Bonjour à tous !

Alors là, je sais ce que vous vous dites : « Elle traine une fiction depuis des années qu'elle a recommencé à majer i peine quelques mois, elle a promit des publications qui n'arrivent pas et voilà qu'elle commence une nouvelle fiction !? »

Pour ma fiction que je traîne, je travaille dessus dès que je peux : un chapitre arrive bientôt.

Et cette idée de fiction est arrivée dans ma tête : elle devrait être courte (du moins, je l'espère, mon cerveau peut se montrer très prolifique même si je le lui interdis….)

Ce n'est que le prologue, une petite mise en bouche qui commence par la fin en univers alternatif.

J'attends vos retours, quels qu'ils soient.

Merci.

Trompeuses apparences

Prologue

« Renji ! »

Byakuya se précipita vers le corps allongé à même le sol qui ne bougeait pas. Il s'agenouilla brutalement près de lui et lui attrapa violemment le bras pour le faire réagir. Sa chemise était maculée de sang et la tâche semblait s'élargir à vue d'œil.

« Renji ! Parles-moi ! Pourquoi ?! Pourquoi as-tu fais cela ?! »

Le souffle de Renji était laborieux et ses paupières pourtant si lourdes se soulevèrent en entendant son prénom crié avec tant de force. Sa vision était trouble mais il reconnut de suite le visage de l'homme à qui il venait de sauver la vie et avisa les ecchymoses. Son cœur se serra.

« Byakuya, murmura t-il faiblement, es-tu blessé ? Ton visage… Que t-ont-ils fait ?

_Je vais bien. Ils m'ont juste malmené. Pourquoi… »

Mais Renji lui coupa la parole.

« Merci Mon Dieu, je suis arrivé à temps. Ils allaient te tuer, s'amuser avec toi avant de te tuer.

_Pourquoi ? Je ne comprends pas ! »

A cet instant les portes s'ouvrirent avec fracas.

« Police ! Que personne ne bouge ! »

Byakuya se tourna brusquement et hurla la chose la plus importante à ses yeux pour le moment.

« Faites venir les secours ! Il a reçu une balle dans la poitrine ! »

Un des policiers s'avança alors l'arme malgré tout pointée sur les deux hommes. Lorsqu'il fut suffisamment proche pour distinguer les figures, il blêmit.

« Oh merde, murmura t-il. Faites vite avancer l'équipe de soin ! Vite ! »