Les personnages ne m'appartienne pas. J'espère que vous allez aimer la lecture. Il s'agit d'un défi pour améliorer ma syntaxe en français. Je corrige du mieux que je peux mais, parfois je suis aveugle. Alors, soyez gentil avec moi.
Lorsque les hommes ont peur, ils oublient
S'ils oublient, ils ont peur de l'inconnu
qui est l'inconnu, lorsqu'on se retrouve devant son propre reflet
et que l'on a oublié notre identité du passé.
Le début d'une malédiction
Une danse contre un souffle effréné, il luttait de toutes ses forces contre un mal qui coulait dans ses veines. Il avait l'impression qu'une rage sans fin commençait à naître et remplacer la chaleur de son cœur. Il ne lâcha pas l'infâme regard de son bourreau. Une pupille rouge sang et d'un noir profond. La créature l'avait trompée en prenant l'apparence d'un prêtre. Il avait été trompé par la peur et maintenant, il sentait son corps changer, se déchiqueté en morceaux, la tête lui tournait. Il vit le monstre lui sourire et lui murmurer tout dans son oreille : «C'est la guerre, le traiter est tombé».
La victime ne comprit pas le sens des mots. Il se fit saisir violemment les bras et son corps fut obligé de suivre le mouvement. Le torse contre l'hôtel de l'église, le visage écrasé sur le marbre sali de sang. Il put voir le complice de la créature pénétrer dans la nef dans une démarche gracieuse et langoureuse.
– Quelle belle proie m'as-tu trouvée, esclave, s'exclama l'intrus les lèvres étirées laissant voir deux longues canines. Espérons que tu es celui que je cherche, sinon je ne donne pas chère de tes proches.
La victime finit par réaliser que le monstre était loin d'être humain. Il détailla la bouche ouverte dont le sang sec recouvrait l'embouchure. Une peau terriblement blanche et vert, comme celle d'un cadavre. Une odeur horrible de décomposition. Il était laid, répugnant et sa simple présence l'angoissait. Il savait que cette chose n'était pas supposée d'exister.
– Dé... Démon, murmura-t-il.
Son menton fut saisi. Sa respiration commença à ralentir, il ne sentit plus ses membres.
– Oh! Toute de suite les grands mots. D'après toi, qui m'a transformé ainsi, un monstre qui ne veut que du sang.
– Je ne sais pas, répondit-il à bout de souffle. C'est peut-être ta soif de pouvoir qui t'a condamné dans cet état. Je n'y suis pour rien.
– Tu ne trouves pas que tu as joué avec le feu, de me prendre le joyau de Jubi.
– Tu as de mauvaises intentions. Il ne tombera jamais entre tes mains Mandara. Tu ne pourrais jamais contrôler cette puissance. Tu es maudit et tes descendants le seront aussi pour l'éternité. Le Jubi t'a maudit et le diable aussi pour avoir fait un pacte avec lui.
Il sentit sa mâchoire se resserrer au point où il eut l'impression qu'elle allait se disloquer. La victime jubilait intérieurement. Certes, il était condamné à être destiné de repas pour ce démon et en devenir un lui-même, mais Mandara ne s'en sortirait pas intact lui aussi.
– Qu'as-tu fait?
– Tu le découvriras bien assez vite.
Le démon le prit par les cheveux et le tira violemment vers lui avant de mordre dans la peau de son cou. Se condamnant à la malédiction. En lui buvant son sang, il comprit rapidement qu'il ne pouvait pas tuer son ennemie. S'il le tuait, il mourrait avec lui.
