'est pas lui, ce sont eux. Ou du moins c'est bien ce qu'il se répète à longueur de journée pour tenir le coup, il lui faut bien un appui quand tu es tout seul, et que tu as perdu, ou plutôt, jamais eu d'amis apparts ce qui était coincé dans un même crâne malade.
Mais, pouvait-il vraiment les appeler des amis? Après tous, personnes à l'exception de Mathieu et le Panda dans certaines occasions l'avaient réconforté quand il ne pouvait pas contrôler ses propres larmes. Mais le même revenait toujours. Il l'entendait tellement souvent, pendant longtemps il détesta ce nom si dérogatoire et moqueur.
Ils l'appelaient Pleurnichard. Pleurnichard mais il n'en'avait plus rien à foutre.
C'était de leurs fautes, c'était eux qui tournaient le robinet de ses yeux, qui le faisait pleuré comme ça. Il pouvait bien pleurer s'il le voulait. Il n'en'avait rien à foutre et il était bien le seul. Longtemps il a voulu s'expliquer, mais avant qu'il puisse même dire un mot des larmes montait toutes seules sachant très bien qu'on ne l'écouterait pas. Il n'y a décidément que ses jouées qui l'écoutaient.
