Bien le bonsoir, ou bonjour à vous de voir.

J'ai découvert Supernatural bien tard dans ma vie, c'est à dire qu'il y a quelque mois et je n'ai pu me restreindre à l'envie de mettre mon grain de sel.

Comme à mon habitude :

Attention : cette fiction contient des relations homosexuels, pour ceux qui n'apprécient pas, ne lisez pas.

Comme je ne sais pas commet vous présenter cette fiction nous allons faire simple :

J'espère que vous aimerez.

Bonne lecture


PROLOGUE :

« Je dois partir. » annonça John alors qu'il raccrochait d'une conversation avec Bobby.

Dean observa son père un instant, se demandant pour combien de temps.

« Je devrais revenir dans quelques jours, six au plus tard. Si ce n'est pas le cas, tu appelles Bobby, Dean. S'il n'est pas disponible, tu joints Caleb. Sinon il y a Rufus. Et en dernier recours, tu parles à Hellen. » reprit-il tout en mettant son fusil de chasse dans son sac de voyage et en lui indiquant un calepin comportant les numéros des personnes précédemment citées.

Dean s'en saisit tandis qu'il sortait un deuxième fusil et le confiait à son fils qui le prit avec aisance. Dean savait ce qu'il avait à faire, son père était clair : protégé Sam, et ce depuis plusieurs années maintenant.

« Bien, tu n'ouvres à personne. Si c'est la gérante, vous vous cachez ou tu la baratines. Si c'est une autre personne tu vous défends. » continua son père, Dean sachant très bien de quelles autres personnes il s'agissait : des monstres, des démons.

Il acquiesça une énième fois lorsque John lui donna ses recommandations à suivre lors de son absence. Il avait déjà dix ans, cela faisait quatre ans qu'il savait manier une arme, six qu'il vivait comme ça. Depuis que sa mère était morte. Alors il accepta de se plier à toutes les règles que son père imposait, parce que son père savait. Cela il en était persuadé. Ce dernier le fixa un instant avec sérieux, le jugeant du regard avant de hocher de la tête.

« C'est bien, Dean, soit très prudent et veille bien sur Sam. » appuya une dernière fois John avant d'enfin finir son sac.

Il alla embrasser son deuxième enfant qui dormait encore puis il partit, sans un regard pour Dean qui avait toujours son fusil à la main.

Ce dernier l'observa fermer la porte avant d'enclencher le verrou. Comme toujours, Dean retourna dans son lit. Puis le lendemain il fit son petit déjeuné à Sam, ils passèrent la journée devant la télévision avant de déjeuner. Ils ne faisaient que cela, regarder la télé, manger. Ils allèrent ensuite se coucher. Puis le lendemain, cela recommença, lui s'occupant de Sammy, obligé de rester dans la chambre de motel.

Au troisième jour, Dean dut expliquer à Sam pourquoi ils ne pouvaient pas sortir, ce qu'ils risquaient. Cependant, il devait cacher la vérité sur les monstres, alors il masqua la vérité celle-ci des sarcasmes. C'était le seul moyen qu'il avait toujours eu face à la curiosité et la persévérance de son frère.

« Dean, je veux sortir. » répéta pour la sixième fois Sam alors qu'il refusait de manger tant qu'il ne serait pas allé dehors.

« Sam, est-ce que tu veux vraiment que le monstre sous le paillasson te dévore ? » s'enquit Dean avec un sourire sarcastique.

« Je ne vois pas en quoi la porte l'empêcherait de rentrer. » fit remarquer Sam avec une certaine peur dans la voix.

« Pourquoi les monstres ne sortent pas de dessous le lit pour t'attaquer sous tes couvertures ? Ils ne peuvent pas ! Mais si on sort, ils pourront rentrer et là, ils t'attaqueront dans ton sommeil. Alors il ne faut pas sortir. » tenta Dean espérant ne pas trop faire peur à son frère tout de même.

« Mais papa est sorti lui. » fit remarquer son petit frère alors qu'il observait avec une légère frayeur la porte.

« Oui, mais j'avais le fusil et je les repoussais. » tenta Dean ne sachant pas si la raison allait être suffisante.

Sam sembla avoir une grande révélation car il hocha de la tête. Dean le dévisagea un instant. Son frère avait peur de ce nouveau monstre qu'il venait d'inventer, pourtant il semblait heureux d'avoir été mis dans la confidence. Cela le fit sourire.

Sam se décida à enfin manger puis après, il se posta devant la télévision. Dean vérifia ce qu'il regardait, un documentaire sur la chasse. Il eut un sourire ironique mais s'occupa de ranger le coin cuisine. S'ils devaient être seuls pendant six jours, il valait mieux que tout soit rangé.

Il se demanda ce que leur père était partit chasser cette fois, et s'il était avec Bobby. Certaine fois, lorsque John était sur une piste, il les emmenait chez Bobby. Il aimait beaucoup lorsqu'il faisait cela. Il adorait passer ses journées en compagnie de l'homme qui réparait ses voitures. Enfin, parfois il passait son temps à faire des recherches. Dans ces moments là, il allait jouer dans la décharge, seul. C'était les rares fois où il n'avait pas à surveiller Sam. Ce dernier étant sous la responsabilité de Bobby. Bien sûr, il aimait prendre soin de son petit frère. Il se sentait plus adulte, plus responsable. Cependant, certaines fois, il aimait à s'amuser comme il le voyait faire les autres enfants parfois.

« Quand est-ce que papa rentre ? » lui demanda Sam le sortant de ses pensées.

« Dans trois jours. » répondit-il avec aplomb alors qu'une légère angoisse qu'il ne revienne jamais germait dans son esprit.

« Pourquoi il est parti ? »

« Il avait quelque chose à faire. »

Sam ne sembla pas satisfait de sa réponse mais il préféra ne pas continuer. A chaque fois, il savait que son père pourrait ne pas revenir. Pourtant c'était son papa, son héros. John était invincible. De plus, s'il était avec Bobby, ils ne craignaient rien, à eux deux ils étaient indestructibles. Il se souvenait du jour où il avait été chassé avec son père et Bobby, il s'en souviendrait sûrement toute sa vie : sa première chasse, lors de ses sept ans, un loup garou.

Il s'installa alors à côté de son frère face à la télévision. Et la routine reprit.

Cela faisait maintenant cinq jour que son père n'était pas revenu. Ce dernier lui avait assuré qu'il serait de retour avant le lendemain, alors il ne s'inquiéta pas lorsqu'il entendit des pas s'arrêter devant la porte de leur chambre. Cependant, lorsqu'il entendit quelqu'un frapper, il fronça les sourcils. Il se dirigea vers la porte, suspicieux, et observa à travers le judas. Deux hommes, deux inconnus, ainsi qu'une femme, la dirigeante du motel, se tenaient là, attendant. Il se tourna rapidement vers son frère qui lui lançait un regard interrogateur et il lui fit signe de se cacher, sans pour autant faire le moindre bruit.

« Monsieur Abrahams ? » appela une voix féminine de l'autre côté de la porte. « Vous êtes là ? Monsieur ? Répondez-moi. »

Sam s'obtempéra avec réticence et il dut le pousser pour qu'il se glisse sous le lit, légèrement effrayé. Il allait, lui aussi se dissimuler quelques parts, lorsqu'il entendit un cliquetis et que la porte s'ouvrit. Il eut à peine le temps de se dissimuler dans la salle de bain que les trois adultes entraient. Il entendit des chuchotis et se décida à tenter de se dissimuler dans la douche. Il fit en sorte de bien se cacher derrière le rideau, cependant, il savait ce dernier légèrement translucide. Alors il croisa les doigts. Sam ne pourrait être trouvé, car l'espace sous le lit était bien trop réduit pour que qui que ce soit s'y cache, sauf un enfant, donc personne ne tenterait de regarder. Lui par contre, il allait être vu et rapidement si on ouvrait la porte de la salle de bain.

Comme il le prédit, quelques secondes plus tard, un des deux hommes, de fortes corpulences, la peau foncée et l'air revêche le découvrit. Il l'enjoignit à le suivre, le forçant presque à revenir dans le salon. La femme le fixa les yeux ronds, alors que l'autre homme tenait dans ses mains le fusil que son père avait laissé. Ce dernier s'avança et lui demanda :

« Comment t'appelles-tu ? »

Dean avait alors deux options, faire l'enfant timide et abandonné, ou celui revêche. Pour gagner leur confiance et permettre à Sam de rester caché, il décida d'opté pour la première solution. Bien que dans les deux cas le premier mouvement était le même, il baissa donc la tête et évita leur regard. Face à son silence l'homme reprit :

« Tu n'as pas à avoir peur, je me nomme Max. Je suis policier. » indiqua-t-il tout en sortant son insigne. « Du F.B.I. » lui sourit-il.

En effet, la plaque indiquait bien le nom de Max Weber, pourtant, Dean était bien placé pour savoir que cela pouvait très bien être un faux.

« Le deuxième est là. » annonça alors l'autre homme agenouillé devant le lit.

Max se dirigea immédiatement vers ce dernier, oubliant Dean et le laissant aux mains de la gérante, et ils réussirent à convaincre Sam de sortir. L'angoisse de Dean montait beaucoup trop vite. Il ne savait pas si Sam allait réussir à ne rien dire. On ne lui avait pas expliqué la situation après tout. Il croisa les doigts et espéra avec force.

« Tu n'as rien à craindre, petit. Comment t'appelles-tu ? » reprit Max avec son sourire engageant vers son frère.

Ce dernier le jaugea du regard. Max refit alors son petit speech, qui, il fallait l'avouer, inspirait confiance et il comprit à la seconde même où son frère céda. Dean décida alors de devenir l'enfant revêche.

« Sam. » dit-il timidement.

Max se tourna alors de nouveau vers lui et le questionna du regard, ce dernier se fit insistant. Pourtant Dean ne dit pas un mot, soutenant son regard.

« Ton nom gamin ! » ordonna presque l'autre homme de sa voix bourru en se rapprochant et en le surplombant de toute sa hauteur.

Les deux hommes jouaient le bon, Max, et le méchant –Dean décida de le nommer Fred- flic. Fred faisait assez peur tout de même.

« Dean. » avoua-t-il à mi-mots.

« Très bien, Dean. » enchaîna-t-il apparemment soulagé qu'il soit doué de parole et ait accepté de répondre. « Vous êtes ici tout seul ? » continua-t-il espérant obtenir des réponses de sa part, après-tout il était le plus âgé.

Dean sut à partir de cet instant qu'il avait peu de chance d'un jour revoir son père. En effet, Sam ouvrit la bouche, trop heureux de pouvoir dire ce qu'il savait :

« Non, on est avec papa. »

« John Abrahams ? » continua le policier.

Sam allait rétorquer que non lorsqu'il le coupa :

« Oui. »

Le policer fixa de nouveau son attention sur lui et lui sourit. Dean lui rendit pourtant un regard noir.

« Vous êtes donc seuls, avec un fusil à votre disposition. »

« Oui, papa dit que c'est plus prudent lorsqu'il part. » débita rapidement Sam avant que Dean ne puisse l'en empêcher. « Dean en a besoin pour repousser les monstres. »

« 'Repousser les monstres' ? » répéta le policier incrédule, puis voyant le regard sérieux de son frère il reprit : « Bien sûr, c'est très efficace ! Mais où est votre père ? »

« Y va… » commença le plus petit.

« Nous ne savons pas. » le coupa Dean.

L'homme se tourna vers lui et soupira avant de lancer un regard à son partenaire. Ce dernier sortit de la pièce tout en sortant son téléphone de sa poche. Dean ne le lâcha pas du regard alors que la porte se refermait sur lui. Max se racla la gorge pour se rappeler à son intention.

« Depuis combien de temps est-il parti ? »

Dean refusa de dire quoi que ce soit. Cependant ce ne fut pas le cas de Sam, son regard brillant et le fait qu'il se trémoussait sur place voulait tout dire. Dean essaya de lui faire comprendre qu'il devait se taire et son frère se retenu, mais l'échange ne passa pas inaperçu aux yeux de l'agent.

J/S

Dean s'ennuyait en regardant les autres enfants abandonnées, orphelins, s'amuser dans le centre de protection de l'enfance. Après qu'on les ait retrouvé dans la chambre, on l'avait séparé lui et Sam. Surement afin de faire parler son frère, plusieurs psychologues étaient venus pour lui parler. Il n'avait au début rien dit puis s'était décidé à broder une histoire cohérente et proche de la réalité sans pour autant parler des monstres. On l'avait alors prit en pitié et il avait enfin pu rejoindre Sam. Ils étaient là depuis plusieurs jours, on leur avait expliqué que leur père n'était pas apte à les élevés et que temps qu'il était un criminel assez recherché. Ainsi, ils ne pourraient le revoir. Ce fut pourquoi, ils allaient vivre dans une autre famille.

Il tenait dans ses bras son frère qui dormait. On avait apparemment eu du mal à le calmer lorsqu'ils avaient été séparés. Il espérait sincèrement pouvoir rester avec lui. Il ne savait pas vraiment ce qu'il se passait, mais espérait pouvoir rester avec son frère.

Plusieurs heures plus tard, une personne vint pour lui. Il allait pour réveiller son frère lorsqu'elle lui dit :

« Ne t'inquiète pas, je m'occupe de ton frère. Les inspecteurs sont venus pour te voir de nouveau. »

Dean acquiesça alors et se dirigea vers la porte indiquée. Il passa plusieurs minutes à attendre avant que Fred –il n'avait toujours pas appris son prénom- viennent le voir. Il le guida dans un petit bureau, très reculé dans le bâtiment et s'assit, lui indiquant de faire de même.

« Je voudrais savoir depuis combien de temps tu sais manipuler une arme. »

Dean le fixa en retour, cherchant à savoir si sa réponse allait influencer quoi que ce soit. Décidant que non, il déclara :

« Depuis quatre ans. »

« Et ton frère ? »

« Sammy n'a jamais touché d'arme et ne le fera pas avant longtemps ! » s'insurgea l'enfant comme il l'avait fait lorsque son père avait abordé le sujet.

L'homme le fixa de ses yeux marron, le visage tout aussi sérieux que quelques jours plus tôt. Soudainement, des voix se firent entendre, puis des cris d'enfants. L'agent se leva rapidement et avant de sortir lui ordonna :

« Ne bouge pas de là ! »

Face à l'ordre, comme il en avait l'habitude, Dean resta assis sur sa chaise, patient. Au bout d'une vingtaine de minutes, l'homme revint. Le visage encore plus grave et l'air ennuyé. Il lui envoya un regard empli de pitié. Ce fait fit froncer les sourcils à l'enfant. Fred ne l'avait pour l'instant jamais regardé ainsi.

« Que ce passe-t-il ? » s'enquit-il au bous de quelques secondes, impatient, bougeant frénétiquement sur sa chaise.

« Ton frère a… » débuta-t-il avant de se racler la gorge semblant chercher ses mots. « Ton frère a été kidnappé. »

Dean resta un moment surpris, silencieux. Puis, sous l'œil fixe de l'agent, il se leva et sortit de la pièce. L'homme le suivit en silence, semblant comprendre son besoin de s'isoler. Cependant, il se dirigea vers la pièce principale où venait d'être enlevé un enfant aux sues de tous. Il retourna s'assoir sur la chaise qu'il occupait précédemment avec son frère. Sous cette dernière, il y découvrit un mot laissé par son père :

Je reviendrais.

Son père avait récupéré son frère. Il n'avait plus qu'à attendre qu'il revienne pour lui. Une femme vint le voir, tentant de le rassurer. Fred lui assura qu'il retrouverait son frère. Il lui fit en échange un sourire, faux sourire de gratitude. Fred le prit alors dans ses bras.

« Ça va aller. » lui chuchota-t-il alors que Dean se rendait compte qu'il était abandonné, qu'allait-il faire si son père ne revenait pas.

Alors, puisqu'il n'avait que dix ans, il se permit à pleurer discrètement sur l'épaule de Fred. Ce dernier lui passa une main dans le dos, forte et réconfortante. Ainsi, pour la première fois depuis longtemps, Dean se comporta comme un enfant, se reposant totalement sur l'adulte.

D/C

Dean regarda Fred le dévisagé d'un œil mauvais. Il savait que quelque chose se tramait. Il était revenu depuis quelques heures au poste de police où les deux fédéraux s'étaient installés. Ces deux derniers avaient longuement discuté avant d'appeler un certain Jack qui leur avait ordonné quelque chose que Fred n'avait pas aimé. Finalement, après quelques minutes de silence, Fred avait commencé à le fixer et Max, lui, tentait de cacher le sourire qui venait fleurir ses lèvres.

Ce fut Max qui osa alors briser le silence en se raclant la gorge. Dean tourna instantanément son regard vers lui et il expliqua :

« Ecoute petit, nous… nous devons t'emmené avec nous. »

« Non. » rétorqua Dean sans demandé plus d'explication.

« Tu dois bien comprendre, que nous ne souhaitons pas que toi aussi disparaisse, alors tant que nous ne savons pas si tu es en sécurité où que toutes les recherches ne seront pas abandonnés, tu seras sous la protection du FBI. Vu ton jeune âge, notre directeur a jugé qu'il était préférable que tu sois sous la surveillance dans la famille d'un de nos gars. »

Dean tourna alors son regard vers l'homme qui le fixait toujours. Il baissa alors les yeux, résolu. Il n'avait pas le choix de toute évidence. Les deux hommes virent sa résignation et tous deux ramassèrent leurs affaires et l'enjoignirent à les suivre. Il monta avec regret et désespoir dans la voiture des deux hommes. Il n'avait pas vraiment d'autre possibilité.

Le trajet se fit en silence jusqu'à ce qu'ils soient enfin arrivé à Salem dans le Massachusetts. Dean se souvint être passé par ici, il y avait plusieurs années, pour une sorcière s'il se souvenait bien. Il comprit alors que ces deux agents cherchaient son père depuis longtemps. S'ils voulaient le garder à porter de main c'était pour pouvoir faire main basse sur son père.

Quelques dizaines de minutes plus tard, ils se stationnèrent devant un grand édifice qui devait être le lieu de travail des deux hommes. Ces derniers le conduisirent à travers les étages et les dédales de couloirs pour les mener dans leur bureau. Il fut présenté à leur supérieur Jack Arty. Ce dernier resta très évasif, on le plaça dans un coin de la pièce et il patienta une quinzaine de minutes, observant les agents évolués dans leur environnement et leurs collègues s'activer.

Dean n'aimait pas être mis à l'écart, il aimait comprendre et savoir ce qu'il avait à faire. Pas qu'il aime faire des recherches et qu'il soit très intelligent, non, ça il le pensait que Sam le serait bien assez dans l'avenir, mais il savait quand rester tranquille. Bien sûr, c'était dû à son éducation toute particulière, mais cela avait ces avantages.

Il resta silencieux, en dehors de tous mouvements et vit peu à peu les personnes présentes oublier complètement son existence. Il voulait partir, il savait que si ces hommes le gardaient avec eux, il ne révérait jamais son père et son frère. Alors il devait s'enfuir. Cela allait être compliqué puisqu'il avait changé d'état. Cependant, il devait le tenter. Pas actuellement, il serait incapable d'aller bien loin, mais plus tard. Il allait devoir tenter sa chance. Il n'avait pas vraiment d'autre choix.

Qu'allait-il faire sans son père et son frère ? Il savait ce que son père ferait et il le ferait aussi. Trouver un moyen de s'enfuir et retourner chasser les monstres. De toute façon, que pourrait-il faire d'autre ?

A SUIVRE …


Voilà, j'espère que vous avez aimé et que vous me direz ce que vous en avez pensé.

A bientôt.