Bonjour !

Ceci est ma première fanfic sur Harry Potter (et ça sera sûrement la seule). Ça fait longtemps que certaines situations et idées traînent dans ma tête, mais j'étais incapable d'imaginer un scénario pour faire tenir tout ça. Maintenant, j'en suis toujours incapable, donc j'ai envie de les présenter sous forme de petits chapitres tout simples. J'espère que ça vous plaira, j'accueille avec plaisir toutes critiques.

Je ne suis pas sûre que ce soit utile de le dire mais au cas où : l'univers et les personnages de J. K. ne sont définitivement pas les miens (par contre, il risque d'y avoir quelques personnages de mon invention, comme le professeur Faust, et ceux-là m'appartiennent ^^).

Bonne lecture...


- Bon, Teddy... ce soir, tu dors chez Harry ?

Teddy, qui s'apprêtait à monter dans sa chambre, se retourna vers lui en grimaçant.

- Papa, pour une nuit, je suis capable de me garder tout seul...

- Oui, répondit M. Lupin avec un sourire entendu, je n'ai toujours pas oublié ce qui est arrivé la seule fois où...

Le garçon leva les bras vers le ciel, et un cri d'indignation incrédule jaillit du fond de son cœur :

- Tu penses encore à l'histoire du troll ? Mais c'était il y a deux ans, papa ! J'ai changé, depuis !

- Inutile d'insister. De toute façon, tu aimes aller chez eux...

- Oui, mais tu ne me fais pas confiance et cela me blesse dans mon amour-propre, affirma Teddy en disparaissant dans l'escalier.

- Je te fais confiance pour plein de choses.

Deux minutes plus tard, il redescendait en tenant son sac bouclé à bout de bras. Prenant la direction de la cheminée, il s'écria, d'une voix qui se voulait offensée mais dans laquelle l'enthousiasme perçait :

- Soit ! Dans ce cas, je pars dès maintenant. Albus s'apprête à entrer à Poudlard pour la première fois, il a besoin de mes conseils paternels. Adieu !

- À demain.

Une gerbe de flammes vertes l'engloutit. M. Lupin se retrouva seul dans leur salon/salle à manger/cuisine tout-en-un. Il sourit, puis s'installa dans le fauteuil et déplia un journal. Ce jour-là, même la perspective de la métamorphose à venir ne pouvait entamer sa bonne humeur.