Coucou !
Je suis de retour, pour vous jouer un mauvais tour. Non plus sérieusement, c'est une fic. sur laquelle je bosserai en même temps que « Les Roses Blanches du White Day » (qui reste ma fiction principale), donc les chapitre de celle-ci sortiront moins souvent, mais ce seront, pour la plus-part, des pavés donc... ^^
Aussi, vu que la majorité des francophones sur ce site sont Français, je tiens a prévenir que l'histoire se déroule dans un collège en Belgique. Pourquoi je le précise ? Car les systèmes scolaires ne sont pas les même. En gros, nous avons d'abord trois maternelle, puis six primaires (1, 2, 3, ...) et enfin six secondaires (même chose) ('y a aussi l'unif', mais ça, on s'en fout ici). Ici la majorité des persos sont en sixième secondaire, ce qu'on peut comparé à la terminale. Voili, voilou, c'était le point pour que les Français (et les autres (sauf les Belges, parce qu'on est les meilleurs :P)) ne s'emmêlent pas les pinceaux.
Je vous laisse lire, au passage, le fait que ce chapitre (enfin, prologue) soit relativement ennuyeux est normal. C'est même le but. ^^' (Enfaite ce sera la même chose pour le début du prochain ^^').
Bon je vous laisse, on se retrouve en bas :D !
(Écriture italique (sauf dans le chapitre en lui-même) = Fury)
Disclaimer: Ceci est le premier d'une longue liste, alors je le dis d'entrée de jeu. One Piece ne m'appartient pas.
ooOoOoOoo
Mercredi 2 septembre 2015
Bip Bip Bip
L'alarme de mon GSM sonnait comme un supplice à mes oreilles, qui me hurlaient d'éteindre ce putain de téléphone. Je tâtai donc, encore à moitié endormie, la table de chevet en bois qui se trouvait à côté de mon lit, afin de mettre la main sur ce maudit appareil. Trouvé ! J'appuyai sur un bouton en gardant les yeux fermé, mais ce ne fut pas suffisant. La lumière de mon écran réussissait le pari fou de m'aveugler alors que mes paupières m'empêchaient de voir quoi que se soit. Soite. Je lâchai un grognement avant de tenter d'ouvrir les yeux une fois mon portable mit sur silencieux et verrouiller. Pas question de devenir aveugle. Quoique, cela m'éviterai d'aller en cours, mais... non.
Une fois ce monologue intérieur finit, je me levai, non sans peine, pour me diriger vers ma garde-robe. J'y pris un jean bleu classique, un sweat noir serrant au niveau des bras, mais plus large et un peu trop court au niveau de la taille, ainsi que des sous-vêtements. Par la suite, comme chaque matin, je me dirigeai, mes affaires sous le bras, vers la salle d'eau raccrocher à ma chambre pour y prendre une douche et me préparer pour la journée qui arrivait.
Après avoir terminer, je me rendis à mon bureau, pris mon sac à dos bleu, décoré avec de nombreux badges, sur mon épaule et me regardai dans le miroir à côté de ma garde-robe. Mes cheveux châtains et ondulés, m'arrivant aux épaules, étaient attachés en une petite queue de cheval. Mes yeux gris s'observaient eux-même puis allèrent se balader sur mes nombreuses tâches de rousseur. Prête, je sortis dans le couloir du deuxième étage. Finalement, je fermai la porte à clé et me dirigeai vers les escaliers qui me mèneraient vers la sortie de l'internat.
Dehors, le soleil était déjà entrain d'apparaitre et marquait des ombres fortes au sol. Quelques élèves interne trainaient aussi dans la cours, attendant de pouvoir aller déjeuner. Et, comme d'habitude, je me mis dans mon coin, sous un arbre, et pris un manga dans mon sac. Le premier tome de Kenshin le Vagabond, que je lisais pour la cinquième ou sixième fois déjà, mais que voulez-vous, j'adore cette série. J'avais à peine lu trois pages que la sonnerie annonçant le petit déjeuner retentit. Les derniers élèves a être dans l'internat sortirent et nous nous dirigeâmes d'un même mouvement vers le bâtiment en briques rouges où se trouvait la cantine.
Une fois rentré, je pris un plateau rouge sur le dessus d'une pile et me mis dans la file afin de prendre un bol de céréales. Je me dirigeai vers une table avec mon plateau, sur lequel j'avais également déposé une bouteille de jus d'orange, m'assis et mangeai tout en continuant de lire, n'adressant la parole à personne.
La journée passa comme la précédente et toute celles encore avant. Et comme d'habitude, je n'avais pas réussi a tisser un début d'amitié. Pourtant, ce n'est pas comme si les gens ici paraissaient malveillant. Certains ont même essayé d'engager la conversation avec moi, la petite nouvelle. Mais, non, il n'y a rien a faire, je reste dans mon coin, mes livres, mon monde.
Arrivé dans ma chambre, je fis rapidement les quelques devoirs que j'avais pour le lendemain, puis me mis sous les couvertures, en pyjama. Cependant, je ne tombai pas dans les bras de Morphée, attendant une heure bien précise. Minuit. Cette heure était celle où tout le monde était censé dormir à l'internat. Celle où mon monde prenait vie et où je me décoinçai. Celle où j'osais tout.
J'allumai mon téléphone et regardai l'heure. Tout juste dix-huit heures. J'avais encore du temps devant moi, comme d'habitude. Je sortis de sous les draps, pris un des livres que j'avais placé dans ma bibliothèque et me plongeai dedans. Dévorant chaque mot, chaque phrase. De quel livre il s'agissait ? Les Mémoires d'un Âne, de la Comptesse de Ségur. Une histoire que ma grand-mère, qui adorai lire, m'avais conté lorsque j'étais petite. Ou en tout cas plus petite que maintenant. Des bouquins que ma Bonne Maman m'avait lu, celui-ci était mon préférer. Alors je le lisais, encore et encore. Tellement de fois que je pourrais réciter le premier chapitre de mémoire, mais bon, c'était une histoire qui avait une valeur sentimentale à mes yeux. Plus que les autres. Pourquoi ? Je n'en sais rien. Tout ce que je me souviens, c'est que c'était le conte qui m'avait le plus captivé durant mon enfance.
Je continuai ma lecture longtemps, très longtemps. Jusqu'à minuit. Là, je le redéposai dans l'armoire, enfilai un gilet qui trainait sur la chaise de mon bureau et me mis devant le fenêtre qui m'offrait une vue apaisante. La cours entièrement vide, mais éclairée par des lampadaires diffusant une lumière uniforme et jaune.
Je l'ouvris en grand, m'assis sur l'appui de fenêtre, dos contre la vitre, les jambes repliées, mes bras les entourant. Je pris une grande inspiration et commençai, comme d'habitude.
I'm gonna pick up the pieces,
and build a Lego house.
If things go wrong,
we can knock it down.
But three words have two meanings,
there's one thing on my mind.
It's all for you.
And it's dark and a cold December,
but I've got you to keep me warm.
If we broken I will mend you,
and I'll keep you sheltered from the storm that's raging on.
Now.
I'm out of touch,
I'm out of love.
I'll pick you up,
when you're getting down.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
I'm out of sight,
I'm out of mind.
I'll do it all for you in time.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
Now.
I'm gonna paint you by numbers,
then colour you in.
If things go right,
we'll frame it.
And put you on a wall.
And it's so hard to say it,
but I've been here before.
Now I surrender up my heart,
and swap it for yours.
I'm out of touch,
I'm out of love.
I'll pick you up,
when you're getting down.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
I'm out of sight,
I'm out of mind.
I'll do it all for you in time.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
Don't hold me down.
I think the braces are breaking,
and it's more than I can take.
And it's dark and a cold December,
but I've got you to keep me warm.
If we broken I will mend you,
and I'll keep you sheltered from the storm that's raging on.
Now.
I'm out of touch,
I'm out of love.
I'll pick you up,
when you're getting down.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
I'm out of sight,
I'm out of mind.
I'll do it all for you in time.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
I'm out of touch,
I'm out of love.
I'll pick you up,
when you're getting down.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
I'm out of sight,
I'm out of mind.
I'll do it all for you in time.
And out of all these things I've done,
I think I love you better now.
I'm out of touch,
I'm out of love.
I'll pick you up,
when you're getting down.
And out of all these things I've done,
I will love you better now.
Chantant toute la chanson de mémoire à ce monde calme dont moi seule brise le silence. Ce monde où il n'y a personne pour m'entendre. Ce monde qui est le mien.
ooOoOoOoo
Hey, hey, hey ! Alors ? Qu'en pensez-vous ? Soyez honnêtes, même si je me bouffe une review négative, je préfère ça a continuer de faire des erreurs.
Au passage, pour ceux qui ne connaitraient pas, la chanson c'est Lego House d'Ed Sheeran... Une de mes chansons préféré. ^^
Sinon, bah, j'espère vous revoir au prochain (vrai) chapitre, à plus et... (Vite trouve une phrase de fin ! -J'essaye, Fury !) je laisse le mot de la fin à Fury. (Salope. -Héhé !)
Euh... review ?
