OS : Goodnight my Lord !
Bonjour tous le monde ! Entre deux chapitres je me suis mise à écrire cet OS sympa et tendre comme du beurre XD ^^ J'espère que vous aimerez ! Bisouille bisouille, Angie et sa tendresse =3 !
...
Point de vue Sébastian :
C'était devenu une habitude. Le soir, lorsque j'avais complètement terminé mes tâches, je me faufilai dans sa chambre. J'oubliais tout et je restais là, des étoiles dans les yeux. Je m'installais près de lui et l'observais. Je ne me lassais pas. Il était allongé, endormi depuis des heures. Ses yeux clots laissaient tomber de magnifiques et longs cils, de sa bouche mi-close sortait une respiration mesurée et chaude.
Moi, j'étais allongé à côté de lui, mon bras nu frôlant le sien parfois. Pour vous rassurer et que vous ne me preniez pas pour un pervers, j'étais habillé. Il n'y avait rien de sexuel là dedans ( NDA : Pour une fois venant de ma part XD ^^). Juste de touchant. Mes manches de chemises étaient relevées jusqu'aux coudes, me permettant ainsi de sentir par moment sa luxueuse peau contre la mienne. Comme je vous l'ai précédemment raconté, il n'y avait rien de sexuel, j'aimais juste sentir cet appel à la luxure plus proche de moi. Mon contractant, mon maître, mon bocchan...Ciel Phantomhive. Par moment, dans le silence de la nuit, il se retournait...ainsi, ma vue était coupée mais heureusement, l'instant d'après il me faisait de nouveau face. Et c'était comme ça tout les soirs...
C'est un autre soir, avec les mêmes sentiments que je l'observais. Et c'est à ce moment précis qu'il se mit à parler :
"Oui, un sucre pour moi...!" avait-il murmuré avant de se retourner puis de revenir de nouveau face à moi.
Je m'étais penché vers lui et j'ai doucement senti sa respiration contre ma joue. C'était agréable peut-être même apaisant. Les nuits étaient magnifique pour moi, le démon qui n'avait pas besoin de sommeil...Mais ça, mon petit maître l'ignorait.
Les journées étaient différentes, il était plus agacé, énervé et pourtant il dormait très bien. Je l'assure. Parfois, il me criait dessus sans raison et c'était très embêtant. Moi qui l'aimait tant. Heureusement, le soir c'était plus doux.
Un autre soir, encore, ça c'est passé comme ça, sans me prévenir. J'étais déjà près de lui, attendant avec impatience le moment où il parlerait mais...ce fut tout autre chose qui arriva : Ses bras vinrent enserrer ma taille et il posa sa tête contre mon torse. Là, parfaitement installé, il susurra :
"Mon Sébastian, ce que je t'aime...!"
Ainsi je restais bouche bée tandis que suçait son pouce comme un petit bébé.
Souriant comme un idiot je me penchais vers lui et susurrait à son oreille :
"Mon Ciel, ce que je t'aime...!"
