Auteur: Novalia (ou Leetica)
Titre: On a jusqu'au 16 février 1977, Harry.
Disclaimer: Est-ce nécessaire de le dire? Tout le monde le sait déjà! Bon, OK: Tout, tout, tout appartient à JK Rowling, sauf quelques personnages dont Cassy, Bludline, Helen, les With etc. etc. ...
J'aurais aimé mais NON: je ne reçois rien en publiant cette fiction (sauf quelques reviews j'espère!)
Résumé général: Harry se retrouve par erreur à l'époque où ses parents étaient à Poudlard. Mais il n'y est pas seul: Cassiopée Jones... ou plutôt «Cassiopée Jones BLACK» l'accompagne. Leur but: se sortir de cette situation en en profitant pour en savoir plus sur leurs parents respectifs. Ils devront donc collaborer pour s'en sortir… mais ils se détestent!
P'tit blabla de l'auteur: Bon, je n'ai jamais écrit de fiction du genre. Alors dites-moi quoi! Puis je dois rajouter que je suis une élève de 15 ans en cette année 2004 et que mon orthographe, ma grammaire et tout ce qui s'en suis ne se sont pourtant pas intégrés dans ma p'tite tête. Je suis vraiment un cancre et je dois juste prévenir les défenseurs de la langue française de ne pas continuer si c'est pour critiquer mon style ou de continuer et ne tenir compte que de l'histoire si ils y arrivent.
J'essaye vraiment de m'améliorer et de faire de mon mieux pour vous pondre une histoire avec le moins de fautes possibles. Pardon d'avance! Mais à partir du chapitre 7, un correcteur sera 'engagé' lol. Alors voilà…
J'ai déjà écrit 7 chapitres et je n'attends que votre feu vert. Sur ce, BONNE LECURE!
Chapitre 1
- TU NE PEUX PAS ME LACHER DEUX SECONDES, JONES?
- C'EST BON POTTER. JE PARS!
Cassiopée fondit dans son dortoir en moins de temps qu'il n'en fallait pour dire quidditch, abandonnant Hermione qui la suppliait de rester puis qui se retournait furieuse contre Potter. Mais qu'est ce qu'il pouvait l'énerver.
Cela faisait un an qu'ils se connaissaient. Après la mort de son père, Cassiopée avait décidé d'aller à sa remise honorifique qui le disculpait de tous les crimes qu'on l'accusait d'avoir commis. C'est là qu'elle l'avait rencontré, le célèbre Harry J. Potter, et c'est là aussi qu'elle avait appris que le survivant était le filleul de son père. Quand elle lui avait révélé qu'elle était la fille de Sirius Black, il ne l'avait pas crue; aucun soupçon de doute n'avait fait étinceler ses yeux verts. Elle avait du se justifier en présentant le médaillon qui pendait à son cou et qui contenait les deux photos les plus chères à ses yeux: la première représentait sa mère et son père avant qu'ils ne se séparent, ils devaient avoir une vingtaine d'années, la deuxième représentait encore sa mère, ses cheveux noirs et bleutés (ce qui ne se voyait pas sur la photo en noir et blanc), qui tenait dans ses bras une petite fille de 6 ans au plus avec ses deux petites couettes de la même couleur que les cheveux de sa mère. C'est seulement là que Potter avait daigné la regarder... ou plutôt la dévisager, certainement pour trouver un point de ressemblance qui pourrait lui démontrer que Cassiopée Jones était bien de la descendante de Sirius Black.
- Cassy? Je peux entrer?
-Bien sûr Hermione. C'est ton dortoir aussi je te signale.
- Je le sais très bien, je te signale que ça fait plus de 6 ans que j'y vis.
Hermione s'assit à côté de Cassiopée sur son lit à baldaquin en lui souriant.
- Alors?
- Alors quoi? demanda sèchement Cassiopée, ce qui la trahit: elle savait très bien de quoi voulait parler Hermione. Cette dernière leva un sourcil tout en faisant un petit sourire en coin.
- Bon, je me suis encore emportée mais avoue que Potter l'a bien cherché.
- Je sais que c'est Harry qui a commencé mais tu es plus intelligente que ça, tu pouvais ne pas tomber dans son scénario.
- Je sais 'Mione, grogna Cassiopée. Mais tu sais que je ne le supporte pas!
- Je ne crois pas que tu ne le supportes pas, commença Hermione. Je crois plutôt que vous ayez des différents dans vos avis et caractères et que vous ne supportez pas l'idée d'avoir tort.
- Et bien... soupira Cassiopée en plongeant un main dans ses cheveux, ...toutes ces personnes de l'Ordre qui disent que Sirius Black et sa fille ont exactement le même caractère... Je ne les crois pas! Elle croisa ses bras et regarda méchamment dans le vide. Si nous avions vraiment le même caractère, Potter serait déjà mort foudroyé par Sirius.
Hermione éclata de rire et Cassiopée qui voulait se montrer sérieuse, se mordit les joues pour ne pas suivre son amie mais la sincérité de son sourire desserra ses dents malgré elle, et elle se mit à rire à son tour.
- Ecoute, Sirius était un homme fabuleux, tout comme toi. Je l'ai connu et je peux te dire que vous êtes pratiquement les mêmes.
Soudainement, les yeux noirs de Cassiopée se voilèrent.
- Oui, toi tu as eu la chance de le connaître.
Sa mère avait quitté Sirius à peu près un mois avant la naissance de Potter pour des causes qu'elle n'avait jamais voulut lui révéler, à elle, sa propre fille. Le 6 octobre 1980, Cassandra White avait eu le bonheur et la surprise de se retrouver en train de donner naissance à une petite fille, à qui elle infligea le nom de Cassiopée pour respecter une stupide tradition des White. Sa mère ne savait pas qu'elle était enceinte. Elle avait cru avoir pris quelques kilos à cause de son laissé aller suite à la mort de sa propre mère. C'est vrai que Cassiopée était née prématurée d'au moins un mois d'après les médicomages et que les photos de sa mère prises un ou deux mois avant sa mise a monde ne suspectaient aucun bébé en vue.
- Je... Tu sais que j'en suis désolée et tu sais aussi à quel point je comprends que tes parents te manquent.
Hermione changea soudainement son air grave en un visage rayonnant de bonheur.
- Quoi? demanda Cassiopée.
- Ho rien, rien... Bon, et si on allait se changer les idées?
- Comment?
- On descend avec les garçons et on va au parc par exemple.
- HERMIONE! Tu veux tout de suite me faire affronter Potter?
- Cassy, Harry est un de mes meilleurs amis, je ne peux pas le laisser en plan à cause de vos stupides disputes.
- Et qu'est ce que tu espères? Que je vienne avec vous comme si de rien n'était?
- Je veux que tu viennes avec nous et que tout d'abord, tu demandes pardon à Harry.
- Hermione...!
- Cassiopée! la coupa-t-elle sèchement. Ça n'a pas été facile mais Harry te présentera ses excuses. Il n'est pas le seul fautif et il est normal que toi aussi tu t'excuses.
- Mais...
- Pas de 'mais' qui tiennent. Vous avez 17 ans...
- 16, coupa Cassiopée boudeuse.
- Il en a 17 et dans quelques jours tu auras toi aussi 17 ans. Tu seras officiellement une sorcière majeure. Ces stupides disputes ne tiendront plus. Avoue que vous ne délibérez pas sur la paix dans le monde mais de choses futiles pour lesquelles vous pourriez économiser vos salives.
Hermione laissa un moment de silence en attendant la réponse de Cassiopée qui se manifesta par un grognement affirmatif.
- Alors, la question des excuses est réglée. Maintenant, tu pourrais me faire le plaisir de venir avec moi et les deux autres au parc? S'il te plaaaiiiiit… Implora Hermione imitant les gros yeux de Pattenrond. Cassiopée ne pouvait pas résister à ces yeux et explosa de rire sous l'intensité du regard de son amie.
- Bon, d'accord je viens, je viens...
- J'arrive pas à faire ce fichu truc de métamorphose... Heeeermiiiiiioooonnneeeeuuh? finit par chantonner Ron.
- Pas aujourd'hui, Ron, lui répondit-elle sèchement tout en tournant une page du livre dans lequel elle était plongée. De toute façon, ce n'est pas moi la plus brillante en métamorphose ici.
Ron se tourna instinctivement vers Jones qui le foudroya du regard. Il feinta de déglutir de peur et se retourna vers Hermione.
- La dernière fois, elle m'a transformé en lapin quand je lui ai demandé de l'aide.
- On avait fait un marché mon lapin, rigola Jones.
- Et les incisives de 10 centimètres vont très bien avec tes taches de rousseur, ajouta Harry.
Jones éclata de rire.
- Très, très marrant, grimaça Ron. Mais je ne l'aurais pas fais si j'avais su.
- On avait fait un marché que tu as accepté. rappela Jones et jouant avec une des feuilles de l'arbre sous lequel ils s'étaient assis.
- Je n'ai pas vu dans le contrat «Miss Jones promet d'aider Mr Weasley en échange de tests qu'elle fera sur lui pour le transformer en un lapin aux dents proéminentes.»
- Normal, il n'y avait pas de contrat, remarqua Hermione sans décoller les yeux du gros livre rouge qu'elle avait trouvé à la bibliothèque.
- Si seulement il n'y avait pas eu de marché non plus. Manger des trèfles m'a donné une de ces indigestions.
- Moi je te trouvais tout mignon, le consola Hermione.
- Wouw, wouw. Y a-t-il anguille sous roche? les taquina Harry.
- Ton anguille doit être aussi grosse qu'un hippogriffe, rigola Jones bientôt suivie par Harry, ce qui leurs valut une rafale de vent froid et un puissant jet d'eau sortis des baguettes d'Hermione et Ron. Harry et Cassiopée savaient rire des mêmes choses quelque fois. C'est ces moments-là que Harry préférait avec la fille de son parrain. Mais ces mêmes moments étaient très rares, ils n'arrivaient jamais à rester en bonne entente plus d'une journée. Lui qui se croyait si heureux d'avoir découvert quelqu'un qui puisse toujours lui faire penser à Sirius… mais cela avait été plus difficile que prévu. Cela avait certainement du être encore plus difficile pour elle: sa mère, Cassandra White, une photographe qui exerçait en Irlande, était morte étrangement quand Jones avait une petite dizaine d'année. Elle avait vécu avec son père, Dévelon Jones, un homme qu'elle détestait, qui s'enfuit juste avant ses dix ans. Elle était donc partie vivre chez sa grand-tante maternelle qui lui révéla que son indigne de père était en réalité son beau-père. Jones avait avoué que dans un sens, ça l'avait beaucoup soulagée de savoir que le sang de l'homme qui ni elle, ni sa mère n'aimaient ne coulait pas dans ses veines. Cassandra White aurait voulu voir sa fille aller à Poudlard, c'était un de ses plus grands souhaits. Mais sa grand-tante ne le voyait pas ainsi: elle la garda avec elle en Irlande et l'inscrivit dans une école spécialisée en métamorphose sous prétexte qu'elle aurait acquis le don des femmes White qui excellaient en cette matière. Sa tutrice lui révéla quelques jours avant sa mort d'une vieillesse accentuée que son vrai père n'était autre que le meurtrier Black et Jones en eu le cœur brisé.
- Je me demandais comment ma mère avait pu tomber amoureuse de Sirius Black. Elle me parlait beaucoup de lui – bien sûr sans mentionner son nom- comme d'un homme génial qu'elle aurait voulu épouser, sans le faire pourtant, et elle m'avait dit qu'il était mort.
Dès que j'ai appris d'où venaient mes gênes, je me suis détestée et j'ai haï Black. J'ai mis la mort de ma mère sur son dos, supposant qu'il l'avait tuée dans ses fonctions de Mangemort pour se venger de son mariage avec Dévelon Jones. Ce n'est que fin juin que j'ai appris en lisant le journal dans mon orphelinat moldu, que Sirius Black avait officiellement été disculpé. J'ai eu la soudaine envie de voir à quoi ressemblait mon père. Juste avant de me retrouver à son «enterrement sans corps», j'ai trouvé ce collier et le pendentif que ma mère portait toujours sur elle. Heureusement que je le portais sur moi sinon personne ne m'aurait cru, avait-elle raconté l'an passé lorsque Hermione, Ron et Harry faisaient sa connaissance. Ron et Hermione l'avaient tout de suite acceptée mais entre Harry et Jones, quelque chose n'avait pas passé. Certes il acceptait de la voir, de lui parler de temps en temps, de passer du temps avec elle mais seulement quand il était accompagné de ses deux meilleurs amis. Hermione et elle sont tout de suite devenue très amies, peut-être que la compagnie féminine manquait un peu à la jeune sorcière car Parvati et Lavande étaient vraiment dans un monde différent de celui de la consciencieuse 'Mione.
Personne ne connaissait la véritable généalogie de Jones, excepté les membres de l'Ordre dont la nouvelle, Miss Bludline.
Miss Bludline avait rejoint les rangs de l'Ordre dès son arrivée en Angleterre. Elle avait vécu une bonne partie de sa vie en Roumanie, information découverte grâce aux oreilles-à-rallonge des jumeaux Weasley, qui se vendaient maintenant à prix d'or dans leur nouveau magasin. Pourtant, elle n'avait aucun accent. Elle enseignait fabuleusement la Défense Contre les Forces du Mal à l'école depuis l'an passé, puisque Mr Waroman avait été renvoyé sans état d'âme, après avoir crié à l'école entière qu'il était attiré par toutes les jeunes filles de Poudlard et qu'il voulait créer une nouvelle société de polygames. Elle était arrivée en Angleterre un mois après le départ de Remus en mission, qui n'en était d'ailleurs toujours pas revenu. Elle donnait cours d'une manière extraordinaire et Harry ne pouvait se décider qui de son professeur de troisième année ou de son professeur actuel était le meilleur. Elle devait avoir une vingtaine d'années de plus que lui et pourtant, elle avait l'air particulièrement jeune. Harry définissait difficilement son âge à cause de son grand chapeau typique de sorcière noire dont l'ombre ne laissait apparaître qu'une partie de ses cheveux d'un blond glacial et des lèvres pâles mais toujours emplies de savoir. Dean avait risqué une seule fois de poser la question qui brûlait les lèvres de tous les élèves.
- Professeur? Pourquoi portez vous votre chapeau en cours? Toutes les têtes s'étaient retournées sur lui d'un air surpris et Dean s'était alors ratatiné sur sa chaise. Au lieu d'une expression colérique, Harry et les autres avaient découvert un sourire pâle mais sincère.
- Et bien, peut-être que je dissimule un secret dessous, avait-elle dit d'un ton mystérieux. Une foule de questions s'étaient bousculées dans la petite tête d'Harry. Avait elle eu de graves blessures? D'après les chuchotements qui circulaient dans la classe entière, il n'était pas le seul à le supposer.
- Vous êtes aveugle, professeur, avait alors affirmé Hermione. Tout le monde s'était tu.
- Effectivement Miss Granger. C'est une des choses, et une des principales, que mon chapeau cache.
Mais comment Hermione savait-elle tout ça? Tout le monde l'avait regardé, absolument abasourdit mais personne n'avait réussi à lui faire expliquer son raisonnement l'amenant à cette bonne déduction.
- Vous êtes très forte et raisonnée. Vous pourrez aller loin.
Hermione s'était ratatinée sur sa chaise et avait rosi légèrement derrière un air qu'elle voulait sérieux, mais ses yeux marron avaient trahi sa joie d'entendre ces compliments.
Miss Bludline était donc une nouvelle arrivante dans l'Ordre et le nouveau professeur de DCFM. Elle avait l'air de beaucoup apprécier Hermione (bien sûr, l'élève la plus consciencieuse) mais elle avait aussi l'air d'apprécier Jones et Harry pour une raison qu'il ne pouvait expliquer. Peut-être était-ce parce qu'ils avaient tous deux un lien avec Sirius... parce qu'elle avait l'air d'avoir connu Sirius! Quelques petites choses qu'elle disait menaient Harry sur la piste de son parrain et étrangement, elle s'inquiétait beaucoup pour Remus et sa mission. Elle devait aussi avoir connu Lupin... Avaient-ils déjà communiqué ensemble tous les trois? Avait-elle été à Poudlard? Se seraient-ils rencontrés quelque part? Beaucoup de questions dont il était presque certain de ne jamais connaître les réponses. Il préféra donc les oublier.
- Bon, je dois partir, soupira Jones en rattachant en deux queues serrées sur sa petite tête ses très long cheveux bleutés qui lui arrivaient dans le bas du dos, décoiffés quelques temps plutôt par le souffle glacial qui s'était projeté de la baguette d'Hermione.
- Pourquoi? demanda Ron, s'énervant sur la montre qu'il devait transformer en pigeon.
- C'est l'heure de son cours maintenant, dit Hermione, le doigt suivant les mots qu'elle lisait.
- Je ne vois pas pourquoi tu prends des cours de rattrapage en métamorphose avec tes notes.
- Parce qu'il y a des choses que je dois améliorer, que je n'ai pas apprise dans mon ancienne école, Ron, soupira-t-elle pour la quarante-sixième fois u moins depuis le début de l'année en prenant son sac.
- Toujours le même refrain, soupira Harry. Jones s'arrêta et se retourna vers ce dernier
- Parce que c'est le bon refrain!
Puis elle continua son chemin vers le château.
- Moi qui avait cru à un miracle: aucune dispute pendant une demi-heure.
- N'exagère pas Ron. Ce n'est pas si rare que ça.
- Maaaaiiiis bien sûr!
- Bon les garçons, c'est le moment idéal pour parler de son cadeau d'anniversaire, dit Hermione en refermant son livre poussiéreux. Qu'est ce que vous avez?
- Bin, moi j'ai un petit appareil photo que j'ai trouvé dans le hangar de mon père. Bon, c'est pas comme si c'était du très cher mais il est assez mignon et il fonctionne bien.
- Très bien! Et toi Harry?
- Je suis vraiment obligé? grimaça l'interpellé.
- HARRYYYYY! reprochèrent Ron et Hermione.
- Quoi? demanda-t-il. J'ai ma fierté à garder.
- Peut-être que si tu lui offres quelque chose, ce sera fini votre gue-guerre, répondit Ron sans y croire.
- Pffffff... bon et bien je trouverai alors.
- Génial! Et biem moi, c'est en pleine construction, sourit Hermione.
- Vas-tu enfin nous dire ce que tu mijotes?
- Ha haaaaa... répondit-elle mystérieusement. Vous verrez! Et elle porta son sac à son épaule.
- Je vais aller commencer ça tout de suite. NE ME SUIVEZ PAS! Puis elle fit quelques pas avant de se retourner et d'ajouter: Ho! et j'oubliais: Harry, tu devrais prendre ton sac et y mettre ta cape d'invisibilité. Ok?
- Mais pourqu...
- OK? insista-t-elle.
- Rhôôô... Bon, c'est d'accord, grogna Harry, frustré de ne pas savoir ce qu'elle avait derrière la tête.
- Merciii! rayonna Hermione avant de sautiller vers le château. Ron soupira lourdement tout en jetant sa maudite montre dans son sac.
- Rolala, les femmes...!
