Bébé et Vampire

Base : Cross-over FF7 et FF8.

Auteuse :

Genre : Yaoi bien entendu, AU, trip.

Couple : Bah tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il y a Vincent, Laguna et Squall !Comment ça je réponds pas à la question ?

Disclamer : Bien évidemment ils sont pas à moi, mais faut dire qu'on se connaît à peine !Ce n'est qu'une question de temps !

Laguna : Pourquoi on serait à toi d'abord ?

Machan : Guguuuuuu !!!!!!!

Machan qui se jette sur Laguna

Machan : Tu m'as manqué tu sais ?

Laguna : C'est bizarre mais pas moi !

Machan sort alors un objet de sa poche, qui est plus couramment appelé une « cl », et oui, et qui la met juste au dessus d'un chalumeau sortit d'on ne sait o

Machan, air menaçant : Qué t'as dit là ?

Laguna, à genou et suppliant les mains jointes, les larmes aux yeux : J'ai rien diiiiiiiis !! Je retire ! Tu ma terriblement manqué à moi aussi !

Machan : C'est vrai ce mensonge ?

Laguna : Ouiiiiii ! Tu peux me redonner la clef s'il te plaiiiiiiit !

Machan hésite quelques secondes puis éteint son chalumeau et donne la si précieuse clef à Laguna

Laguna : Merci merci merci merci merci merci merci merci !

Laguna se carapate alors en quatrième vitesse, la clef contre sa poitrine

Squall, qui vient de voir passer son père comme une flèche devant lui : C'est quoi cette clef ? ??

Machan : Squalounet ! Ca va ti?

Squall : -.- Je répète, elle sert à quoi cette clef ?

Machan : Qu'elle clef ?

Squall, qui commence à un piti peu s'énerver : La CLEF que mon PERE tenait contre lui !?!

Machan : Ah, celle-là ?! Bin c'est la clef pour ouvrir le cercueil de mamour Vincent !

Partie un : Bébé perdu.

Laguna se laissa retomber sur le dossier de son fauteuil en cuir. Il était fatigué, non épuisé par sa journée. Il passait son temps à courir dans tous les sens. Son poste de président d'Eshtar était éreintant. Il avait du assister à trois conférences mortellement ennuyeuses, sans compter sa réunion avec tous les dirigeants du pas, les papiers à remplir etc...

Il était 22h00.

-Déjà, se dit-il.

Il décida alors qu'il en avait finit pour aujourd'hui, se leva, tria quelques papiers sur son bureau et sortit. Il avançant dans le long couloir du premier étage, se demandant s'il allait avoir encore assez d'énergie pour allé le voir. Rien quand pensant à lui, à son sourire, sa peau si douce, son parfum, il se sentit ragaillardi.

Il ouvrit doucement la porte, essayant de faire le moins de bruit possible. Il s'avança, lentement. Il se pencha au dessus du berceau et le vit. Squall, son fils, son seul et unique fils. L'être qu'il chérissait le plus au monde. Un sourire se peignit sur ses lèvres à sa vue. Son petit bout de choux dormait paisiblement.

Le bébé avait 2 ans. C'était encore un tout petit. Mais si grande était son importance pour Laguna. Il avança sa main vers la petite chevelure brune de son enfant et caressa quelques unes de ses mèches, si douces. Après une dizaine de minutes passées au dessus du berceau, il se décida à aller se coucher. Cela faisait maintenant plus de 24h qu'il était debout, sans trouver une minute pour se reposer, pour souffler. Même pas pour s'occuper de son fils. Heureusement que la nurse s'en occupait bien. Et oui, la nurse et non pas sa femme. Elle l'avait laissé tomber pour, je cite « un manque d'attention, de temps, et surtout d'affection ». Il est vrai qu'il était toujours très pris par son travail. Mais que pouvait-il faire d'autre? Il était le seul à avoir assez d'autorité pour maintenir le calme dans ce pays, le seul. Il avait un don inné de chef et il était même près à se mettre dans des situations périlleuses pour protéger son pays et ceux qu'il aimait. Certes il pouvait être tête en l'air, un peu trop souvent peut-être, mais il retombait toujours sur ses pieds.

La seule personne qui arrivait à lui redonner un temps soit peu de moral était son enfant. S'écartant du berceau, il décida d'aller se coucher à son tour.

Epuisé. Lessivé. Il se demandait même s'il allait pouvoir se réveiller le lendemain. Il se changea en silence, pour ne pas réveiller son fils, et se glissa sous les couvertures de son lit, bien trop grand pour lui seul. Les draps étaient frais. Il frissonna. Quelques secondes plus tard, il s'endormit.

ΩΩΩ

Durant sa courte nuit, Laguna fit un rêve bien étrange.

Noir. Tout est noir autour de lui.

Non, une étincelle, là, droit devant lui.

Il s'avance.

Du verre ?

Une glace ? En morceaux en tout cas.

Soudain un cri. Il se retourne, sur ses gardes.

Mais il n'y a rien d'autre que le noir. Et des pleurs.

Etrange… Il les connaît, il en est sûr. Mais impossible de se souvenir d'où il les connaît.

Et ça continue, encore et encore.

Toujours ces pleurs.

Mais d'où viennent-ils ?

Il essaye de se diriger vers la source de ce bruit qui lui fend le cœur, mais c'est comme s'il y avait résonance. Le bruit semble venir de partout à la fois.

Il panique.

Ces pleurs lui fond mal. Et ils redoublent d'intensité.

Laguna se bouche les oreilles en plaquant ses mains dessus. Et il crie :

- Arrêtez !! Arrêtez ces pleurs !! Je vous en pris !! Arrêtez !!!!

Et il répète ces mots continuellement.

Une larme coule le long de sa joue, puis une autre.

Mal. Il a tellement mal.

Une présence derrière lui. Il se retourne, et fait face… au vide.

Non, à droite.

Il pivote.

Toujours rien.

Et ce petit manège recommence, jusqu'à ce qu'il tombe face à face avec… du rouge.

Il s'approche et tend la main.

Serait-ce de la soie ?

Non, pas vraiment.

Et comme vivant, le rouge abstrait se modifie, se matérialise.

D'abord en une sorte de bandeau, ou une écharpe peut-être.

La bande rouge vient ensuite entourer son bras. Et elle remonte, l'enlaçant e une caresse. Il se retrouve soudain enveloppé de la tête aux pieds.

Il panique. Il se débat. Mais même si le rouge ne le serre pas, il lui est impossible d'esquisser le moindre mouvement.

Deux petites fentes rouges apparaissent alors devant lui.

On dirait… Des yeux…

Oui c'est ça, des yeux rouges.

Mais ça n'existe pas se dit-il. Ou si, peut-être chez les albinos.

Il coupa court à ses pensées en voyant des dents apparaître à leur tour en dessous des dis yeux.

Quelque chose cloche. Deux d'entre elles s'allongent, devenant plus pointues que les autres.

Et la « mâchoire » se rapproche de lui, lentement.

Il ferme les yeux, terrifié.

C'est alors qu'il se rend compte qu'il n'entend plus les pleurs. Ils ont disparus. Mais autre chose les à remplacé.

Une voix… masculine… sensuelle… apaisante, qui répète en boucle :

- Chuuuut… Lààà… Le suis là… Tu n'as plus rien à craindre…

Qu'elle est cette sensation ? On dirait… On dirait… qu'on le MORD ? Là, dans son cou. Mais … non… NON !!!!!!!

Laguna se réveilla en sursaut, trempé de sueur.

Il porta la main à son visage.

Quel rêve étrange.

Il tourna la tête pour voir l'heure : 7h20. Déj

- Quoi 7h20 ??!

Il fit un bond hors du lit.

- Merde ! J'avais oublié de mettre le réveil !!!

Il prit en 4ème vitesse des vêtements propres et couru jusqu'à la salle de bain communicante avec sa chambre.

Il se lava rapidement, se brossa les dents et se coiffa.

10 minutes plus tard, il était prêt. Bon il avait peut-être sauté son petit déjeuné. Mais il verrait ça plus tard, il n'avait pas le temps.

Il s'apprêtait à sortir de la chambre quand un doute l'assaillit. L se dirigea vers le berceau, lentement, comme s'il redoutait quelque chose.

Il se pencha au dessus.

Son cœur loupa un battement. Non deux. Ses yeux s'agrandirent d'effroi.

Le berceau était… vide…

Son fils… son fils… son béb

- NOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!!!!!!!!

Frénétiquement, il se mit à chercher partout dans la pièce la moindre trace de son enfant. Mais il ne trouva rien.

Il sorti de la chambre et fit le tour de toutes les autres pièces de la maison, en appellant son fils, les larmes sur le point de couler.

Après une bonne heure de recherche, Laguna, anéanti, se laissa tomber au sol, pleurant. Son fils était… avait été… enlevé. Et lui ne s'en était même pas aperçu. Il n'avait rien entendu.

Il était tellement triste qu'il n'entendit pas frapper à la porte, et ne réagi pas non plus lorsque quelqu'un entra. Ce fut seulement quand il senti une main se poser sur son épaule qu'il relava rapidement la tête et vit ses deux fidèles compagnons et amis de toujours : Kiros et Ward.

- Laguna ? Quelque chose ne va pas ?

- Je… On…

Le président d'Eshtar se jeta dans les bras du typé, continuant de pleurer.

- Qu'est-ce qu'il se passe Laguna ? Demanda Kiros inquiet.

- Squall… mon bébé...

- Oui, Squall ?

- Mon bébé a été enlevé !!!!!!

Et il pleura de plus belle.

- Que quoi ? Dit-il surprit. Squall a été enlevé ?!

- Ouiiiiiiii… Mon bébéééé !!!!

Kiros le berça tendrement, essayant de lui apporter un minimum de réconfort, sous le regard désemparé de Ward.

ΩΩ

Une heure plus tard.

Laguna avait raconté ce qu'il s'était passé depuis son réveil, et la police ainsi que des détectives furent contactés pour retrouver le ou les coupables.

Le lendemain de l'enlèvement, une rançon spéciale fut communiquée à Loire par une lettre composée de morceaux de journaux.

« Si tu veux un jour retrouver ton fils vivant, tu n'as d'autre choix que de démissionner et quitter le pays à tout jamais. Tu as 6 jours et pas un de plus. »

La lettre fut confiée aux plus grands spécialistes de criminologie mais aucun indice n'eu été trouvé.

L'armée, la police, les détectives, des spécialistes et autres furent mi sur le coup à la recherche des ravisseurs.

Au fils des jours, l'état du président se dégrada de plus en plus. Il ne mangeait plus, le dormait presque plus, buvait de force. A ce rythme là, les médecins en avait conclut qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps avant d'être hospitalisé.

Les hauts préfets ne savaient que faire sans l'accord de leur supérieur. Sans lui, le pays tomberait dans le chaos.

Il devait choisir entre son pays… et son fils.

Fin 1ère partie

Machan : Enfin je me décide à retaper le début de cette fic. En espérant que cela me motive pour la continuer et surtout la finir… -.-