Bonjour à tous. Karelyss. 18 ans.

J'écris depuis toujours. Des fanfictions, seulement depuis quelques années (déjà). Mes débuts n'étaient pas fameux. Vaut mieux simplement ne pas trop y songer. J'étudie présentement en littérature à l'université.

Mes centres d'intérêts sont variés, mais pour citer ceux qui vous intéresse sûrement (en ordre chronologique) :

Anime : Naruto, Black Butler, Attack on Titan, Death Note, Seraph of the End et Haikyuu!!

Livres : Harry Potter, Hunger Games, Game of Thrones.

Films/séries : Sherlock, Supernatual, Teen Wolf (à noter que je n'en ai fini aucune. Je suis une merde pour la loyauté envers les séries.) Lord of the rings, Pirates des Caraïbes, tous les marvels.

J'ai résolu maintenant de ne plus publier de fics que je n'ai pas terminées, car je connais la frustration de commencer une fic pour voir qu'elle n'est pas terminée et ça fait depuis 2012 qu'elle n'a pas été mise à jour (euf). Donc, voilà! Ce sont des bonnes nouvelles.

J'ai tendance à découvrir de nouveaux fandoms, m'y plonger de façon quasi-obsessionnelle pendant une courte durée et m'y désintéresser tout aussitôt. Aussi, je suis vraiment la pire pour répondre aux messages car 1. j'oublie 2. j'essaie de me donner un air cool en ne répondant pas immédiatement et j'oublie 3. je suis trop embarrassée et submergée par l'émotion et la gratitude pour répondre tout de suite et je finis par oublier 4. je ne me sens pas la force de répondre sur le coup et j'oublie. PAR CONTRE, je lis tout et j'en suis éternellement reconnaissante. Je fais de mon mieux pour m'améliorer, quand même.

Voici mes plus grands problèmes dans le monde de la fanfiction pour le moment. Toutefois, si vous vous sentez assez gentil pour tout de même m'adresser la parole après avoir lu ceci, c'est avec le plus grand des plaisirs que je parlerais avec vous. De tout. De rien. De n'importe quoi. Parlez-moi s'il vous plait pitié.

Je termine sur une citation d'un article vraiment super que j'ai lu il y a peu et que je souhaite vous partager :

“Fan fiction is what literature might look like if it were reinvented from scratch after a nuclear apocalypse by a band of brilliant pop-culture junkies trapped in a sealed bunker. They don’t do it for money. That’s not what it’s about. The writers write it and put it up online just for the satisfaction. They’re fans, but they’re not silent, couchbound consumers of media. The culture talks to them, and they talk back to the culture in its own language.” -The Boy Who Lived Forever Time Magazine