Hey tout le monde ! Voici mon premier chapitre ! Bon, je sais, j'ai un problème en orthographe Ce sera la fic régulière en attendant la suite de " Capucine Veut Vivre" qui prendra longtemps par pur flemmardise par manque de temps °w°

Attention, mini-lemon !

CHAPITRE 1

Le temps lui semblait bien long. Elle se trouvait allongée sur son bureau écoutant vaguement les instructions de la professeure. Elle ne rêvait que d'une chose, sortir de là, être ailleurs. Elle se nommait Alice, c'était une jeune femme simple, avec une famille simple, aucun problème. Pourtant, sa vie n'était qu'un ennuie, toujours la même chose, ce manque de fantaisie la frustrait. Elle passait alors son temps à souffler, soupirer.

A la fin, elle sortie, les mains dans les poches retrouver sa meilleur pote qui, malheureusement, n'était pas dans la même classe qu'elle.

« -Je ne te vois pas tellement avec ton copain...dit Cherry en me m'apercevant

-Hm...Tais-toi s'il te plait »

Alice n'aimait pas tellement ce sujet, son petit-ami n'était rien pour elle mais elle ne pouvait le dire. La jeune femme soupira et ramena ses cheveux en arrière. Celle-ci manquait énormément de confiance en soit, elle n'avait aucune réelle répartie.

Le demoiselle avait des formes, un peu de ventre, des cuisses et des fesses tout comme sa poitrine qui était assez développé. Non, elle n'était pas grosse mais celle-ci ne pouvait se voir autrement puisqu'on lui avait répété cela pendant longtemps. Elle se trouvait dans un lycée, en seconde, de Paris.

« Et toi alors hein? Lui demanda-t-elle

-Bha...

-Je vois, » avoua-t-elle d'un sourire

La jeune femme soupira puis demanda à sa copine

« -Tu m'accompagne ce soir ? Je voulais aller à l'arcade

-Désolé, j'ai trop de devoir, il faut vraiment que je m'y mette

-Bon, j'irais seule, avec tout les prédateurs, les violeurs, les...

-Ok, ok stop ! Je t'accompagne, pff, t'es vraiment vache. Répondit-elle en lui donnant un coup de coude.

La jeune femme sourira dans sa veste blanche. L'hiver était rude cette année, la neige avait tout envahit.

« Mais je ne resterais qu'une heure, puis mon père viendra me chercher...

-ça marche ! » Répondit Alice en souriant

La journée continua alors du même ennuie quelle avait commencé. Ce ne fut qu'à la dernière sonnerie que la lycéenne ce réveilla enfin pour ce diriger avec joie vers la sortie de l'enfer. L'anglaise l'attendait déjà en croisant les bras d'impatiences. Après s'être échangées quelque jurons, elles allèrent vers la salle d'arcade. Il n'y avait pas grand monde aujourd'hui, quelque habitué qu'elle connaissait de vu.

Le temps passa rapidement et sans qu'elle s'en rende compte, la père de Cherry arriva, la laissant seule, encore une fois. L'envie de jouer avait disparue mais elle n'avait pas envie de sortir en voyant ces gros flocons tomber du ciel.

« -Je ne vais pas rester là à rien faire tout de même... » dit-elle à voix haute.

Après un temps, lorsque qu'il n'y avait plus personne, elle entendit des bruits, des gémissements à travers une porte. Quelque chose de suspect à vrais dire, qui ne faisait aucune doute sur l'origine des ses jouissements. N'ont-ils pas honte ? Pensa la jeune femme en regardant la porte qui séparait la jeune femme d'une scène de sexe. Pourtant, c'était plus fort qu'elle, elle voulait voir, voir ce qu'elle n'avait jamais vu d'aussi prêt. Bien sûr, comme tout le monde, il lui arrivait d'aller sur des sites adultes pour éliminer sa frustration sexuelle ou alors d'avoir entendu ses parents le faire sans vraiment chercher à voir. Mais là, c'était différent, tellement différent...Sa main se porta sur la poignée, sentant une excitation grandir en elle sous les cries de la femme. Doucement, elle l'abaissa et entrouva la porte pour y glisser un œil.

Il y avait une femme, allongé au sol, agrippant fougueusement ses seins, le corps contracté, on lisait un plaisir intense sur son visage. Ses longs cheveux lui tombaient sur la figure. Plus bas, au niveau de l'intimité, un homme, en noir, le visage caché par les jambes crispés faisant glisser sa langue de haut en bas.

Alice plaqua alors sa main sur sa bouche, pas choqué non, mais ne voulant pas se faire repérer de cette vision follement excitante, qu'elle observait. La jeune femme s'était toujours fait passé pour une sainte ni-touche alors qu'au fond, elle manquait de cette fantaisie. Alors Alice, discrètement, posa sa main droite sous son pantalons, en dessous du tissus pour caresser son bouton de rose, ressentant alors des frissons dans son corps, comme jamais auparavant. Mais ce plaisir ne dura pas puis qu'elle laissa échapper un gémissement sans le vouloir. La femme ne le remarqua pas, succombant à son plaisir alors que le trentenaire lui, retourna la tête montrant d'abord une mine froide mais après quelque seconde, souria narquoisement en soulevant un sourcil. Pour ne pas réveiller la madame, il glissa un doigts dans son intimité en continuant d'observer Alice de haut en bas en arrêtant son regard sur sa main.

La blonde sentie une chaleur lui monter aux joues, elle retira rapidement ses doigts, claqua la porte et ne pus s'empêcher de fuir, honteuse. Dans sa folle course, elle perdit le chemin de la maison, s'enfonçant dans les rues enneigés. Elle voulait juste s'éloigner de cette scène, de cette homme qui l'a regardait avec tant de perversité. Tant d'envie. Se stoppant pour reprendre son souffle, respirant l'air froid qui lui glaçait la gorge. Elle glissa le long du mur, alors que les passants évitaient de croiser son regard.

S'enfonçant dans la neige, elle commençait à avoir froid mais elle ne savait même plus où elle se trouvait à présent.

« Ça-va ? » Demanda une voix frêle, la regardant avec inquiétude.

Alice releva la tête et étouffa un crie. Cet enfant en face d'elle, de taille adulte, ressemblait tant à ce type...Non, ce n'est pas possible.

« Oui...Merci, menti-t-elle

-Mais vous tremblez, vous êtes perdus ?

-Oui...

-Vous pouvez passer la nuit chez moi si vous le souhaitez, je suis sûr que Mathieu sera d'accord, il est rude mais ce n'est pas un monstre tout de même.

-Merci, mais...Je ne peux pas accepter, je vais passer la nuit ici.

-Vous allez mourir si vous restez ici, s'il vous plaît acceptez ! »

Le petit tendant une main vers moi, d'une mine inquiète. Il ne veut pas avoir ma mort sur sa conscience...Quel monde pourrit.Alors, pour lui faire plaisir, la demoiselle lui attrapa la main et se releva sans rien dire d'autre alors que l'enfant la tirait par la paume.

« Tu t'appelle comment petit ? Demanda-t-elle d'un ton détachée

-Le geek, dit-il en souriant

-C'est pas un prénom ça..., marmonna-t-elle

Mais il ne répondit pas, contentant juste de traîner sa carcasse, ce gamin, elle pensait qu'elle aurait du refuser son offre. Elle se lassait aller, elle devait se montrer plus méfiante bon sang ! Montant dans les longs escaliers, il arriva et ouvrit la porte. Ne voulant pas entrer, elle resta sur le seuil de la porte, aucun tapis, Alice entendit de bruit dans la case.

« Rentre, n'est pas peur...dit-il d'un légers sourire.

-C'est que... »

Le petit renforça sa poigne, tentant de m'obliger à rentrer bien qu'il n'en avait aucune. Finalement, j'avançais un pas, mon cœur tambourinant en ma poitrine.

« Oh geek, tu es rentré...Es-ce que tu as... »

Un homme, ressemblant autant qu'au petit, qu'à ce type qu'elle avait rencontré. Il se trouvait dans un Kigurumi de panda. Elle ne sentait pas bien, devenait-elle folle en le voyant de partout hein ? Elle se tint la tête en le regardant.

« Mathieu va te tuer geek, tu sais...

-Oui je sais mais...Elle était allongée dans la neige... Je pouvais pas la laisser là... »

Le panda soupira

« Fais ce que tu veux, mais je ne te protégerais pas. »

Le petit ressentit un sursaut. Alice avait envie de partir, courir, tant pis si elle finissait à l'hôpital, elle en avait marre de ses conneries.

« -Papilloooooooooons ! »

Encore un, un homme au chapeau et lunette ressemblant aux autres, il courait alors dans case en battant des bras tel un oiseau. Je titubais alors sur mes jambes, cela en devenait de trop.

« HIPPIE RIVIENT ICI ! MA SOURIT N'EST PAS DU POLEN ! PASSE LA MOI, JE BOSSE ! »

Un homme, ressemblant alors autant aux autres, furax, arriva en courant, les sourcils joints, il semblait normal lui. Il continua d'hurler puis s'arrêta, se figea en voyant la jeune femme. Après un temps, ses doigts se pressèrent sur ses yeux.

« Dites-moi que c'est une blague...PUTAIN ! GEEK, OU T'AS LA TETE !, hurla-t-il

-Mais Mathieu, elle était...

-Je m'en fiche de son malheurs !

-Mathieu, elle aurait pu mourir...

-MAIS JE N'AI RIEN A FAIRE ! PERSONNE N'EST CENSE RENTRER ICI ! »

Alice recula de quelque pas, ravalant une larme, choqué de ses paroles aussi cruel. Elle se mordit la lèvre jusqu'aux sang, Un filet rouge coula le long de son menton puis jusqu'à son cou, regardant les autres hurler, crier. Elle n'en pouvait plus, elle perdait pied, s'emmêla et tomba au sol se prenant le mur. Le silence alors prit place en regardant la jeune femme en larme, le sang coulant sur son visage. Le fameux Mathieu soupira.

« Faites comme vous voulez, moi je vais bosser » dit-il en arrachant des mains la souris au Hippie.

Le Geek s'approcha de la demoiselle pleurant sans le vouloir, elle marmonna sans pouvoir s'arrêter

« Allez-y, tuez-moi, j'en ai marre... »

Un nouveau silence régna, plus personne n'oser parler à ses mots plus que confusant. Alice ne pourra plus jamais se regarder dans un miroir, elle en était désormais incapable . Elle ne voulait plus vivre.

« Ne t'inquiète pas, tu peux rester juste la nuit, cela peut arriver à tout le monde de se perdre » dit le panda en souriant.

Alice ne comprenait plus rien, elle était fatigué. On lui tendit une main qu'elle attrapa ressuyant du dos de sa main ses larmes. La porte s'ouvra en même temps qu'une voix grave et rauque.

« Vous ne devinerez ce qui m'est arrivé, j'étais en train de... » sa voix se stoppa

Un moment de silence, la demoiselle se retourna vers le mystérieux interlocuteur, la poitrine pleine de frisson. Il était là, cet homme, dans la salle d'arcade. Ces lunettes noirs, son costume de la même couleur. Un rictus déforma alors son visage.

« Là, ça va vraiment devenir intéressant... » dit-il.